• Réforme des retraites : les Français peuvent remercier la Commission européenne !
    Lundi dernier, l’Assemblée nationale n’a pas adopté les motions de censure déposées contre le gouvernement Borne à la suite de son utilisation de l’article 49.3 pour faire passer la réforme des retraites. Depuis le début de cette séquence, Emmanuel Macron n’a pas cessé d’être méprisant à l’encontre du peuple français, mais surtout totalement déconnecté de ses attentes.
    Alors que plus de 70 % de la population est opposée à ce texte, que les mobilisations dans la rue continuent, que le Gouvernement a réduit au minimum le temps des débats et n’avait pas la majorité nécessaire à l’Assemblée pour adopter la réforme par un vote, Emmanuel Macron et Élisabeth Borne ont choisi le passage en force en se passant du vote de la représentation nationale.
    Mais pourquoi tant d’obstination face au rejet massif de cette réforme ? Le Gouvernement pourrait écouter le peuple et retirer son projet. Mais il ne le fera pas. N'oublions pas que la Commission européenne recommandait instamment cette réforme. En juillet 2020, les États membres de l'UE se sont accordés sur un vaste plan de relance européen dont la France va percevoir 40 milliards d'euros d’ici à 2026. Des conditions spécifiques doivent être remplies afin que la somme soit débloquée, notamment l’adoption de la réforme des retraites. "Cette relance sera liée à un certain nombre de réformes économiques qui l’accompagnent " avait alors précisé l’ancien secrétaire d’État aux Affaires européennes, Clément Beaune, expliquant que la France s'engagerait à mener plusieurs réformes, citant celle "des retraites".
    Ainsi, l’Union européenne a imposé une réforme injuste à la France dont les gouvernants sont inféodés à cette idéologie européiste qui s'exerce toujours au détriment des peuples européens. La souveraineté de ces peuples est pour nous une absolue priorité mais Macron, Borne et son gouvernement ont une vision toute différente et la réforme des retraites est un nouvel exemple de cette soumission. L’Europe des Nations est d’autant plus indispensable !

    Jean-Paul Garraud
    Président de la délégation RN au Parlement Européen
    © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française

    ATR 07K066
    Parlement européen
    60 rue Wiertz
    1047 Bruxelles
    Belgique



    Réforme des retraites : les Français peuvent remercier la Commission européenne ! Lundi dernier, l’Assemblée nationale n’a pas adopté les motions de censure déposées contre le gouvernement Borne à la suite de son utilisation de l’article 49.3 pour faire passer la réforme des retraites. Depuis le début de cette séquence, Emmanuel Macron n’a pas cessé d’être méprisant à l’encontre du peuple français, mais surtout totalement déconnecté de ses attentes. Alors que plus de 70 % de la population est opposée à ce texte, que les mobilisations dans la rue continuent, que le Gouvernement a réduit au minimum le temps des débats et n’avait pas la majorité nécessaire à l’Assemblée pour adopter la réforme par un vote, Emmanuel Macron et Élisabeth Borne ont choisi le passage en force en se passant du vote de la représentation nationale. Mais pourquoi tant d’obstination face au rejet massif de cette réforme ? Le Gouvernement pourrait écouter le peuple et retirer son projet. Mais il ne le fera pas. N'oublions pas que la Commission européenne recommandait instamment cette réforme. En juillet 2020, les États membres de l'UE se sont accordés sur un vaste plan de relance européen dont la France va percevoir 40 milliards d'euros d’ici à 2026. Des conditions spécifiques doivent être remplies afin que la somme soit débloquée, notamment l’adoption de la réforme des retraites. "Cette relance sera liée à un certain nombre de réformes économiques qui l’accompagnent " avait alors précisé l’ancien secrétaire d’État aux Affaires européennes, Clément Beaune, expliquant que la France s'engagerait à mener plusieurs réformes, citant celle "des retraites". Ainsi, l’Union européenne a imposé une réforme injuste à la France dont les gouvernants sont inféodés à cette idéologie européiste qui s'exerce toujours au détriment des peuples européens. La souveraineté de ces peuples est pour nous une absolue priorité mais Macron, Borne et son gouvernement ont une vision toute différente et la réforme des retraites est un nouvel exemple de cette soumission. L’Europe des Nations est d’autant plus indispensable ! Jean-Paul Garraud Président de la délégation RN au Parlement Européen © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française ATR 07K066 Parlement européen 60 rue Wiertz 1047 Bruxelles Belgique
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  • ? EXTRAIT - "Il faut échapper à ces constructions moralisatrices destinées à créer une identité pour créer un ennemi". Extrait de l'Entretien essentiel du 13 mars 2023, avec Patrice Gibertie, professeur d’histoire et de géopolitique. ?
    L'entretien complet : https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/complotiste-un-terme-utilise-contre-qui-remet-en-cause-la-construction
    ? EXTRAIT - "Il faut échapper à ces constructions moralisatrices destinées à créer une identité pour créer un ennemi". Extrait de l'Entretien essentiel du 13 mars 2023, avec Patrice Gibertie, professeur d’histoire et de géopolitique. ? L'entretien complet : https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/complotiste-un-terme-utilise-contre-qui-remet-en-cause-la-construction
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  • L'identité numérique, la monnaie numérique, et le crédit carbone pour les nuls.
    L'identité numérique, la monnaie numérique, et le crédit carbone pour les nuls.
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  • Immigration de masse: Scholz va nous faire regretter Merkel !


