Témoignage d’un thanatopracteur sur les effets post-mortem du vaccin publié par FS.
En quoi consiste le métier de thanatopracteur ?
Il consiste à effectuer des soins de conservation en vue de retarder la thanatomorphose (décomposition du corps), puis à donner au défunt un air apaisé, afin de faciliter le processus de deuil pour la famille et les proches.
Quelle est votre formation ?
Durant la première année, on prépare le concours national théorique. Si l'on est reçu on peut commencer la partie pratique, ensuite on passe l’examen pratique quand on a réalisé le nombre de soins de conservation imposé (il y a un minimum de 100 soins).
Depuis combien de temps faites-vous ce métier ?
Depuis plusieurs années.
Quel est l'intérêt que vous trouvez à ce métier ?
On parle souvent de l’importance de la dernière image, dont le thanatopracteur est le garant. Les soins d'hygiène et de présentations consistent à effacer les stigmates de la mort, et sont essentiels pour permettre aux proches d’avoir une dernière vision dédramatisée de leur défunt, et ainsi favoriser leur deuil.
Comment effectuez-vous les soins ?
Cela consiste en une injection intra-artérielle de produits conservateurs et antiseptiques (exemple : le formol). Ceux-ci permettent d'assurer une bonne asepsie du corps. Ensuite, on ponctionne les liquides biologiques. La finalité du soin consiste à l'habillage du défunt avec les vêtements choisis par la famille, un maquillage très discret et naturel, puis la présentation en salon.
Qu'observez-vous actuellement ?
On observe de plus en plus d’AVC, d’infarctus et de morts inexpliquées chez des sujets âgés de 40 à 60 ans.
Est-ce que cela se produit dans votre région ou est-ce observé ailleurs ?
À ma connaissance dans plusieurs régions.
Qu’observez-vous chez de tels patients vaccinés et décédés ?
Le sang est très épais, le produit conservateur diffuse très bien dans les artères au début, mais il y a un problème de retour veineux, donc cela met les vaisseaux en pression. Le formol finit pas être bloqué et l'on ne récupère pas autant de sang qu’habituellement. Il y a beaucoup de caillots qui bouchent le trocart.
Le sang des défunts est comment habituellement ?
Fluide.
Quelles conséquences sur le soin ?
Le soin devient difficile, parfois impossible. Il y a un an, on n’observait pas de telles difficultés.
Avez-vous observé de tels cas auparavant ? Depuis combien de temps observez-vous cela ? Est-ce que cela empire ?
Non, pas comme ça, je n’ai pas observé de tels cas avant. Depuis plusieurs mois, depuis mars/avril 2021. Je ne pense pas que ça empire, mais c'est régulier. Il y a d’autres endroits en France où l’on observe les mêmes difficultés et d’autres endroits moins touchés.
Combien de temps après l’injection ? Quels vaccins ?
D'après les retours, les jours qui suivent l’injection, pas de précisions sur le type de vaccin.
Que disent les familles ?
Cela suscite des interrogations.
Les cas sont-ils déclarés à l'ANSM ?
Je l'ignore.
En parlez-vous entre vous ?
Oui avec certains collègues. Certains sont confrontés au même problème.
Y a-t-il des menaces à l'égard de ceux qui en parlent ?
Certains se seraient fait menacer, je ne sais pas par qui. Le sujet est tabou. C'est un sujet brûlant, comme beaucoup de sujets ces derniers temps. https://www.francesoir.fr/societe-sante/toxicite-des-vaccins-arn-contre-la-covid-19-investigation-thanatopracteurs
En quoi consiste le métier de thanatopracteur ?
Il consiste à effectuer des soins de conservation en vue de retarder la thanatomorphose (décomposition du corps), puis à donner au défunt un air apaisé, afin de faciliter le processus de deuil pour la famille et les proches.
Quelle est votre formation ?
Durant la première année, on prépare le concours national théorique. Si l'on est reçu on peut commencer la partie pratique, ensuite on passe l’examen pratique quand on a réalisé le nombre de soins de conservation imposé (il y a un minimum de 100 soins).
Depuis combien de temps faites-vous ce métier ?
Depuis plusieurs années.
Quel est l'intérêt que vous trouvez à ce métier ?
On parle souvent de l’importance de la dernière image, dont le thanatopracteur est le garant. Les soins d'hygiène et de présentations consistent à effacer les stigmates de la mort, et sont essentiels pour permettre aux proches d’avoir une dernière vision dédramatisée de leur défunt, et ainsi favoriser leur deuil.
Comment effectuez-vous les soins ?
Cela consiste en une injection intra-artérielle de produits conservateurs et antiseptiques (exemple : le formol). Ceux-ci permettent d'assurer une bonne asepsie du corps. Ensuite, on ponctionne les liquides biologiques. La finalité du soin consiste à l'habillage du défunt avec les vêtements choisis par la famille, un maquillage très discret et naturel, puis la présentation en salon.
Qu'observez-vous actuellement ?
On observe de plus en plus d’AVC, d’infarctus et de morts inexpliquées chez des sujets âgés de 40 à 60 ans.
Est-ce que cela se produit dans votre région ou est-ce observé ailleurs ?
À ma connaissance dans plusieurs régions.
Qu’observez-vous chez de tels patients vaccinés et décédés ?
