Chaque soir, plusieurs centaines de personnes arrivent en France. Elles laissent derrière elles un pays pris d’assaut par les talibans.

«En descendant de l’avion, on leur propose d’abord un répit: dormir, manger, changer de vêtements, quand on n’a plus rien, on ne pense qu’à ça», raconte Delphine Rouilleault, directrice générale de l’association France terre d’asile. Chaque soir depuis mardi, plusieurs centaines de personnes - françaises ou non - arrivent en France et sont prises en charge par l’association. En majorité, ce sont des familles avec des enfants en bas âge.

À LIRE AUSSILes maires les plus désireux d’accueillir des Afghans ne sont pas les mieux placés pour intégrer les immigrés

À moins d’être complètement vaccinés contre le Covid, ils sont hébergés dans un hôtel en Île-de-France, pour un isolement de dix jours. «On en profite pour les informer sur leurs droits, pour leur permettre de prendre une décision quant à leur demande de droit d’asile, qu’on ne peut pas prendre dans le choc et le traumatisme du départ forcé», ajoute-t-elle. «Il est important d’assurer le rapatriement dans l’urgence des personnes exposées et à risque, mais la réalité est que bien plus de personnes sont en danger.»
Chaque soir, plusieurs centaines de personnes arrivent en France. Elles laissent derrière elles un pays pris d’assaut par les talibans. «En descendant de l’avion, on leur propose d’abord un répit: dormir, manger, changer de vêtements, quand on n’a plus rien, on ne pense qu’à ça», raconte Delphine Rouilleault, directrice générale de l’association France terre d’asile. Chaque soir depuis mardi, plusieurs centaines de personnes - françaises ou non - arrivent en France et sont prises en charge par l’association. En majorité, ce sont des familles avec des enfants en bas âge. À LIRE AUSSILes maires les plus désireux d’accueillir des Afghans ne sont pas les mieux placés pour intégrer les immigrés À moins d’être complètement vaccinés contre le Covid, ils sont hébergés dans un hôtel en Île-de-France, pour un isolement de dix jours. «On en profite pour les informer sur leurs droits, pour leur permettre de prendre une décision quant à leur demande de droit d’asile, qu’on ne peut pas prendre dans le choc et le traumatisme du départ forcé», ajoute-t-elle. «Il est important d’assurer le rapatriement dans l’urgence des personnes exposées et à risque, mais la réalité est que bien plus de personnes sont en danger.»
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