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  • Demand Response Systems Market:
    Demand Response Systems Market: Optimizing Energy Consumption for a Sustainable Future The demand response systems market is rapidly growing as industries, governments, and consumers seek ways to optimize energy consumption and improve the efficiency of power grids. Demand response refers to programs or technologies that allow utilities to manage consumer demand for electricity, especially...
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  • Droits de l'homme : où se situe Maurice ?
    Maurice est actuellement au cœur de l'examen périodique universel (EPU) du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies. Alors que le gouvernement met en avant les avancées du pays, les rapports soulignent des défis majeurs, allant des conditions carcérales à la liberté de la presse.

    Maurice se retrouve une fois de plus sous les feux des projecteurs internationaux alors que le Groupe de travail sur l'Examen périodique universel (EPU) du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies examine la situation des droits de l'homme dans le pays.

    C'est la quatrième fois que le pays est soumis à cet examen. Ce mercredi, la délégation mauricienne, dirigée par le ministre des Affaires étrangères, Maneesh Gobin, a pris la responsabilité de défendre la position du gouvernement face à l'EPU à Genève.

    Bien que le premier rapport du gouvernement suggère que Maurice respecte largement les normes internationales, l'examen a mis en évidence plusieurs zones de préoccupation persistantes concernant la situation des droits de l'homme dans notre pays.

    Discriminations basées sur le genre et contre les personnes LGBT+

    Malgré les indications du premier rapport gouvernemental suggérant que Maurice se conforme largement aux normes internationales, l'Examen périodique universel (EPU) a mis en lumière plusieurs préoccupations persistantes concernant la situation des droits de l'homme dans le pays. La question des discriminations basées sur le genre et contre les personnes LGBT+ a été particulièrement soulignée, mettant en évidence des lacunes dans la législation mauricienne en matière de protection des femmes et des personnes LGBT+.

    La Commission nationale des droits de l'homme a spécifiquement signalé le manque d'initiatives visant à remédier à l'augmentation notable des violences domestiques, recommandant des mesures plus étendues telles que des conseils prénuptiaux et des thérapies conjugales ciblant la violence domestique en collaboration avec des organisations non gouvernementales.

    Des critiques ont également été émises concernant la définition législative du conjoint, ce qui entrave la reconnaissance des couples homosexuels. Des recommandations ont été formulées pour élargir la portée de la loi sur la protection contre la violence domestique afin d'inclure les personnes LGBTQI vivant en union de fait. En outre, des appels ont été lancés en faveur de la dépénalisation totale de l'avortement et de l'instauration de mécanismes plus efficaces pour lutter contre la violence domestique persistante.

    Liberté d'expression et de la presse

    La législation mauricienne concernant les technologies de l'information et de la communication a été fortement critiquée en raison de nombreuses dispositions non conformes aux normes internationales en matière de liberté d'expression et de respect de la vie privée. L'Examen périodique universel (EPU) a ainsi appelé à un renforcement du cadre juridique mauricien afin d'assurer des protections adéquates contre la surveillance injustifiée et l'utilisation abusive des données personnelles. Il a été suggéré d'instaurer un contrôle judiciaire indépendant pour renforcer ces garanties, soulignant ainsi la nécessité d'une réforme substantielle pour répondre aux normes internationales.

    En parallèle, l'utilisation par le gouvernement mauricien de moyens juridiques et financiers pour faire taire les journalistes locaux a été mentionnée. Ces préoccupations ont été accentuées par la révision de la loi sur les technologies de l'information et de la communication, qui autorise des peines de prison allant jusqu'à dix ans pour des contenus jugés "offensants" et "susceptibles de causer un préjudice".

    Violences policières et carcérales

    Les observations du département d'État des États-Unis en 2022 sur les droits humains à Maurice soulignent des problèmes persistants. Des allégations d'actes de torture policière, bien qu'interdits par la loi et la Constitution, persistent. Les vidéos choquantes de mai 2022, montrant des policiers agressant sexuellement un détenu, restent dans les mémoires. Malgré le lancement d'enquêtes, des doutes persistent quant à l'efficacité des mesures prises pour remédier à ces abus.

    Les rapports indépendants, tels que ceux du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, dressent un tableau plus sombre, mettant en avant des retards dans les enquêtes policières, des conditions carcérales problématiques et des atteintes à la liberté de la presse comme des points critiques nécessitant des améliorations urgentes.

