Le Forum économique mondial (WEF) fait actuellement campagne pour l'introduction d'un système d'identité numérique. Selon Didi Rankovic de Reclaim the Net , "les banques et les sociétés de services financiers" seront en première ligne.

Un article de blog publié par le WEF, citant l'indice de confiance numérique de l'International Data Corporation (IDC), note qu'il existe des "opportunités d'un billion de dollars" dans le monde. Cependant, le WEF estime qu'un niveau de "confiance numérique" supérieur à une "valeur universelle" est nécessaire pour que le système d'identification numérique du WEF devienne une réalité.

Le WEF justifie l'introduction de son identification numérique par la "prédominance de la cybercriminalité".

Rankovic a développé le concept de « confiance numérique » dont le WEF est obsédé :

La confiance numérique profite à tous car elle garantit que les interactions en ligne se font avec des personnes, et non avec des robots, et avec des individus identifiés. Le WEF décrit plus en détail l'idée, en la liant à une meilleure sécurité et confidentialité, ainsi qu'à des principes tels que l'éthique, l'équité et l'inclusivité.

Le WEF estime que les banques et les prestataires de services financiers devraient contrôler ce système de confiance numérique. L'organisation basée à Davos cite une enquête auprès des consommateurs montrant que "presque la moitié" des personnes interrogées souhaiteraient que les gouvernements soutiennent "un monde numérique plus sûr", tandis que 68% ont exprimé leur "intérêt" pour un organisme indépendant fournissant un système d'identification numérique.

Curieusement, l'article du WEF mentionne que les consommateurs préféreraient que les banques et les entreprises financières soient les institutions gérant ce système de confiance numérique, bien qu'aucun chiffre précis ne soit donné.

De manière typique, le WEF justifie ce programme d'identification numérique par une campagne de peur.

"Et si suffisamment d'entre nous perdent confiance dans les services en ligne, une grande partie de l'économie mondiale et avec elle la société s'effondrera."

Le WEF est la pure incarnation du mondialisme technocratique. Le but ultime des personnes de ce réseau est l'abolition de l'État-nation et l'établissement d'un ordre technocratique, dépourvu d'identité nationale, basé sur une consommation insensée et une baisse générale du niveau de vie.

Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une vision sociétale que les nationalistes de l'Amérique d'abord devraient fermement rejeter.