Aux États-Unis, il existe un système de notification des effets indésirables des vaccins : le VAERS. Après l’introduction des vaccins corona, Big Pharma a décidé de contourner l’ensemble du système en développant sa propre application appelée V-safe.

Les patients ont pu y rendre compte de leurs effets secondaires. L’un des effets secondaires que les patients ne pouvaient pas signaler était l’inflammation du muscle cardiaque, bien qu’ils savaient qu’il s’agissait d’un effet secondaire courant et pouvant mettre leur vie en danger.

Le CDC a gardé ces données secrètes pendant longtemps, dit le Dr Peterson Pierre. Après tout, V-safe n’est pas public. Grâce à une demande, les données sur V-safe sont maintenant sorties.

Les données montrent que 33% des personnes qui ont utilisé l’application avaient besoin d’aide médicale et ne pouvaient pas aller à l’école ou au travail. Près de la moitié (48 %) avaient besoin de soins d’urgence, 15 % se sont retrouvés aux urgences et 10 % à l’hôpital.

Le CDC savait tout cela, jusqu’à 10 millions de rapports par mois de janvier à avril 2021, et a décidé de cacher l’information et de recommander les vaccinations dangereuses à d’autres.

C’est tout simplement criminel, souligne Pierre, qui parle d’une dissimulation majeure. « Il est temps pour un deuxième tribunal de Nuremberg. »