    Les conditions de détention pour les affaires liées à la drogue sont également critiquées : la Commission nationale des droits de l'homme a mis en lumière des retards dans les enquêtes policières et recommande des révisions de la réglementation pénitentiaire conformément aux règles Nelson Mandela.
    Droits de l'homme : où se situe Maurice ? Maurice est actuellement au cœur de l'examen périodique universel (EPU) du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies. Alors que le gouvernement met en avant les avancées du pays, les rapports soulignent des défis majeurs, allant des conditions carcérales à la liberté de la presse. Maurice se retrouve une fois de plus sous les feux des projecteurs internationaux alors que le Groupe de travail sur l'Examen périodique universel (EPU) du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies examine la situation des droits de l'homme dans le pays. C'est la quatrième fois que le pays est soumis à cet examen. Ce mercredi, la délégation mauricienne, dirigée par le ministre des Affaires étrangères, Maneesh Gobin, a pris la responsabilité de défendre la position du gouvernement face à l'EPU à Genève. Bien que le premier rapport du gouvernement suggère que Maurice respecte largement les normes internationales, l'examen a mis en évidence plusieurs zones de préoccupation persistantes concernant la situation des droits de l'homme dans notre pays. Discriminations basées sur le genre et contre les personnes LGBT+ Malgré les indications du premier rapport gouvernemental suggérant que Maurice se conforme largement aux normes internationales, l'Examen périodique universel (EPU) a mis en lumière plusieurs préoccupations persistantes concernant la situation des droits de l'homme dans le pays. La question des discriminations basées sur le genre et contre les personnes LGBT+ a été particulièrement soulignée, mettant en évidence des lacunes dans la législation mauricienne en matière de protection des femmes et des personnes LGBT+. La Commission nationale des droits de l'homme a spécifiquement signalé le manque d'initiatives visant à remédier à l'augmentation notable des violences domestiques, recommandant des mesures plus étendues telles que des conseils prénuptiaux et des thérapies conjugales ciblant la violence domestique en collaboration avec des organisations non gouvernementales. Des critiques ont également été émises concernant la définition législative du conjoint, ce qui entrave la reconnaissance des couples homosexuels. Des recommandations ont été formulées pour élargir la portée de la loi sur la protection contre la violence domestique afin d'inclure les personnes LGBTQI vivant en union de fait. En outre, des appels ont été lancés en faveur de la dépénalisation totale de l'avortement et de l'instauration de mécanismes plus efficaces pour lutter contre la violence domestique persistante. Liberté d'expression et de la presse La législation mauricienne concernant les technologies de l'information et de la communication a été fortement critiquée en raison de nombreuses dispositions non conformes aux normes internationales en matière de liberté d'expression et de respect de la vie privée. L'Examen périodique universel (EPU) a ainsi appelé à un renforcement du cadre juridique mauricien afin d'assurer des protections adéquates contre la surveillance injustifiée et l'utilisation abusive des données personnelles. Il a été suggéré d'instaurer un contrôle judiciaire indépendant pour renforcer ces garanties, soulignant ainsi la nécessité d'une réforme substantielle pour répondre aux normes internationales. En parallèle, l'utilisation par le gouvernement mauricien de moyens juridiques et financiers pour faire taire les journalistes locaux a été mentionnée. Ces préoccupations ont été accentuées par la révision de la loi sur les technologies de l'information et de la communication, qui autorise des peines de prison allant jusqu'à dix ans pour des contenus jugés "offensants" et "susceptibles de causer un préjudice". Violences policières et carcérales Les observations du département d'État des États-Unis en 2022 sur les droits humains à Maurice soulignent des problèmes persistants. Des allégations d'actes de torture policière, bien qu'interdits par la loi et la Constitution, persistent. Les vidéos choquantes de mai 2022, montrant des policiers agressant sexuellement un détenu, restent dans les mémoires. Malgré le lancement d'enquêtes, des doutes persistent quant à l'efficacité des mesures prises pour remédier à ces abus. Les rapports indépendants, tels que ceux du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, dressent un tableau plus sombre, mettant en avant des retards dans les enquêtes policières, des conditions carcérales problématiques et des atteintes à la liberté de la presse comme des points critiques nécessitant des améliorations urgentes. Les conditions de détention pour les affaires liées à la drogue sont également critiquées : la Commission nationale des droits de l'homme a mis en lumière des retards dans les enquêtes policières et recommande des révisions de la réglementation pénitentiaire conformément aux règles Nelson Mandela.
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  • Maurice dans le top 5 des pays africains les plus chers
    Cette semaine à Maurice, de nouveaux chiffres sur la dette et le coût de la vie, les résultats tant attendus du HSC, et un blanchiment accéléré des coraux repéré dans le sud de l'île.