Le sang est très épais, le produit conservateur diffuse très bien dans les artères au début, mais il y a un problème de retour veineux, donc cela met les vaisseaux en pression. Le formol finit pas être bloqué et l'on ne récupère pas autant de sang qu’habituellement. Il y a beaucoup de caillots qui bouchent le trocart.
Le sang des défunts est comment habituellement ?
Fluide.
Quelles conséquences sur le soin ?
Le soin devient difficile, parfois impossible. Il y a un an, on n’observait pas de telles difficultés.
Avez-vous observé de tels cas auparavant ? Depuis combien de temps observez-vous cela ? Est-ce que cela empire ?
Non, pas comme ça, je n’ai pas observé de tels cas avant. Depuis plusieurs mois, depuis mars/avril 2021. Je ne pense pas que ça empire, mais c'est régulier. Il y a d’autres endroits en France où l’on observe les mêmes difficultés et d’autres endroits moins touchés.
Combien de temps après l’injection ? Quels vaccins ?
D'après les retours, les jours qui suivent l’injection, pas de précisions sur le type de vaccin.
Que disent les familles ?
Cela suscite des interrogations.
Les cas sont-ils déclarés à l'ANSM ?
Je l'ignore.
En parlez-vous entre vous ?
Oui avec certains collègues. Certains sont confrontés au même problème.
Y a-t-il des menaces à l'égard de ceux qui en parlent ?
Certains se seraient fait menacer, je ne sais pas par qui. Le sujet est tabou. C'est un sujet brûlant, comme beaucoup de sujets ces derniers temps. https://www.francesoir.fr/societe-sante/toxicite-des-vaccins-arn-contre-la-covid-19-investigation-thanatopracteurs
Témoignage d’un thanatopracteur sur les effets post-mortem du vaccin publié par FS.
En quoi consiste le métier de thanatopracteur ?
Il consiste à effectuer des soins de conservation en vue de retarder la thanatomorphose (décomposition du corps), puis à donner au défunt un air apaisé, afin de faciliter le processus de deuil pour la famille et les proches.
Quelle est votre formation ?
Durant la première année, on prépare le concours national théorique. Si l'on est reçu on peut commencer la partie pratique, ensuite on passe l’examen pratique quand on a réalisé le nombre de soins de conservation imposé (il y a un minimum de 100 soins).
Depuis combien de temps faites-vous ce métier ?
Depuis plusieurs années.
Quel est l'intérêt que vous trouvez à ce métier ?
On parle souvent de l’importance de la dernière image, dont le thanatopracteur est le garant. Les soins d'hygiène et de présentations consistent à effacer les stigmates de la mort, et sont essentiels pour permettre aux proches d’avoir une dernière vision dédramatisée de leur défunt, et ainsi favoriser leur deuil.
Comment effectuez-vous les soins ?
Cela consiste en une injection intra-artérielle de produits conservateurs et antiseptiques (exemple : le formol). Ceux-ci permettent d'assurer une bonne asepsie du corps. Ensuite, on ponctionne les liquides biologiques. La finalité du soin consiste à l'habillage du défunt avec les vêtements choisis par la famille, un maquillage très discret et naturel, puis la présentation en salon.
Qu'observez-vous actuellement ?
On observe de plus en plus d’AVC, d’infarctus et de morts inexpliquées chez des sujets âgés de 40 à 60 ans.
Est-ce que cela se produit dans votre région ou est-ce observé ailleurs ?
À ma connaissance dans plusieurs régions.
Qu’observez-vous chez de tels patients vaccinés et décédés ?
Le sang est très épais, le produit conservateur diffuse très bien dans les artères au début, mais il y a un problème de retour veineux, donc cela met les vaisseaux en pression. Le formol finit pas être bloqué et l'on ne récupère pas autant de sang qu’habituellement. Il y a beaucoup de caillots qui bouchent le trocart.
Le sang des défunts est comment habituellement ?
Fluide.
Quelles conséquences sur le soin ?
Le soin devient difficile, parfois impossible. Il y a un an, on n’observait pas de telles difficultés.
Avez-vous observé de tels cas auparavant ? Depuis combien de temps observez-vous cela ? Est-ce que cela empire ?
Non, pas comme ça, je n’ai pas observé de tels cas avant. Depuis plusieurs mois, depuis mars/avril 2021. Je ne pense pas que ça empire, mais c'est régulier. Il y a d’autres endroits en France où l’on observe les mêmes difficultés et d’autres endroits moins touchés.
Combien de temps après l’injection ? Quels vaccins ?
D'après les retours, les jours qui suivent l’injection, pas de précisions sur le type de vaccin.
Que disent les familles ?
Cela suscite des interrogations.
Les cas sont-ils déclarés à l'ANSM ?
Je l'ignore.
En parlez-vous entre vous ?
Oui avec certains collègues. Certains sont confrontés au même problème.
Y a-t-il des menaces à l'égard de ceux qui en parlent ?
Certains se seraient fait menacer, je ne sais pas par qui. Le sujet est tabou. C'est un sujet brûlant, comme beaucoup de sujets ces derniers temps. https://www.francesoir.fr/societe-sante/toxicite-des-vaccins-arn-contre-la-covid-19-investigation-thanatopracteurs
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