Mise à niveau vers Pro

  • #Covid-19 : Attal confirme le report de la rentrée scolaire aux Antilles
    C’est officiel. Le gouvernement a décidé ce mercredi 25 août 2021, de repousser la rentrée scolaire au 13 septembre en Guadeloupe, en Martinique, à Saint-Martin et Saint-Barthélemy, ainsi que dans la partie de la Guyane en zone rouge en raison de la situation sanitaire « grave » à cause du Covid-19, a annoncé son porte-parole. Gabriel Attal a ajouté, à l’issue du conseil des ministres, que l’état d’urgence sanitaire serait prolongé « jusqu’au 15 novembre aux Antilles, en Guyane et en Polynésie française »,avec un projet de loi présenté « la semaine prochaine ».
    #Covid-19 : Attal confirme le report de la rentrée scolaire aux Antilles C’est officiel. Le gouvernement a décidé ce mercredi 25 août 2021, de repousser la rentrée scolaire au 13 septembre en Guadeloupe, en Martinique, à Saint-Martin et Saint-Barthélemy, ainsi que dans la partie de la Guyane en zone rouge en raison de la situation sanitaire « grave » à cause du Covid-19, a annoncé son porte-parole. Gabriel Attal a ajouté, à l’issue du conseil des ministres, que l’état d’urgence sanitaire serait prolongé « jusqu’au 15 novembre aux Antilles, en Guyane et en Polynésie française »,avec un projet de loi présenté « la semaine prochaine ».
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  • #Yvelines | Le pass sanitaire suspendu dans les centres commerciaux yvelinois.
    Il devait concerner 14 grands centres commerciaux yvelinois. Après un recours déposé par deux avocats, l’arrêté préfectoral imposant le pass sanitaire est suspendu par la justice. Une mesure qui était décriée par les professionnels.
    #Yvelines | Le pass sanitaire suspendu dans les centres commerciaux yvelinois. Il devait concerner 14 grands centres commerciaux yvelinois. Après un recours déposé par deux avocats, l’arrêté préfectoral imposant le pass sanitaire est suspendu par la justice. Une mesure qui était décriée par les professionnels.
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  • #Tartelette Noisette et Chocolat à découvrir...
    #Tartelette Noisette et Chocolat à découvrir...
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  • LE DROIT À L'INTÉGRITÉ CORPORELLE
    LE DROIT À L'INTÉGRITÉ CORPORELLE : PERSONNE NE GAGNE ET NOUS PERDONS TOUS DANS L'ÉPREUVE DE FORCE DU COVID-19 Rédigé par marieclairetellier Par John W. Whitehead & Nisha WhiteheadThe Rutherford Institute Traduction MCT   "Nous avons atteint le point où les acteurs étatiques peuvent pénétrer dans les rectums et...
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  • Emmanuel Macron : "Virez-le-moi sur-le-champ!", le coup de sang du président.

    Les petites phrases d'Emmanuel Macron n'épargnent visiblement personne. Si le président a pu se montrer froid et arrogant avec certains français durant son quinquennat, il n'est pas forcément plus tendre avec ses collaborateurs.
    Dans son livre "Tant qu'on est tous les deux" à paraître ce 25 août aux éditions Flammarion, la romancière revient sur la relation du président et de la Première dame, et relate son caractère...plutôt sanguin.

    Coups de colère du président
    Elections présidentielles en vue, crise sanitaire et contestations sociales : les nerfs du président sont mis à rude épreuve. Et souvent, ce sont les autres qui en payent les conséquences. Comme ce 29 janvier où contre l'avis des scientifiques, il décide brutalement de ne pas reconfiner.

    Un ancien ami du chef de l'État confiait au journal Le Point : "Il pique des colères d'enfant ! Il nous dit : 'Vous me faites chier, je ne confine pas !'". Rebelote en juillet, Le Canard enchaîné révélait qu'Emmanuel Macron, excédé des manquements au protocole sanitaire dans les aéroports parisiens, avait tapé du poing sur la table et sèchement re-cadré ses ministres.