    La dette publique franchit un tout nouveau cap
    Au cours de la dernière année, la dette publique de l'île a enregistré une augmentation significative de Rs 36,83 milliards, d'après des données récemment publiées par le ministère des Finances. Ainsi, cette dette viendrait de franchir la barre des 500 milliards de roupies, pour atteindre 78,6% du PIB.

    Mais malgré cette hausse nominale, il est intéressant de noter que la dette publique en pourcentage du Produit intérieur brut (PIB) a connu une certaine diminution, passant de 83,2% en décembre 2022 à 78,6% en décembre 2023. Mais la dette nette du secteur public s'élèverait quand même à Rs 455,25 milliards, soit 69,9% du PIB. D'ailleurs, les données révèlent que les corps paraétatiques ont grandement contribué à cette dynamique, avec une dette excédant les Rs 30 milliards.

    Maurice dans le Top 5 des pays africains les plus chers
    Maurice, se retrouve parmi les dix pays africains où le coût de la vie est le plus élevé en 2024, occupant la 79e place dans le classement mondial, entre l'Éthiopie et la Zambie, selon les récentes données de Numbeo. Une position qui s'explique par la dépendance de l'île aux importations, ses ressources naturelles limitées, et l'impact des fluctuations économiques mondiales, facteurs qui contribuent à un niveau de vie relativement élevé pour ses résidents. L'indice du coût de la vie de Numbeo, utilisé pour mesurer les prix relatifs des biens de consommation essentiels, place les Bermudes en tête du classement, suivies par la Suisse et les îles Caïmans.
    Maurice dans le top 5 des pays africains les plus chers Cette semaine à Maurice, de nouveaux chiffres sur la dette et le coût de la vie, les résultats tant attendus du HSC, et un blanchiment accéléré des coraux repéré dans le sud de l'île. La dette publique franchit un tout nouveau cap Au cours de la dernière année, la dette publique de l'île a enregistré une augmentation significative de Rs 36,83 milliards, d'après des données récemment publiées par le ministère des Finances. Ainsi, cette dette viendrait de franchir la barre des 500 milliards de roupies, pour atteindre 78,6% du PIB. Mais malgré cette hausse nominale, il est intéressant de noter que la dette publique en pourcentage du Produit intérieur brut (PIB) a connu une certaine diminution, passant de 83,2% en décembre 2022 à 78,6% en décembre 2023. Mais la dette nette du secteur public s'élèverait quand même à Rs 455,25 milliards, soit 69,9% du PIB. D'ailleurs, les données révèlent que les corps paraétatiques ont grandement contribué à cette dynamique, avec une dette excédant les Rs 30 milliards. Maurice dans le Top 5 des pays africains les plus chers Maurice, se retrouve parmi les dix pays africains où le coût de la vie est le plus élevé en 2024, occupant la 79e place dans le classement mondial, entre l'Éthiopie et la Zambie, selon les récentes données de Numbeo. Une position qui s'explique par la dépendance de l'île aux importations, ses ressources naturelles limitées, et l'impact des fluctuations économiques mondiales, facteurs qui contribuent à un niveau de vie relativement élevé pour ses résidents. L'indice du coût de la vie de Numbeo, utilisé pour mesurer les prix relatifs des biens de consommation essentiels, place les Bermudes en tête du classement, suivies par la Suisse et les îles Caïmans.
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  • ?? PARTIR VIVRE AU PORTUGAL ? LES CLÉS POUR RÉUSSIR VOTRE EXPATRIATION
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  • Agathe 37 ans - Expatrié a Dubaï - 10 000 Euros/mois
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  • Reportage Familles Extraordinaires - Expatriés aux ETATS-UNIS, notre rêve américain
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  • Ma vie d'expatrié, de la Roumanie au Cambodge
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  • EXPATRIÉ AUX PHILIPPINES
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  • ?? Déménager en Turquie : les raisons qui nous ont poussées à l'expatriation !
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