Le WEF a déjà parlé d’exporter ces idées dans le monde entier.
La réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse, est ici – une cabale, diraient les critiques, d’élites élues et non élues qui dirigent le monde ou ont une forte tendance à y arriver.
La sécurité a toujours joué un rôle majeur dans ces réunions – des images de tireurs d’élite en tenue de camouflage sur les toits des bâtiments d’une station de sports d’hiver autrement endormie ont été rapportées à Davos pendant des années.
Cette fois, il ne s’agit pas seulement de la sécurité physique des participants à un événement qui résume le travail du WEF tout au long de l’année pour définir le monde pour « les petites gens » - sans prendre la peine de demander aux « petites gens » à ce sujet.
Les fonctionnaires et toute autre personne qui souhaite participer à un événement à Davos cette semaine, y compris les journalistes, doivent fournir un test PCR négatif (le WEF est apparemment toujours en train de se retenir), et s’ils échouent au test ou sont incapables d’en fournir un aux « autorités », la puce sera désactivée dans leurs identifiants biométriques.
En outre, la police suisse a reçu l’ordre de vérifier les empreintes digitales devant le terrain du WEF.
L’événement de Davos est presque inévitablement accompagné de diverses protestations, mais cela n’a aucun effet sur cette réunion de l’élite des politiciens, des entreprises et des médias. Cette année, cependant, des journalistes plus indépendants semblent avoir décidé de tenter leur chance pour faire des reportages à « Tatort ».
Ils nous disent à quoi s’attendre: un haut niveau de sécurité, tant en termes de contrôles biométriques que de personnel de sécurité réel (postes de contrôle, milliers de policiers réguliers et militaires et même de soldats).
Et les journalistes indépendants ne sont pas vraiment les bienvenus là-bas. Certains rapportent qu’ils ont été arrêtés à l’un des points de contrôle mis en place dans cette zone de guerre auto-créée. Dans le même temps, les représentants des entreprises tentent de minimiser à quel point la région est fortifiée pour une raison.
Mais la preuve en a été fournie: l’armée suisse indique sur son site Internet que les parlementaires ont approuvé jusqu’à 5000 soldats pour protéger « ces opérations de soutien civil de 2022 à 2024 ».