    Rappelez-vous tout d'abord les propos de Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, qui expliquait en novembre dernier que « l’hiver démographique de l’Europe est comblé par des apports du reste du monde ». Ses propos ont trouvé un écho dans plusieurs pays puisque de nombreuses initiatives visant à faire venir légalement en Europe des travailleurs étrangers sont mises en place.

    Rappelons aussi qu'en 2022, l’agence Frontex a comptabilisé 330.000 franchissements irréguliers des frontières extérieures de l’Union européenne. Un record depuis 2016. Face à cette augmentation de 64% d’entrée illégales par rapport 2021, la Commission veut encore accentuer les flux vers l’Europe.

    L’Allemagne s’apprête à battre tous les records avec sa nouvelle loi immigration qui sera bientôt discutée. Berlin veut assouplir les conditions d’entrée des étrangers sur son territoire.

    Il ne serait plus nécessaire de parler la langue ou de présenter un contrat de travail avant de s’installer dans le pays. Ainsi, plus de 400.000 travailleurs étrangers devraient être accueillis chaque année jusqu’en 2035, soit près de cinq millions de personnes. Olaf Scholz va finir par nous faire regretter Angela Merkel et son million d'immigrés !

    Heureusement, certains États membres de l'UE ont vu le danger. Ainsi, l’Autriche, la Grèce, le Danemark, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, Malte et la Slovaquie ont insisté, lors du Sommet européen sur la migration, sur la nécessité de renforcer la protection des frontières extérieures, y compris par le déploiement « d'infrastructures ». La Commission a pour l'instant refusé, estimant que « construire des murs et des barbelés » n'était pas la bonne solution. Mais ces pays insistent en demandant que l’UE utilise les nombreux leviers dont elle dispose : les visas, le commerce et les politiques de développement pour assurer le retour dans les pays d'origine de ces migrants. Bien sûr, la France ne s'occupe en rien du sujet et suit aveuglément la politique migratoire du chancelier allemand. Pourtant, ces millions de migrants, une fois en Allemagne, seront libres de circuler partout en Europe. Ils ne s'en priveront pas. L'Allemagne doit renoncer à son projet qui impactera toutes nos nations. Nous joindrons nos forces à celles qui refusent une telle politique, funeste pour l'avenir de notre civilisation.


    Jean-Paul Garraud
    Président de la délégation RN au Parlement européen

    © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française

    ATR 07K066
    Parlement européen
    60 rue Wiertz
    1047 Bruxelles
    Belgique


