• Rapport Condon

    Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force.

    Travaux:

    Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ».

    Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre

    Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type.

    Le contexte:

    Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain.

    Les principaux résultats de l’équipe Condon

    Analyse de la photo de McMinnville:

    Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.»

    Une étude chahutée

    La réaction négative des partisans des ovnis:

    Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond.

    Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport.

    Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ».

    La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain:

    Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire.

    James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête.

    Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes.

    Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles.

    Source: Wikipedia
    Rapport Condon Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force. Travaux: Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ». Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type. Le contexte: Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain. Les principaux résultats de l’équipe Condon Analyse de la photo de McMinnville: Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.» Une étude chahutée La réaction négative des partisans des ovnis: Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond. Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport. Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ». La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain: Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire. James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête. Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes. Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles. Source: Wikipedia
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  • Coronavirus : Pour le Pr. Montagnier, nous sommes confrontés à un virus manipulé par les Chinois avec de l’ADN de VIH !

    Le célèbre biologiste virologue français, découvreur en 1983 du VIH, Prix Nobel 2008, a bien voulu répondre aux questions du Dr Jean-François Lemoine pour le site Pourquoi Docteur. Ce qu’il énonce dans cet entretien est pour le moins surprenant et ne manquera pas de lui valoir des accusations de conspirationnisme.

    Très peu de temps après la publication de ces propos, plusieurs scientifiques ont souhaité réfuter immédiatement la théorie du Professeur Montagnier.

    Voici l’intégralité de l’entretien enregistré diffusé sur le site Pourquoi Docteur :

    https://play.acast.com/s/5e6f65a454ef80a13f838a4e/5e984b231a43333372f5349a
    Coronavirus : Pour le Pr. Montagnier, nous sommes confrontés à un virus manipulé par les Chinois avec de l’ADN de VIH ! Le célèbre biologiste virologue français, découvreur en 1983 du VIH, Prix Nobel 2008, a bien voulu répondre aux questions du Dr Jean-François Lemoine pour le site Pourquoi Docteur. Ce qu’il énonce dans cet entretien est pour le moins surprenant et ne manquera pas de lui valoir des accusations de conspirationnisme. Très peu de temps après la publication de ces propos, plusieurs scientifiques ont souhaité réfuter immédiatement la théorie du Professeur Montagnier. Voici l’intégralité de l’entretien enregistré diffusé sur le site Pourquoi Docteur : https://play.acast.com/s/5e6f65a454ef80a13f838a4e/5e984b231a43333372f5349a
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    Le journal du 16 avril de la Covid-19
    Nous sommes le jeudi 16 avril et il est 15 heures, et le Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine accrédite l'hypothèse que le nouveau coronavirus serait issu d'une tentative malheureuse visant à créer un vaccin contre le VIH.Le journal quotidien de la pandémie Covid-19 avec le Dr Jean-François Lemoine.Au moment où le coronavirus SARS-CoV-2 fait irruption dans nos vies et où le doute sur l'origine du virus est au plus haut, le Professeur Luc Montagnier fait éclater une bombe, en exclusivité dans notre journal.Virologue de renom et prix Nobel de médecine pour la découverte du virus du SIDA, il raconte une tout autre histoire que la version officielle chinoise (chauve souris, Pangolin, marchés de wuhan...) pour ramener l’origine de ce virus au laboratoire de virologie de haute sécurité de Wuhan.Des recherches sur les vaccins contre le SIDA auraient échappé à leurs auteurs : le nouveau coronavirus contiendrait en effet des séquences d'un autre virus qu'il connaît bien, le VIH, une combinaison impossible à obtenir par le seul hasard de la nature.Un phénomène qu'il daterait du dernier semestre 2019…Avec les conséquences mondiales que l’on mesure aujourd’hui.Ecoutez-le ! L’argumentation est étayée… mais impossible à vérifier à notre niveau. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
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  • Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le résultat d’une campagne étrangère ciblée

    Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales à l’Université fédérale de Rio de Janeiro ; conseiller géopolitique.

