Au lieu d’une ambiance festive, les inquiétudes et les difficultés se sont propagées. Ceux qui sont au pouvoir en Occident doivent rapidement trouver quelque chose.
Quiconque commande des bijoux, de superbes vêtements ou même une nouvelle voiture comme cadeaux pour la table de Noël n’arrivera pas contre le plus grand cadeau, un invité secret: la peur de demain.
Elle est déjà présente à chaque fête de Noël et à chaque fête d’entreprise dans la question habituellement timide : « Qu’en pensez-vous, est-ce que ce sera mauvais ? »
Encore une fois, le congrès danse, que ce soit sur les terrains de football ou de hockey sur glace, dans les théâtres, les salles de concert ou les discothèques. Mais l’ombre du Covid-19 est au-dessus de tout. Pas de contact, de distance, des regards suspects dans toutes les directions. La peur crée la distance.
Il y a cinq cavaliers apocalyptiques, don’t certains sont déjà au-dessus du pays, mais d’autres sont sur le point de traverser nos zones protégées.
La peur de ces monstres augmentée depuis des mois. La Suisse, cette île de bonheur parmi de nombreuses nations, voit aussi sa prospérité menacée.
Les dispositifs de défense ne fonctionnent pas. De nombreux Suisses ne se sentent pas protégés et tendent la main vers le flambeau de la protestation ou du Freedom Treichel.
Les principaux médias suisses, la SSR, Tx-Group (Tagesanzeiger etc.), CH Media, Ringier et la NZZ, font preuve, plus ou moins, d’une retenue noble.