Le Conseil d’administration de l’OMS a approuvé un projet de résolution sur l’utilisation des sciences du comportement dans les politiques de santé. Cela semble inoffensif. Heureusement, la Fondation Rockefeller indique clairement ce qui est réellement en jeu : une manipulation globale du public dans le sens d’une autorité mondiale qui se croit en possession de la seule vérité scientifique.
Lors de sa réunion qui s’est achevée le 7 février, le Conseil d’administration de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a adopté une recommandation de résolution à l’Assemblée mondiale de la Santé, qui se réunira à la fin du mois de mai. Le titre est « Sciences du comportement pour une meilleure santé ». La base est un projet de résolution présenté par les États-Unis avec onze autres pays, principalement asiatiques.
Cette initiative s’inspire à nouveau d’une initiative du même nom du Directeur général de l’OMS. Le rapport sur l’initiative présenté par le Directeur général de l’OMS en décembre est plutôt nébuleux et laisse au lecteur le soin d’imaginer quels outils ou programmes spécifiques de science du comportement seront utilisés ici.
Dans le contexte de l’initiative, le rapport indique (traduit) :