• Notre équipe du Cameroun, les gars du pays.
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  • 1. LE POULET DG DU CAMEROUN
    Le poulet DG qui veut dire poulet du directeur général, est un plat camerounais qui était à son origine réservé aux personnes de ayant une certaine importance sociale, d’où son nom.

    2. LE GARBA
    Plat populaire de Côte d’Ivoire, il se compose principalement d’attiéké, qui est une sorte de semoule faite à partir de manioc.
    Accompagné avec du thon frit, de piment frais, de tomates, d’oignon le tout relevé par un cube d’assaisonnement.

    3. LE BOBOTIE
    Le Bobotie est un plat d’Afrique du Sud qui aurait été importé par les colons hollandais au 17ème siècle. On retrouve d’ailleurs ce plat dans tous les pays autour de l’Afrique du Sud mais aussi en Argentine, où se sont installés un groupe de colons hollandais.
    Originalement fait avec du porc ou du mouton, il est plus commun aujourd’hui de le voir préparé avec du bœuf ou de l’agneau.

    4. LE YASSA
    Plat sénégalo-malien, le yassa est très présent dans toute l’Afrique-Occidentale et surtout les pays francophones. C’est un plat simple très apprécié car il est rapide à faire et les ingrédients ne coutent pas chers.

    5. LE DORO WAT
    Présent en Ethiopie et en Erythrée, le doro wat est un plat populaire de l’Afrique de l’est. C’est un type de ragout à base de poulet avec une sauce au piment. Le plat est servi avec des œufs et des légumes, le tout sur une galette à base de farine de teff que l’on appelle injeera.

    6. LE COUSCOUS
    Plat ultrapopulaire dans le monde entiers et emblématique de l’Afrique du nord, le couscous existe en beaucoup de variante selon les différents endroits. Issue dans mélange de cuisine berbère et juive du Maghreb il existe en fonction du pays de grandes différences entre les différents types de couscous.

    La base est la même pour tous, c’est de la semoule mélangée à un peu d’huile d’olive. Pour la suite tout dépend de quelle région tu es et de l’occasion à laquelle tu manges un couscous. Différents types de viande voir même du poisson, avec ou sans légumes, les différentes combinaisons sont énormes.

    Par exemple au Maroc le couscous avec des légumes n’est jamais servi lors des cérémonies sauf les enterrements, il y existe différents types de couscous pour différentes fêtes célébrées.

    C’est donc à toi de trouver qu’elle est la combinaison qui te va le mieux avec du poisson ou de l’agneau ou comme en France avec différents types de viandes mélangées. Des légumes, des œufs, du piment ou différents féculents peuvent être choisie dans un couscous.

    7. LE NDOLÈ
    A la base ndolè est le nom d’une plante endémique au sud-ouest du Cameroun. C’est un très bel arbuste qui pousse dans les régions montagneuses et humides. Cette plante est utilisée depuis très longtemps pour ces nombreuses vertus thérapeutiques notamment contre les parasites intestinaux, les maux de têtes et la malaria.

    8. LE THIÉBOUDIENNE
    Il existe deux variations de thieb, le thiéboudienne plus classique qui signifie littéralement « riz au poisson » et le thiebouyappe qui est une variante remplaçant le poisson par de la viande.

    Ces deux variantes sont les plats les plus célèbres de la cuisine sénégalaise, c’est le plat national du Sénégal.

    9. LE TAJINE
    Plat d’Afrique du nord, il est surtout associé au Maroc. Le tajine est célèbre car c’est un plat familial servit dans un plat très atypique et très décoré.

    10. LE MAFÉ
    Originaire du Mali, notamment du peuple mandingue et consommé dans une grande partie de l’Afrique subsaharienne.
    1. LE POULET DG DU CAMEROUN Le poulet DG qui veut dire poulet du directeur général, est un plat camerounais qui était à son origine réservé aux personnes de ayant une certaine importance sociale, d’où son nom. 2. LE GARBA Plat populaire de Côte d’Ivoire, il se compose principalement d’attiéké, qui est une sorte de semoule faite à partir de manioc. Accompagné avec du thon frit, de piment frais, de tomates, d’oignon le tout relevé par un cube d’assaisonnement. 3. LE BOBOTIE Le Bobotie est un plat d’Afrique du Sud qui aurait été importé par les colons hollandais au 17ème siècle. On retrouve d’ailleurs ce plat dans tous les pays autour de l’Afrique du Sud mais aussi en Argentine, où se sont installés un groupe de colons hollandais. Originalement fait avec du porc ou du mouton, il est plus commun aujourd’hui de le voir préparé avec du bœuf ou de l’agneau. 4. LE YASSA Plat sénégalo-malien, le yassa est très présent dans toute l’Afrique-Occidentale et surtout les pays francophones. C’est un plat simple très apprécié car il est rapide à faire et les ingrédients ne coutent pas chers. 5. LE DORO WAT Présent en Ethiopie et en Erythrée, le doro wat est un plat populaire de l’Afrique de l’est. C’est un type de ragout à base de poulet avec une sauce au piment. Le plat est servi avec des œufs et des légumes, le tout sur une galette à base de farine de teff que l’on appelle injeera. 6. LE COUSCOUS Plat ultrapopulaire dans le monde entiers et emblématique de l’Afrique du nord, le couscous existe en beaucoup de variante selon les différents endroits. Issue dans mélange de cuisine berbère et juive du Maghreb il existe en fonction du pays de grandes différences entre les différents types de couscous. La base est la même pour tous, c’est de la semoule mélangée à un peu d’huile d’olive. Pour la suite tout dépend de quelle région tu es et de l’occasion à laquelle tu manges un couscous. Différents types de viande voir même du poisson, avec ou sans légumes, les différentes combinaisons sont énormes. Par exemple au Maroc le couscous avec des légumes n’est jamais servi lors des cérémonies sauf les enterrements, il y existe différents types de couscous pour différentes fêtes célébrées. C’est donc à toi de trouver qu’elle est la combinaison qui te va le mieux avec du poisson ou de l’agneau ou comme en France avec différents types de viandes mélangées. Des légumes, des œufs, du piment ou différents féculents peuvent être choisie dans un couscous. 7. LE NDOLÈ A la base ndolè est le nom d’une plante endémique au sud-ouest du Cameroun. C’est un très bel arbuste qui pousse dans les régions montagneuses et humides. Cette plante est utilisée depuis très longtemps pour ces nombreuses vertus thérapeutiques notamment contre les parasites intestinaux, les maux de têtes et la malaria. 8. LE THIÉBOUDIENNE Il existe deux variations de thieb, le thiéboudienne plus classique qui signifie littéralement « riz au poisson » et le thiebouyappe qui est une variante remplaçant le poisson par de la viande. Ces deux variantes sont les plats les plus célèbres de la cuisine sénégalaise, c’est le plat national du Sénégal. 9. LE TAJINE Plat d’Afrique du nord, il est surtout associé au Maroc. Le tajine est célèbre car c’est un plat familial servit dans un plat très atypique et très décoré. 10. LE MAFÉ Originaire du Mali, notamment du peuple mandingue et consommé dans une grande partie de l’Afrique subsaharienne.
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  • La loi qui donne au président USA licence de tuer
    Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais)

    Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger

    Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004.

    Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen.

    La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants.

    Manlio Dinucci

    La loi qui donne au président USA licence de tuer Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais) Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004. Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen. La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants. Manlio Dinucci
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Babapub

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