• Comment guérir la prostate ?
    Il n'y a pas de "guérison" spécifique pour la prostate, car cela dépend de la cause de la condition. Cependant, voici quelques options de traitement couramment utilisées pour traiter les problèmes de la prostate :

    Médicaments : Il existe des médicaments qui peuvent aider à soulager les symptômes de la prostate tels que les troubles de la miction. Les alpha-bloquants peuvent aider à relâcher les muscles de la prostate et de la vessie, tandis que les inhibiteurs de la 5-alpha réductase peuvent aider à réduire la taille de la prostate.

    Thérapie : La thérapie peut aider les hommes à gérer les symptômes de la prostate et à améliorer leur qualité de vie. La thérapie comportementale ou la thérapie de groupe peut aider les hommes à gérer le stress et l'anxiété liés à leur condition.

    Interventions chirurgicales : Il existe plusieurs types d'interventions chirurgicales qui peuvent être utilisées pour traiter les problèmes de la prostate, notamment la résection transurétrale de la prostate (TURP) et la prostatectomie radicale. Ces interventions peuvent aider à soulager les symptômes de la prostate, mais elles peuvent entraîner des effets secondaires tels que la dysfonction érectile et l'incontinence urinaire.

    Radiothérapie : La radiothérapie peut être utilisée pour traiter les tumeurs de la prostate. Il existe différents types de radiothérapie, comme la radiothérapie externe ou la curiethérapie, et ils peuvent être utilisés seuls ou en combinaison avec d'autres traitements.

    Il est important de noter que le traitement approprié pour une personne dépendra de sa situation médicale spécifique. Il est donc important de consulter un médecin pour discuter des options de traitement et pour déterminer la meilleure approche pour chaque individu.



    Comment guérir la prostate ? Il n'y a pas de "guérison" spécifique pour la prostate, car cela dépend de la cause de la condition. Cependant, voici quelques options de traitement couramment utilisées pour traiter les problèmes de la prostate : Médicaments : Il existe des médicaments qui peuvent aider à soulager les symptômes de la prostate tels que les troubles de la miction. Les alpha-bloquants peuvent aider à relâcher les muscles de la prostate et de la vessie, tandis que les inhibiteurs de la 5-alpha réductase peuvent aider à réduire la taille de la prostate. Thérapie : La thérapie peut aider les hommes à gérer les symptômes de la prostate et à améliorer leur qualité de vie. La thérapie comportementale ou la thérapie de groupe peut aider les hommes à gérer le stress et l'anxiété liés à leur condition. Interventions chirurgicales : Il existe plusieurs types d'interventions chirurgicales qui peuvent être utilisées pour traiter les problèmes de la prostate, notamment la résection transurétrale de la prostate (TURP) et la prostatectomie radicale. Ces interventions peuvent aider à soulager les symptômes de la prostate, mais elles peuvent entraîner des effets secondaires tels que la dysfonction érectile et l'incontinence urinaire. Radiothérapie : La radiothérapie peut être utilisée pour traiter les tumeurs de la prostate. Il existe différents types de radiothérapie, comme la radiothérapie externe ou la curiethérapie, et ils peuvent être utilisés seuls ou en combinaison avec d'autres traitements. Il est important de noter que le traitement approprié pour une personne dépendra de sa situation médicale spécifique. Il est donc important de consulter un médecin pour discuter des options de traitement et pour déterminer la meilleure approche pour chaque individu.
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  • #PetiteSalle #musique #musiques #concert
    Article parut sur son #site_officiel
    #Enfant c’est grâce à son #père #musicien #anglais qu’ #Alexis_Evans découvre la #musique #afro_américaine. Très #jeune il se passionne naturellement pour la #guitare et le #chant. #Adolescent c’est dans les #Jam_Blues des #clubs #Bordelais que cette #passion devient son #moteur.

    À tout juste 17 ans il monte son premier #groupe « #Jumpin_to_the_westside ». Il enregistre son 1er #opus, gagne le #prix jeune #talent « #Cognac_Blues_Passion » et s’envole pour la #IBC de #Memphis alors même qu’il n’a pas l’âge d’entrer dans les #bars.

    À son #retour il crée le « #ALEXIS_EVANS_TRIO » avec ses propres #compositions et #booke plusieurs #tournées. Il a 18 ans !

