Mise à niveau vers Pro

Nous sommes sauvés ! Les Africains vont commencer à fabriquer des « vaccins » à ARNm pour toutes les maladies

Il ne s’agit pas vraiment de scientifiques africains.

Ce sont les scientifiques de l’OMS et Big Pharma qui font des recherches en Afrique parce qu’on peut faire des expériences sur les gens sans aucune conséquence s’ils meurent ou souffrent d’un autre effet secondaire horrible.

Mais oui, des injections d’ARNm pour tout aujourd’hui et pour toujours.

Totalement sans rapport avec un programme transhumaniste massif de génie génétique.

Via le Guardian :

Six pays africains – l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Kenya, le Nigeria, le Sénégal et la Tunisie – seront les premiers du continent à recevoir la technologie nécessaire pour produire leurs propres vaccins à ARNm dans le cadre d’un projet dirigé par l’Organisation mondiale de la santé.

Ce projet novateur vise à aider les pays à revenu faible ou intermédiaire à fabriquer des vaccins à ARNm à grande échelle et conformément aux normes internationales, dans le but de mettre fin à la dépendance des pays africains vis-à-vis des fabricants de vaccins situés hors du continent.

Cette annonce intervient la même semaine où BioNTech, qui produit le vaccin Pfizer contre le Covid-19 – lui-même un vaccin à ARNm – a annoncé qu’il prévoyait de livrer des installations industrielles construites à partir de conteneurs d’expédition à plusieurs pays africains afin de permettre la production du vaccin Pfizer sur le continent.

Principalement mis en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, le centre mondial d’ARNm a le potentiel d’étendre la capacité de fabrication d’autres vaccins et produits, tels que l’insuline pour traiter le diabète, les médicaments contre le cancer et, potentiellement, les vaccins contre des maladies telles que le paludisme, la tuberculose et le VIH.

L’OMS a créé son centre mondial de transfert de technologie de l’ARNm après que la thésaurisation de vaccins par les pays riches – et les problèmes d’approvisionnement en provenance de l’Inde, les entreprises ayant donné la priorité aux ventes aux gouvernements qui pouvaient payer le prix le plus élevé – a eu pour conséquence que les pays à revenu faible ou intermédiaire ont été relégués à la fin de la file d’attente pour les vaccins contre le covid-19.

L’objectif ultime du programme est d’étendre la capacité de production nationale et régionale à toutes les technologies de santé.

Si l’initiative BioNTech a été saluée pour son potentiel de raccourcissement de la chaîne d’approvisionnement du vaccin Pfizer en Afrique, elle a également été critiquée pour son manque de partage du savoir-faire technologique, ce à quoi le projet de l’OMS contribuera en partie.

« Aucun autre événement comme la pandémie de Covid-19 n’a montré que le fait de s’en remettre à quelques entreprises pour fournir des biens publics mondiaux est limitatif et dangereux », a déclaré le chef de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en annonçant vendredi les premiers bénéficiaires de la technologie après avoir visité le centre en Afrique du Sud la semaine dernière.

« Le centre ne sera pas seulement pour l’Afrique du Sud, c’est pour l’Afrique, l’Afrique et le monde entier, car les rayons seront répartis dans le monde entier. »

« La meilleure façon de faire face aux urgences sanitaires et d’atteindre la couverture sanitaire universelle est d’augmenter considérablement la capacité de toutes les régions à fabriquer les produits de santé dont elles ont besoin. »

« Nous prévoyons que les essais cliniques [en Afrique du Sud] commenceront au quatrième trimestre de cette année, avec une approbation prévue en 2024, mais ce processus peut être accéléré, [et] il y a d’autres options que le hub explore.

M. Tedros a ajouté que les avantages de cette initiative « s’étendront bien au-delà de Covid-19, en créant une plateforme pour les vaccins contre d’autres maladies, notamment le paludisme, la tuberculose et même le cancer. Il s’agit donc d’un investissement stratégique, pas seulement pour Covid, mais pour tous les grands problèmes de santé auxquels nous sommes confrontés« .

Oui.

Tous les problèmes seront résolus en modifiant le patrimoine génétique humain.

PAR JADE · PUBLIÉ 20 FÉVRIER 2022 · MIS À JOUR 20 FÉVRIER 2022

C’est le plan.