Introduction
Si les activistes que décrit Nicolas de Pape ne sont qu’une poignée, il ne faut pas oublier que, à l’origine des grandes révolutions comme celle des bolcheviques, il n’y avait qu’une minorité de militants. D’ailleurs, la révolution culturelle que nous vivons est numérique, avec l’extrême mansuétude, voire la complicité des GAFAM et des chaînes en streaming telles Netflix. Pour le moment, le seul risque que prennent les lanceurs d’alerte est la mort médiatique. Mais gageons que, si jamais la cancel culture prend le dessus dans notre société, les camps de rééducation ne seront pas loin… Les médias, majoritairement de gauche, sont complices ou tétanisés. Les universitaires également. Même le monde financier et économique a peur d’apparaître comme « réactionnaire » alors que le racisme et le patriarcat règneraient tous azimuts. Le cataclysme climatique qu’on nous sert à chaque repas achève de paralyser toute critique : car comment s’opposer à ceux qui prétendent sauver Gaïa la Terre nourricière ? Il est urgent de combattre ce néo-progressisme qui en fin de compte n’est qu’un dévoiement de l’idée de progrès • La rédaction
Si les activistes que décrit Nicolas de Pape ne sont qu’une poignée, il ne faut pas oublier que, à l’origine des grandes révolutions comme celle des bolcheviques, il n’y avait qu’une minorité de militants. D’ailleurs, la révolution culturelle que nous vivons est numérique, avec l’extrême mansuétude, voire la complicité des GAFAM et des chaînes en streaming telles Netflix. Pour le moment, le seul risque que prennent les lanceurs d’alerte est la mort médiatique. Mais gageons que, si jamais la cancel culture prend le dessus dans notre société, les camps de rééducation ne seront pas loin… Les médias, majoritairement de gauche, sont complices ou tétanisés. Les universitaires également. Même le monde financier et économique a peur d’apparaître comme « réactionnaire » alors que le racisme et le patriarcat règneraient tous azimuts. Le cataclysme climatique qu’on nous sert à chaque repas achève de paralyser toute critique : car comment s’opposer à ceux qui prétendent sauver Gaïa la Terre nourricière ? Il est urgent de combattre ce néo-progressisme qui en fin de compte n’est qu’un dévoiement de l’idée de progrès • La rédaction
Introduction
Si les activistes que décrit Nicolas de Pape ne sont qu’une poignée, il ne faut pas oublier que, à l’origine des grandes révolutions comme celle des bolcheviques, il n’y avait qu’une minorité de militants. D’ailleurs, la révolution culturelle que nous vivons est numérique, avec l’extrême mansuétude, voire la complicité des GAFAM et des chaînes en streaming telles Netflix. Pour le moment, le seul risque que prennent les lanceurs d’alerte est la mort médiatique. Mais gageons que, si jamais la cancel culture prend le dessus dans notre société, les camps de rééducation ne seront pas loin… Les médias, majoritairement de gauche, sont complices ou tétanisés. Les universitaires également. Même le monde financier et économique a peur d’apparaître comme « réactionnaire » alors que le racisme et le patriarcat règneraient tous azimuts. Le cataclysme climatique qu’on nous sert à chaque repas achève de paralyser toute critique : car comment s’opposer à ceux qui prétendent sauver Gaïa la Terre nourricière ? Il est urgent de combattre ce néo-progressisme qui en fin de compte n’est qu’un dévoiement de l’idée de progrès • La rédaction
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