    Après plusieurs allégations non fondées selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisé des armes à micro-ondes pour causer des problèmes de santé aux diplomates américains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est délibérément provoqué par des agents étrangers. Cependant, les services de renseignements américains confirment d’affirmer que dans certains cas spécifiques, il existe des preuves d’implication étrangère, suggèrent que Washington veut simplement éviter les accusations d’utilisation de théories du complot, mais s’en tient à sa rhétorique anti-russe et anti-chinoise.

    Récemment, la CIA a publié des informations sur un rapport de l’étude résultante sur le cas du syndrome à La Havane. Après plusieurs analyses et enquêtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale délibérément organisée par des « puissances hostiles » - associées à la Russie ou à la Chine – pour produire les symptômes décrits par les diplomates américains.

    Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a été trouvée. Aucun mécanisme spécifique n’a été identifié qui pourrait causer les symptômes. Les portes-parole de la CIA ont également précisé qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles études et données pourraient indiquer une action étrangère délibérée.

    Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial délibéré de la partie de nations hostiles, l’agence a précisé que dans certains cas spécifiques, il existe la possibilité d’une implication étrangère. Il est intéressant de noter qu’aucun détail n’a été donné sur ces « cas spécifiques » et les preuves d’une action étrangère, ce qui suggère que la rhétorique de Washington est une fois de plus basée sur des accusations de conspiration.

    Comme l’a déclaré un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur étranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilité d’une implication d’acteurs étrangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifié de mécanisme causal, une nouvelle arme utilisée pour le moment. »

    Depuis 2017, le gouvernement américain a adopté comme récit officiel le discours selon lequel Moscou et Pékin utilisent des armes technologiquement avancées pour induire des symptômes de nausées, de vertiges, d’acouphènes et de confusion mentale chez les diplomates américains. L’hypothèse la plus communément admise par les responsables américains est que les symptômes résultent de l’exposition des victimes à des ondes radioactives émises par des armes à micro-ondes prétendument utilisées par des agents secrets de pays ennemis américains.

    De telles affirmations sont bien sûr totalement infondées. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets décrits par les diplomates. Parfois, les accusations américaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais véritablement futuristes. Donc, avant de prétendre que tel ou tel pays est impliqué dans ce genre d’activités, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent réellement.

    Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates américains stationnés à Cuba et dans d’autres pays en développement seraient les cibles privilégiées d’une technologie aussi puissante si un pays disposait réellement de ce type d’armes. Néanmoins, il faut dire que les symptômes rapportés par les diplomates sont très fréquents dans divers types de maladies, notamment liés au stress et aux situations dangereuses, il est donc prématuré de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrôme ».

    Ce que nous voyons maintenant n’est pas un réel changement dans les croyances du gouvernement américain par rapport aux déclarations précédentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les théories du complot largement répandues. Washington ne semble pas intéressé à admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication étrangère, mais se sent obligé d’éviter d’être accusé d’utiliser une rhétorique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait à l’image des États-Unis dans la société internationale. Cela explique la position ambiguë de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan étranger, mais en même temps elle prétend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquête et qu’il existe une possibilité d’implication étrangère dans certaines situations spécifiques.

