Un traité de l’OMS sur la pandémie doit être formulé sur la base d’un « avant-projet conceptuel » existant d’ici le début de 2023. Cela comprend des engagements en faveur de la propagande et de la censure, de subventions à l’industrie pharmaceutique et de stockage de vaccins, de soutien aux brevets médicaux et au droit de l’OMS de diriger la riposte nationale à la pandémie par le biais d’équipes d’experts déléguées. Ce qui ne devrait pas figurer dans le contrat prévu, cependant, est révélateur.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé le 7 décembre :

« Les États membres de l’Organisation mondiale de la Santé ont convenu aujourd’hui de préparer le premier projet de traité juridiquement contraignant pour protéger le monde contre les pandémies. Ce « projet zéro » de l’accord sur la pandémie, inscrit dans la Constitution de l’OMS, sera examiné par les États membres en février 2023.

Cette décision a été prise par l’Organe intergouvernemental de négociation (INB), composé des 194 États Membres de l’OMS, lors de sa troisième réunion, qui s’est tenue du 5 au 7 décembre. Le Conseil de l’INB, composé d’un représentant de chacune des six Régions de l’OMS, préparera l’avant-projet sur la base de l’avant-projet conceptuel.

Le projet d’accord pandémique, qui a été associé dans certains milieux, y comprissur ce blog, à la menace d’une dictature sanitaire de l’OMS, porte désormais le nom technique anodin OMS CA+. CA+ signifie Convention, Accord ou similaire et fait référence à l’article 19 de la Constitution de l’OMS, qui habilite l’Assemblée mondiale de la Santé à adopter des conventions, des conventions ou similaires.

Leprojet conceptuel nula été publié le 25 novembre. Il décrit déjà très clairement à quoi devrait ressembler le traité sur la pandémie à la fin. Les remarques préliminaires indiquent que le Bureau de l’INB a préparé le projet en tenant compte des contributions écrites à un projet de travail de 30 États membres et de 36 « parties prenantes concernées ». On peut supposer qu’il s’agit principalement de l’industrie pharmaceutique et d’autres sociétés mondiales et de leurs fondations dans les secteurs de la santé et des technologies de l’information, qui fournissent la majorité du financement de l’OMS.

L’industrie pharmaceutique a besoin de beaucoup d’aide financière

Le résultat est un projet d’accord que les entreprises de soins de santé elles-mêmes auraient difficilement pu formuler mieux en leur faveur. Il oblige les États signataires (en italique par moi):