    "Mais virez-le-moi sur-le-champ !'"
    "Parce que le chef dit tout et son contraire, parce qu’il n’a le temps de rien, parce que le Patron ordonne, 'il faut virer tel et tel conseiller incompétent, mais virez-le-moi sur-le-champ !', relate Gaël Tchakaloff dans son livre.

    Une colère qui s'intensifie quand "cinq minutes après, son bras droit, Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, refuse de le faire", rapporte l'écrivaine.
    Emmanuel Macron : "Virez-le-moi sur-le-champ!", le coup de sang du président. Les petites phrases d'Emmanuel Macron n'épargnent visiblement personne. Si le président a pu se montrer froid et arrogant avec certains français durant son quinquennat, il n'est pas forcément plus tendre avec ses collaborateurs. Dans son livre "Tant qu'on est tous les deux" à paraître ce 25 août aux éditions Flammarion, la romancière revient sur la relation du président et de la Première dame, et relate son caractère...plutôt sanguin. Coups de colère du président Elections présidentielles en vue, crise sanitaire et contestations sociales : les nerfs du président sont mis à rude épreuve. Et souvent, ce sont les autres qui en payent les conséquences. Comme ce 29 janvier où contre l'avis des scientifiques, il décide brutalement de ne pas reconfiner. Un ancien ami du chef de l'État confiait au journal Le Point : "Il pique des colères d'enfant ! Il nous dit : 'Vous me faites chier, je ne confine pas !'". Rebelote en juillet, Le Canard enchaîné révélait qu'Emmanuel Macron, excédé des manquements au protocole sanitaire dans les aéroports parisiens, avait tapé du poing sur la table et sèchement re-cadré ses ministres. "Mais virez-le-moi sur-le-champ !'" "Parce que le chef dit tout et son contraire, parce qu’il n’a le temps de rien, parce que le Patron ordonne, 'il faut virer tel et tel conseiller incompétent, mais virez-le-moi sur-le-champ !', relate Gaël Tchakaloff dans son livre. Une colère qui s'intensifie quand "cinq minutes après, son bras droit, Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, refuse de le faire", rapporte l'écrivaine.
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  • La future épidémie meurtrière ne sera pas ce que vous croyez.

    Nous ne sommes même pas encore débarrassés du Covid que l'Ipbes prévient: «L'ère des pandémies ne fait que commencer.» Seulement, porter un masque ne suffira pas, car l'un des risques les plus sérieux ne concerne pas les humains, mais les plantes, met en garde le site Fast Company. «Plus de 600 espèces de ravageurs ont déjà développé une certaine forme de résistance aux pesticides existants, ce qui occasionne des pertes de 10 milliards de dollars rien qu'aux États-Unis chaque année», explique le site.

    La maladie du dragon jaune, causée par le psylle africain, décime depuis plusieurs années déjà les orangers de Floride et menace désormais le pourtour méditerranéen. Après avoir dévasté les bananeraies en Asie du Sud et en Afrique, le champignon Fusarium TR4 a atteint l'Équateur, plus gros exportateur mondial de bananes. «Il n'existe aujourd'hui aucun traitement viable pour contrôler ou éradiquer le Fusarium», alerte la FAO, l'agence de l'ONU chargée de l'alimentation et l'agriculture.

    Une famine géante provoquée par une épidémie ne relève pas du fantasme. En Afrique, un demi-milliard d'habitants seraient menacés d'insécurité alimentaire en raison des insectes migrateurs, des maladies des plantes et autres agents nuisibles, alerte Justin Pita, directeur du programme de la fondation Bill & Melinda Gates sur la sécurité alimentaire. Selon la FAO, 37% de la production mondiale de blé est sous la menace d'épidémies potentielles de rouille jaune.

    Le changement climatique, cerise sur l'épidémie
    Le changement climatique ne va rien arranger. Les insectes entraînent déjà des pertes de 5% à 20% pour les principales cultures (maïs, riz, blé), estime une étude publiée dans la revue Science. Or, «plus la température est élevée, plus l'appétit des insectes augmente, ce qui est dévastateur pour les cultures», résume Scott Merrill, coauteur de l'étude.