    Immigration de masse: Scholz va nous faire regretter Merkel ! Rappelez-vous tout d'abord les propos de Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, qui expliquait en novembre dernier que « l’hiver démographique de l’Europe est comblé par des apports du reste du monde ». Ses propos ont trouvé un écho dans plusieurs pays puisque de nombreuses initiatives visant à faire venir légalement en Europe des travailleurs étrangers sont mises en place. Rappelons aussi qu'en 2022, l’agence Frontex a comptabilisé 330.000 franchissements irréguliers des frontières extérieures de l’Union européenne. Un record depuis 2016. Face à cette augmentation de 64% d’entrée illégales par rapport 2021, la Commission veut encore accentuer les flux vers l’Europe. L’Allemagne s’apprête à battre tous les records avec sa nouvelle loi immigration qui sera bientôt discutée. Berlin veut assouplir les conditions d’entrée des étrangers sur son territoire. Il ne serait plus nécessaire de parler la langue ou de présenter un contrat de travail avant de s’installer dans le pays. Ainsi, plus de 400.000 travailleurs étrangers devraient être accueillis chaque année jusqu’en 2035, soit près de cinq millions de personnes. Olaf Scholz va finir par nous faire regretter Angela Merkel et son million d'immigrés ! Heureusement, certains États membres de l'UE ont vu le danger. Ainsi, l’Autriche, la Grèce, le Danemark, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, Malte et la Slovaquie ont insisté, lors du Sommet européen sur la migration, sur la nécessité de renforcer la protection des frontières extérieures, y compris par le déploiement « d'infrastructures ». La Commission a pour l'instant refusé, estimant que « construire des murs et des barbelés » n'était pas la bonne solution. Mais ces pays insistent en demandant que l’UE utilise les nombreux leviers dont elle dispose : les visas, le commerce et les politiques de développement pour assurer le retour dans les pays d'origine de ces migrants. Bien sûr, la France ne s'occupe en rien du sujet et suit aveuglément la politique migratoire du chancelier allemand. Pourtant, ces millions de migrants, une fois en Allemagne, seront libres de circuler partout en Europe. Ils ne s'en priveront pas. L'Allemagne doit renoncer à son projet qui impactera toutes nos nations. Nous joindrons nos forces à celles qui refusent une telle politique, funeste pour l'avenir de notre civilisation. Jean-Paul Garraud Président de la délégation RN au Parlement européen © Groupe Identité & Démocratie - Délégation française ATR 07K066 Parlement européen 60 rue Wiertz 1047 Bruxelles Belgique
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  • "Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité."
    Baisse de la natalité en Europe : l'heure est grave !
    En 2021, l’Union européenne a vu sa population baisser de 312 000 personnes, pour tomber à 447 millions d’habitants. Depuis 2012, le Vieux Continent enregistre plus de décès que de naissances.
    La France n’est évidemment pas épargnée : selon l’Insee dans son bilan démographique dévoilé mardi dernier, en 2022 la mortalité est en hausse avec 667.000 décès.
    La même année, 723.000 bébés ont vu le jour en France, soit 19.000 de moins que l’année précédente. Ce déficit de naissances est inquiétant à tous points de vue, tant la démographie est décisive depuis la nuit des temps.
    Alors que la réforme des retraites occupe les Français en ce moment, le sujet de la natalité est oublié par Emmanuel Macron. Or il est évident qu’avec moins d’actifs, notre système de retraites va couler. « Les bébés de 2023 sont les cotisants de 2043 », rappelle l’Unaf, l’Union nationale des associations familiales.
    Pour lutter contre ces défis démographiques, la Commission européenne a rappelé le 17 janvier sa volonté de soutenir la migration légale vers notre continent. Une fois n’est pas coutume, Bruxelles agite la vieille marotte de l’immigration comme moyen de sauver l’Europe. Je ne reviendrai pas sur les conséquences de ces choix funestes, nous ne les connaissons que trop bien.
    Les causes de cette dénatalité sont en grande partie liées à la réalité sociale que traversent des millions de nos concitoyens, qui s’inquiètent de leur capacité à pourvoir aux besoins économiques de l’enfant. Pourtant, les Français souhaitent avoir plus d’enfants selon des études sérieuses. Le rôle du gouvernement est donc de les y aider, et celui de la Commission est d’encourager les États membres à développer des politiques natalistes, comme la Hongrie qui a mis en place une politique de natalité ambitieuse par des aides dans l’accès à la propriété, et la Pologne qui a augmenté ses allocations familiales.
    Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité. 
     

    Jean-Paul Garraud
    Président de la délégation RN au Parlement européen 
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    "Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité." Baisse de la natalité en Europe : l'heure est grave ! En 2021, l’Union européenne a vu sa population baisser de 312 000 personnes, pour tomber à 447 millions d’habitants. Depuis 2012, le Vieux Continent enregistre plus de décès que de naissances. La France n’est évidemment pas épargnée : selon l’Insee dans son bilan démographique dévoilé mardi dernier, en 2022 la mortalité est en hausse avec 667.000 décès. La même année, 723.000 bébés ont vu le jour en France, soit 19.000 de moins que l’année précédente. Ce déficit de naissances est inquiétant à tous points de vue, tant la démographie est décisive depuis la nuit des temps. Alors que la réforme des retraites occupe les Français en ce moment, le sujet de la natalité est oublié par Emmanuel Macron. Or il est évident qu’avec moins d’actifs, notre système de retraites va couler. « Les bébés de 2023 sont les cotisants de 2043 », rappelle l’Unaf, l’Union nationale des associations familiales. Pour lutter contre ces défis démographiques, la Commission européenne a rappelé le 17 janvier sa volonté de soutenir la migration légale vers notre continent. Une fois n’est pas coutume, Bruxelles agite la vieille marotte de l’immigration comme moyen de sauver l’Europe. Je ne reviendrai pas sur les conséquences de ces choix funestes, nous ne les connaissons que trop bien. Les causes de cette dénatalité sont en grande partie liées à la réalité sociale que traversent des millions de nos concitoyens, qui s’inquiètent de leur capacité à pourvoir aux besoins économiques de l’enfant. Pourtant, les Français souhaitent avoir plus d’enfants selon des études sérieuses. Le rôle du gouvernement est donc de les y aider, et celui de la Commission est d’encourager les États membres à développer des politiques natalistes, comme la Hongrie qui a mis en place une politique de natalité ambitieuse par des aides dans l’accès à la propriété, et la Pologne qui a augmenté ses allocations familiales. Si nous voulons sauver notre identité, notre économie et notre modèle social, la France doit travailler urgemment à relancer sa natalité.    Jean-Paul Garraud Président de la délégation RN au Parlement européen  ­
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  • Quittons le marché européen de l’électricité !