    La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prétendre à l’avenir qu’ils ont trouvé suffisamment de données pour prouver l’existence d’un plan étranger. C’est une manière de « justifier » des thèses non fondées et de leur donner une « validité scientifique ».
    Rapport de la CIA : Le syndrome de La Havane n’est pas le résultat d’une campagne étrangère ciblée Par Lucas Leiroz : Chercheur en sciences sociales à l’Université fédérale de Rio de Janeiro ; conseiller géopolitique. Après plusieurs allégations non fondées selon lesquelles la Russie et la Chine auraient utilisé des armes à micro-ondes pour causer des problèmes de santé aux diplomates américains, la CIA a admis qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle le soi-disant « syndrome de La Havane » est délibérément provoqué par des agents étrangers. Cependant, les services de renseignements américains confirment d’affirmer que dans certains cas spécifiques, il existe des preuves d’implication étrangère, suggèrent que Washington veut simplement éviter les accusations d’utilisation de théories du complot, mais s’en tient à sa rhétorique anti-russe et anti-chinoise. Récemment, la CIA a publié des informations sur un rapport de l’étude résultante sur le cas du syndrome à La Havane. Après plusieurs analyses et enquêtes, l’agence semble avoir conclu qu’il n’y a pas suffisamment de preuves de l’existence d’une campagne mondiale délibérément organisée par des « puissances hostiles » - associées à la Russie ou à la Chine – pour produire les symptômes décrits par les diplomates américains. Contrairement aux affirmations du gouvernement, aucune preuve de l’utilisation d’armes radioactives n’a été trouvée. Aucun mécanisme spécifique n’a été identifié qui pourrait causer les symptômes. Les portes-parole de la CIA ont également précisé qu’il y a environ deux douzaines de cas qui sont toujours en cours, et que de nouvelles études et données pourraient indiquer une action étrangère délibérée. Cependant, la CIA n’a pas pris de position claire sur la question. Tout en reconnaissant qu’il n’y a aucune preuve d’un plan d’action mondial délibéré de la partie de nations hostiles, l’agence a précisé que dans certains cas spécifiques, il existe la possibilité d’une implication étrangère. Il est intéressant de noter qu’aucun détail n’a été donné sur ces « cas spécifiques » et les preuves d’une action étrangère, ce qui suggère que la rhétorique de Washington est une fois de plus basée sur des accusations de conspiration. Comme l’a déclaré un haut responsable de la CIA dans une interview sur le sujet : « Je n’y a pas une seule explication... On ne voit pas une campagne globale d’un acteur étranger (...) Nous n 'Exclurions certainement pas la possibilité d’une implication d’acteurs étrangers dans certains cas individuels, [mais] nous n’avons pas identifié de mécanisme causal, une nouvelle arme utilisée pour le moment. » Depuis 2017, le gouvernement américain a adopté comme récit officiel le discours selon lequel Moscou et Pékin utilisent des armes technologiquement avancées pour induire des symptômes de nausées, de vertiges, d’acouphènes et de confusion mentale chez les diplomates américains. L’hypothèse la plus communément admise par les responsables américains est que les symptômes résultent de l’exposition des victimes à des ondes radioactives émises par des armes à micro-ondes prétendument utilisées par des agents secrets de pays ennemis américains. De telles affirmations sont bien sûr totalement infondées. Tout d’abord, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer qu’aucun pays au monde ne dispose d’une telle technologie capable de produire les effets décrits par les diplomates. Parfois, les accusations américaines sonnaient non seulement comme des mots complotistes, mais véritablement futuristes. Donc, avant de prétendre que tel ou tel pays est impliqué dans ce genre d’activités, il appartiendrait aux États-Unis de prouver que de telles armes existent réellement. Un autre point est le fait qu’il est douteux que les diplomates américains stationnés à Cuba et dans d’autres pays en développement seraient les cibles privilégiées d’une technologie aussi puissante si un pays disposait réellement de ce type d’armes. Néanmoins, il faut dire que les symptômes rapportés par les diplomates sont très fréquents dans divers types de maladies, notamment liés au stress et aux situations dangereuses, il est donc prématuré de dire que les rapports sont des preuves suffisantes pour parler d’un nouveau « syndrôme ». Ce que nous voyons maintenant n’est pas un réel changement dans les croyances du gouvernement américain par rapport aux déclarations précédentes. Au contraire, il s’agit simplement d’une tentative de « confirmer » les théories du complot largement répandues. Washington ne semble pas intéressé à admettre qu’il n’y a aucune preuve d’implication étrangère, mais se sent obligé d’éviter d’être accusé d’utiliser une rhétorique complotiste et anti-scientifique, ce qui nuirait à l’image des États-Unis dans la société internationale. Cela explique la position ambiguë de la CIA : elle admet qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un plan étranger, mais en même temps elle prétend queque tous les cas n’ont pas fait l’objet d’une enquête et qu’il existe une possibilité d’implication étrangère dans certaines situations spécifiques. La CIA ouvre simplement la voie aux États-Unis pour prétendre à l’avenir qu’ils ont trouvé suffisamment de données pour prouver l’existence d’un plan étranger. C’est une manière de « justifier » des thèses non fondées et de leur donner une « validité scientifique ».
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  • 23:48 UTC
    Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l'ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deux assassinés par la Cabale, fondateur de Children's Health Defense appelle à une « grève mondiale » pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques.
    yhjuy