    Chaque degré supplémentaire pourrait donc causer une perte de rendement supplémentaire de 10% à 25%. De plus, le réchauffement climatique va entraîner une hausse de la population des insectes ravageurs dans les régions tempérées grosses productrices de céréales, comme la Chine, les États-Unis et la France.

    À lire aussi Il est déjà temps de se préparer à la prochaine pandémie
    Évidemment, déverser toujours plus de pesticides sur les cultures n'est pas une solution viable. D'après les statistiques de la FAO, la consommation mondiale de pesticides a déjà quasiment doublé en dix ans pour atteindre 4,19 millions de tonnes en 2019, ce qui entraîne à la fois une pollution dramatique de l'environnement et des risques pour la santé.

    Les chercheurs misent donc plutôt sur la génétique pour prévenir une future catastrophe agricole. Aujourd'hui, le «maïs bt», résistant à la pyrale, occupe déjà 79% des surfaces de maïs cultivées aux États-Unis. Des variétés d'oliviers résistants à la redoutable bactérie Xylella ou de la canne à sucre naturellement résistante à la pyrale sont également dans les tuyaux.
    La future épidémie meurtrière ne sera pas ce que vous croyez. Nous ne sommes même pas encore débarrassés du Covid que l'Ipbes prévient: «L'ère des pandémies ne fait que commencer.» Seulement, porter un masque ne suffira pas, car l'un des risques les plus sérieux ne concerne pas les humains, mais les plantes, met en garde le site Fast Company. «Plus de 600 espèces de ravageurs ont déjà développé une certaine forme de résistance aux pesticides existants, ce qui occasionne des pertes de 10 milliards de dollars rien qu'aux États-Unis chaque année», explique le site. La maladie du dragon jaune, causée par le psylle africain, décime depuis plusieurs années déjà les orangers de Floride et menace désormais le pourtour méditerranéen. Après avoir dévasté les bananeraies en Asie du Sud et en Afrique, le champignon Fusarium TR4 a atteint l'Équateur, plus gros exportateur mondial de bananes. «Il n'existe aujourd'hui aucun traitement viable pour contrôler ou éradiquer le Fusarium», alerte la FAO, l'agence de l'ONU chargée de l'alimentation et l'agriculture. Une famine géante provoquée par une épidémie ne relève pas du fantasme. En Afrique, un demi-milliard d'habitants seraient menacés d'insécurité alimentaire en raison des insectes migrateurs, des maladies des plantes et autres agents nuisibles, alerte Justin Pita, directeur du programme de la fondation Bill & Melinda Gates sur la sécurité alimentaire. Selon la FAO, 37% de la production mondiale de blé est sous la menace d'épidémies potentielles de rouille jaune. Le changement climatique, cerise sur l'épidémie Le changement climatique ne va rien arranger. Les insectes entraînent déjà des pertes de 5% à 20% pour les principales cultures (maïs, riz, blé), estime une étude publiée dans la revue Science. Or, «plus la température est élevée, plus l'appétit des insectes augmente, ce qui est dévastateur pour les cultures», résume Scott Merrill, coauteur de l'étude. Chaque degré supplémentaire pourrait donc causer une perte de rendement supplémentaire de 10% à 25%. De plus, le réchauffement climatique va entraîner une hausse de la population des insectes ravageurs dans les régions tempérées grosses productrices de céréales, comme la Chine, les États-Unis et la France. À lire aussi Il est déjà temps de se préparer à la prochaine pandémie Évidemment, déverser toujours plus de pesticides sur les cultures n'est pas une solution viable. D'après les statistiques de la FAO, la consommation mondiale de pesticides a déjà quasiment doublé en dix ans pour atteindre 4,19 millions de tonnes en 2019, ce qui entraîne à la fois une pollution dramatique de l'environnement et des risques pour la santé. Les chercheurs misent donc plutôt sur la génétique pour prévenir une future catastrophe agricole. Aujourd'hui, le «maïs bt», résistant à la pyrale, occupe déjà 79% des surfaces de maïs cultivées aux États-Unis. Des variétés d'oliviers résistants à la redoutable bactérie Xylella ou de la canne à sucre naturellement résistante à la pyrale sont également dans les tuyaux.
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