Au nom de six personnes qui auraient été lésées par la vaccination Covid, des poursuites pénales ont été déposées contre l’Autorité suisse des médicaments. Une équipe d’avocats et de scientifiques a préparé une opinion d’expert approfondie et a rendu publics environ 1 200 éléments de preuve. Ils affirment que Swissmedic a créé un risque pour la santé publique qui dépasse largement celui du SARS-CoV-2.

Ils affirment que l’autorité a approuvé les nouveaux médicaments de thérapie génique même si les normes minimales requises par la loi n’ont jamais été respectées. Ils citent l’absence de preuves de l’efficacité des vaccins, l’incapacité à minimiser les risques liés à l’autorisation et le manque de protection de la santé des consommateurs. En conséquence, selon l’allégation, le public a été induit en erreur par des informations incomplètes et fausses sur le rapport bénéfice-risque réel de la soi-disant vaccination.

La plainte pénale a été déposée le 14 juillet 2022, mais les autorités n’ont pas répondu. En conséquence, les avocats ont tenu une conférence de presse le 14 novembre, quatre mois plus tard.

Ils soulignent que ces préparations à ARNm ne sont pas des vaccins, qu’elles n’ont ni influencé positivement l’évolution de la pandémie ni empêché les décès et qu’au fil du temps, de plus en plus de groupes ont reçu des signaux d’alerte ignorés par Swissmedic. Les avocats demandent que l’approbation de tous les « vaccins » à ARNm soit suspendue et que des poursuites pénales soient ouvertes contre les responsables de Swissmedic. Les premières procédures cantonales contre la vaccination des médecins ont déjà été ouvertes.

Les médias suisses ont largement rendu compte, quoique brièvement, de cette plainte pénale. La question des effets secondaires des vaccins est également de plus en plus abordée dans le service public SRF – les nouvelles d’hier ont rapporté que 38% des effets secondaires sont classés comme « graves ». En plus de l’inflammation du muscle cardiaque, d’autres effets secondaires tels que la réactivation du virus et la possibilité de complications graves ont également été notés.

Swissmedic est l’autorité de surveillance suisse des médicaments et des dispositifs médicaux, comparable à la British Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA). Tous les dispositifs médicaux doivent être approuvés par elle avant de pouvoir être mis sur le marché en Suisse. Les produits ne peuvent être mis sur le marché que si leur qualité, leur sécurité et leur efficacité ont été suffisamment évaluées et approuvées.

Entre janvier 2021 et novembre 2022, 16'212 déclarations d’effets indésirables des vaccins Covid-19 en Suisse ont été soumises à l’Institut. Dans le cadre de l’évaluation, l’Agence a constaté que le rapport bénéfice-risque global est toujours positif. La classification de 38 pour cent comme sévère a été confirmée. Entre autres choses, plusieurs caractéristiques négatives ont été notées, y compris la myocardite, les effets secondaires des vaccins bivalents et diverses irrégularités menstruelles. De l’avis de Swissmedic, cela n’était pas suffisant pour modifier le prétendu rapport bénéfice/risque positif.

TCW a déjà signalé qu’en novembre 2021, les ménages en Suisse ont reçu une brochure des autorités sanitaires exhortant tous les résidents à s’inscrire pour leur vaccination Covid-19. Le texte comprenait des assurances telles que « Le vaccin Covid-19 est très efficace et prévient les complications graves et les décès » et « Les effets indésirables graves sont très rares. Le vaccin est sûr. » Et pour rassurer les citoyens, est venue la phrase cruciale : « Les complications graves et les souffrances de la maladie sont beaucoup plus fréquentes que les effets secondaires graves du vaccin ». Deux pages A3 de certitudes à 100%.

Cette confiance est ébranlée par le graphique contenu dans les plaidoiries déposées auprès du tribunal par les avocats suisses Kruse Law, qui détaille la survenue de facteurs de risque liés aux « vaccins » à partir de décembre 2020 sur une chronologie précise.

(NB: Comirnaty, Spikevax = marques de vaccins suisses)

Les 16 facteurs identifiés sont les suivants :

  • 1. Tests inadéquats sur les animaux, absence de recherche fondamentale.
  • 2. Admission temporaire, deux semaines au lieu des 12 semaines habituelles.
  • 3. Rejet du groupe témoin, essais cliniques pratiquement sans valeur.
  • 4. Pollution toxique, premières indications dans les documents d’enregistrement.
  • 5. Nanoparticules lipidiques, potentiellement cancérogènes, nuisibles à la fertilité, dommageables pour le fœtus.
  • 6. Effets retardés, indications de maladies neurologiques et auto-immunes possibles.
  • 7. Cas suspects de comirnatia – 42 086 effets secondaires, 1 200 décès.
  • 8. Études pivots, manque de preuves d’efficacité chez les adolescents.
  • 9. Données falsifiées trouvées dans l’étude pivot de Comirnaty.
  • 10. Essais cliniques Comirnaty – 46 décès (1,5 %) en phase post-commercialisation.
  • 11. Adolescents : risque de myocardite six fois plus élevé qu’un cas grave de Covid.
  • 12. Cas suspects en Suisse, UE, Etats-Unis: 13 632 décès; 1 095 777 effets secondaires.
  • 13. Sonnette d’alarme : 128 publications ayant des problèmes de santé ; 223 avec des troubles de la coagulation; 7 avec décès possibles.
  • 14. Approbation du fabricant: Profil d’innocuité pour les femmes enceintes et allaitantes inconnu.
  • 15. UE, États-Unis: 2 177 mortinaissances par Comirnaty; 810 mortinaissances par Spikevax.
  • 16. Fertilité masculine, le nombre de spermatozoïdes est inférieur de 15,9% à celui d’avant 150 jours après la deuxième vaccination.

Voilà pour le rapport bénéfice/risque positif !

Dans d’autres parties du monde, les autorités sanitaires ont continué à promouvoir des programmes de vaccination à l’échelle nationale et font même la promotion de vaccins de rappel supplémentaires. Ils le font en toute confiance qu’il a été clairement indiqué que les gens ne peuvent pas poursuivre les fabricants de médicaments pour les conséquences imprévues des vaccinations Covid. À l’heure actuelle, la seule activité juridique dans ce domaine semble être que les sociétés pharmaceutiques se disputent entre elles au sujet des contrefaçons de brevets. Il faut espérer que le procès à Zurich sera révolutionnaire.