    « Mon village va mourir » : tel est le cri de détresse de Julien, un boulanger contraint de fermer son commerce suite à l’envolée des prix de l’électricité. Depuis quelques semaines, plusieurs boulangeries ont dû mettre la clef sous la porte, faute de moyens financiers suffisants pour supporter la crise énergétique. Il en est de même pour tant d’autres professions, comme les restaurateurs.

    L’un d’entre eux a vu sa facture mensuelle d’électricité passer de 1200 euros par mois à 12. 000 euros. Cette multiplication des prix par dix touche l’ensemble de la population française.



    Les artisans-boulangers, comme tous nos artisans et nos producteurs, incarnent la France qui se lève tôt pour faire vivre le pays. Ils sont une part éminente de l’identité française. À cause de choix politiques et d’un manque de courage d’Emmanuel Macron, certains sont condamnés à voir leur emploi et leur entreprise disparaître. Cela pouvait être évité si le gouvernement avait écouté les propositions formulées par le Rassemblement National depuis des mois, notamment l’évidente nécessité de quitter les règles européennes de fixation du prix de l’électricité. Ce mécanisme indexe les prix de l’électricité sur ceux du gaz. Les Espagnols et les Portugais ont obtenu une dérogation pour en sortir, pourquoi pas la France ?


    Nous devons reprendre le contrôle avec des prix réglementés bas, en adéquation avec le coût de la production française. Celle-ci doit par ailleurs être relancée. Il y a trois ans, Emmanuel Macron se vantait de fermer Fessenheim, aujourd'hui, on rouvre des centrales à.…charbon! Hier, la France produisait la totalité de son électricité et se suffisait à elle-même, aujourd'hui elle est obligée de la vendre à bas coûts à l'étranger alors que, couplée au prix du gaz, l'électricité que nous importons, nous coûte très cher. Système absurde, totalement perdant-perdant! Évidemment, l'amélioration conséquente du parc nucléaire français est indispensable à la survie énergétique et donc économique de notre pays.


    C'est bien le contraire qui a été réalisé depuis de nombreuses années.
    Car la situation actuelle est bien le fruit de choix politiques désastreux. Il n'y a aucune fatalité. Rompre avec les règles européennes du marché de l’électricité est une nécessité. Baisser les taxes et, en particulier, la TVA sur les énergies en la portant à 5,5% en est une autre. Nous exigeons la mise en place de ces mesures pour protéger les Français, nos entreprises, nos artisans.



    Jean-Paul Garraud
    Président de la délégation RN au Parlement européen

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    « Augmentation de la facture énergétique : les entreprises françaises sont les premières victimes de la perte d’indépendance énergétique voulue par Emmanuel Macron. » | Regardez la vidéo :


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    ­
    ­

    « Une vision idéologique de l’avenir de nos campagnes. » | Retrouvez l'intervention de Gilles Lebreton :


    ­
    « La gauche supprime délibérément le nom de ses adversaires politiques d'une action commune pour soutenir Julian Assange et son combat pour la liberté d'expression. » | Retrouvez l'intervention de Marie Dauchy :


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    « La commission européenne normalise la gestation pour autrui (GPA). » | Retrouvez le communiqué de Jean-Paul Garraud :


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    « Revanche des peuples européens face à Bruxelles, défaillance énergétique du gouvernement français, déplacements. » | Regardez la lettre parlementaire de Jean-Lin Lacapelle :


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    « Désinformation sur Twitter révélée par Elon Musk : la Commission a-t-elle établi un ministère de la vérité ? » | Retrouvez la question écrite de Virginie Joron :


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