    Robert Kennedy Jr.
    La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d'assassins qu'ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

    Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l'opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent.

    Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n'a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l'épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l'Etat, soient aujourd'hui mis à pied alors qu'on nous fait croire à une fausse pandémie ?

    Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l'Istituto Superiore della Sanità italien (ISS - Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu'elles ne sont « que » 3783 !!

    Et même si la même campagne de diffamation qu'a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l'ISS considéré jusqu'à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l'ensemble des gouvernements des pays de l'OTAN, du Canada jusqu'à l'Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l'Italie, mentent à leurs peuples !

    Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccins. Les effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s'appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel !

    Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d'alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l'humanité »!
    Des collectifs d'avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l'homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte.
    Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l'Amérique et le monde d'une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l'humanité en esclavage ?

    Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d'individus ?

    Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par Attali, Rockefeller, le Duc d'Edimbourg, Bill Gates, Klaus Schwab et d'autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l'obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduire. Attali écrivant même que « les idiots iront à l'abattoir de leur plein gré ».

    Et c'est exactement ce qui se passe car l'individu moyen maintenu dans l'ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l'Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous !

    Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux. »

    Réveillons-nous frères humains avant qu'il ne soit trop tard !

    Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu'ils peuvent agir sans même être inquiétés !

    Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n'obtiendrons rien car ce pouvoir s'amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine » dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu'on lui ment, qu'on la conditionne, qu'on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu'elle protège la République alors qu'elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies !

    Cette première grève mondiale doit être le premier signal d'une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission.

    Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies !

    MOBILISATION !

    Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants !

    Commençons par paralyser l'économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !!

    APPEL À UNE « GRÈVE MONDIALE » POUR LE 3 NOV
    23:48 UTC Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l'ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deux assassinés par la Cabale, fondateur de Children's Health Defense appelle à une « grève mondiale » pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques. yhjuy Robert Kennedy Jr. La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d'assassins qu'ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l'opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent. Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n'a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l'épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l'Etat, soient aujourd'hui mis à pied alors qu'on nous fait croire à une fausse pandémie ? Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l'Istituto Superiore della Sanità italien (ISS - Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu'elles ne sont « que » 3783 !! Et même si la même campagne de diffamation qu'a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l'ISS considéré jusqu'à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l'ensemble des gouvernements des pays de l'OTAN, du Canada jusqu'à l'Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l'Italie, mentent à leurs peuples ! Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccins. Les effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s'appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel ! Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d'alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l'humanité »! Des collectifs d'avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l'homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte. Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l'Amérique et le monde d'une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l'humanité en esclavage ? Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d'individus ? Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par Attali, Rockefeller, le Duc d'Edimbourg, Bill Gates, Klaus Schwab et d'autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l'obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduire. Attali écrivant même que « les idiots iront à l'abattoir de leur plein gré ». Et c'est exactement ce qui se passe car l'individu moyen maintenu dans l'ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l'Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous ! Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux. » Réveillons-nous frères humains avant qu'il ne soit trop tard ! Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu'ils peuvent agir sans même être inquiétés ! Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n'obtiendrons rien car ce pouvoir s'amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine » dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu'on lui ment, qu'on la conditionne, qu'on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu'elle protège la République alors qu'elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies ! Cette première grève mondiale doit être le premier signal d'une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission. Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies ! MOBILISATION ! Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants ! Commençons par paralyser l'économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !! ✊ APPEL À UNE « GRÈVE MONDIALE » POUR LE 3 NOV
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