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Pandémie de Covid : les excuses du Japon pour répéter la sensibilisation numérique "la prochaine fois"

 

Vous vous souvenez du printemps 2020, quand on nous a dit que la recherche de contacts numériques à la Singapour aiderait à contrôler la pandémie ?

Je suis sûr que vous avez remarqué que ce n'était pas le cas. La contribution du Japon, son application COCOA, a été une perturbation qui a fonctionné de juin 2020 à novembre 2022.

Cette semaine, l'agence digitale japonaise a publié son rapport sur COCOA. Le rapport décrit non seulement divers défauts techniques, mais contient également les résultats d'une enquête auprès des utilisateurs.

Mis à part le fait que le suivi des contrats pour les virus à faible IFR est mal conçu dès le départ, l'application ne fonctionnait pas correctement et la plupart des utilisateurs ne trouvaient rien de bien à ce sujet. Alors sûrement que le gouvernement japonais abandonnera aussi ce non-sens, n'est-ce pas ? Oh, si seulement c'était comme ça.

Dans l'enquête auprès des utilisateurs, 74 % des utilisateurs de COCOA qui ont reçu une notification d'infection ont modifié leur comportement normal pour réduire les contacts avec les autres, par ex. B. en travaillant à domicile et en ne sortant pas le week-end. Les auteurs du rapport utilisent ce "crédit" pour justifier la poursuite de la recherche et du développement d'applications de suivi des commandes à utiliser lors de futures épidémies de folie contagieuse.

Pour les groupes d'âge plus jeunes, qui sont souvent à haut risque d'infection, qui ne sont pas suffisamment encouragés à changer de comportement par les méthodes de communication existantes, et dont il a été confirmé qu'ils sont plus susceptibles de changer de comportement après notification que les autres groupes d'âge, une attention stricte doit être payé à la situation de l'utilisateur Des recommandations personnalisées seront prises en compte.

Par ailleurs, afin d'encourager le recours notamment aux jeunes, la possibilité d'émettre des recommandations fortes (ex : obligations légales d'installation, installation obligatoire par les visiteurs/spectateurs lors d'événements, recommandations de tests, etc.) doit également être envisagée, en reconnaître ces applications comme de nouveaux moyens de promouvoir des changements de comportement dans la lutte contre les maladies infectieuses sont positionnés.

Bien sûr, les auteurs supposent que les prélèvements comportementaux post-enregistrement profitent à la santé publique et ne se soucient pas des détails comme des preuves tangibles. Lorsque des personnes en bonne santé restent inutilement à la maison, c'est en fait une mauvaise nouvelle pour la socio-économie. Mais encore une fois, la volonté du public japonais de se conformer aux exigences insensées du gouvernement n'est qu'une incitation pour le gouvernement à faire plus d'exigences insensées.

Cependant, il est rafraîchissant de voir des agences gouvernementales admettre honnêtement qu'elles veulent utiliser la technologie pour mieux contrôler les mouvements des personnes, sous prétexte de prévention des infections. La raison en est que copier les politiques de pays autoritaires comme Singapour vise toujours à rendre les pays anciennement libéraux encore plus semblables à Singapour. Il n'y a pas de technocratie sans technologie.