« Nous disons que les vraies personnes en quête de protection sont les bienvenues, comme les Ukrainiens ou les personnes fuyant le terrorisme islamique, mais ce sont de jeunes hommes africains que nous ne pouvons plus tolérer. »

Dans la ville néerlandaise de Ter Apel, près de la frontière allemande, un camp de réfugiés et de migrants massivement surpeuplé provoque de la frustration et des conditions dangereuses pour les habitants. La petite ville de seulement 10 000 habitants abrite près de 3 000 demandeurs d’asile et migrants, principalement des hommes africains en âge de servir dans l’armée.

« Nous disons que les vraies personnes en quête de protection sont les bienvenues, comme les Ukrainiens ou les personnes fuyant le terrorisme islamique, mais ce sont de jeunes hommes africains que nous ne pouvons plus tolérer », explique un habitant de la ville. En outre, leurs origines culturelles différentes sont une source de problèmes et de difficultés. C’est ainsi que les flambées de violence se produisent encore et encore. »

À travers Ter Apel, les vols, les cambriolages dans les maisons, la violence, l’intimidation et le camping illicite ont augmenté, disent les résidents. Alors que la ville est détruite et que les familles vivent dans la peur, les migrants ont protesté contre leurs conditions de vie.

Le camp, conçu pour 2 000 personnes, est tellement bondé que des centaines d’illégaux dorment à l’extérieur. Les politiciens locaux appellent le gouvernement à initier une redistribution des illégaux alors que de nouvelles personnes arrivent chaque jour. Mais pourquoi les clandestins ne sont-ils pas expulsés au lieu de les « redistribuer » alors qu’ils n’ont pas vraiment besoin d’asile ?

Non seulement les clandestins ne seront pas renvoyés chez eux, mais l’armée néerlandaise a été chargée de construire un nouveau camp à Ter Apel pour héberger les personnes en attente de l’enregistrement de leur demande d’asile. Pendant ce temps, les craintes et les préoccupations sécuritaires des contribuables locaux sont ignorées, tandis que le Premier ministre néerlandais Mark Rutte continue de vivre avec des gardes armés pour le protéger jour et nuit.