    Rapidement remarqué par la #presse spécialisée, il participe à plusieurs grandes #scènes ( #RDV de l’Erdre #Nantes, #Rhino_Jazz St-Étienne, #Ninkasi Lyon, #Club #Nubia #Paris, #Festivals #Relâche #Bordeaux, Festivals en #Angleterre, #Estonie, #Suisse, #Pays de #Galles, Festival #Jazz à #Vienne…). #Créatif et #challenger il décide d’agrandir sa #formation en #sextet avec #orgue #Hammond / #piano et #section #cuivres.

    « #Girl_Bait » un #album qui #Buzz :

    Le #succès du #disque (2500 #exemplaires chez #Doghouse & #Bone_Records) est immédiat. On peut l’entendre sur les #ondes comme #FIP ou #MOUV’ qui l’intègrent dans leur #sélection de l’été 2016. Distribué par de grandes #enseignes et tout bon #disquaire #indépendant, une seconde #édition est nécessaire. L’audience est #incontestable !

    Aujourd’hui, vient de sortir son deuxième album « I’ve come a long way », impatient de vous faire découvrir sa #Fresh_Soul ainsi accommodée du #swing_jazzy de toute sa #team.

    Alexis Evans arrive #décomplexé avec un #band au #charme rétro dont la #réputation n’est plus à faire ! Cet #artiste à la #voix chaude #irrésistible #maîtrise son #show et vous attire dans ses #filets doucement et gentiment. Mais tout cela pour mieux vous conquérir et vous finir sur le #dancefloor en mode #Rock_n_Roll !
    https://www.youtube.com/watch?v=2aeqzEXpdxU
    #PetiteSalle #musique #musiques #concert Article parut sur son #site_officiel #Enfant c’est grâce à son #père #musicien #anglais qu’ #Alexis_Evans découvre la #musique #afro_américaine. Très #jeune il se passionne naturellement pour la #guitare et le #chant. #Adolescent c’est dans les #Jam_Blues des #clubs #Bordelais que cette #passion devient son #moteur. À tout juste 17 ans il monte son premier #groupe « #Jumpin_to_the_westside ». Il enregistre son 1er #opus, gagne le #prix jeune #talent « #Cognac_Blues_Passion » et s’envole pour la #IBC de #Memphis alors même qu’il n’a pas l’âge d’entrer dans les #bars. À son #retour il crée le « #ALEXIS_EVANS_TRIO » avec ses propres #compositions et #booke plusieurs #tournées. Il a 18 ans ! Rapidement remarqué par la #presse spécialisée, il participe à plusieurs grandes #scènes ( #RDV de l’Erdre #Nantes, #Rhino_Jazz St-Étienne, #Ninkasi Lyon, #Club #Nubia #Paris, #Festivals #Relâche #Bordeaux, Festivals en #Angleterre, #Estonie, #Suisse, #Pays de #Galles, Festival #Jazz à #Vienne…). #Créatif et #challenger il décide d’agrandir sa #formation en #sextet avec #orgue #Hammond / #piano et #section #cuivres. « #Girl_Bait » un #album qui #Buzz : Le #succès du #disque (2500 #exemplaires chez #Doghouse & #Bone_Records) est immédiat. On peut l’entendre sur les #ondes comme #FIP ou #MOUV’ qui l’intègrent dans leur #sélection de l’été 2016. Distribué par de grandes #enseignes et tout bon #disquaire #indépendant, une seconde #édition est nécessaire. L’audience est #incontestable ! Aujourd’hui, vient de sortir son deuxième album « I’ve come a long way », impatient de vous faire découvrir sa #Fresh_Soul ainsi accommodée du #swing_jazzy de toute sa #team. Alexis Evans arrive #décomplexé avec un #band au #charme rétro dont la #réputation n’est plus à faire ! Cet #artiste à la #voix chaude #irrésistible #maîtrise son #show et vous attire dans ses #filets doucement et gentiment. Mais tout cela pour mieux vous conquérir et vous finir sur le #dancefloor en mode #Rock_n_Roll ! https://www.youtube.com/watch?v=2aeqzEXpdxU
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  • Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas confirmé de Covid-19 ». Il n’y a pas de pandémie.

    « La PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.

    Le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

    «... La totalité ou une partie importante de ces résultats positifs pourrait être due à des tests dits faussement positifs.

    Dr Michael Yeadon : Ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

    Cette utilisation abusive de la technologie RT-PCR est utilisée par certains gouvernements viens une stratégie impitoyable et délibérée pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’une variété de droits fondamentaux, ... sous prétexte d’une pandémie basée sur une série de tests RT-PCR positifs et pas sur un nombre réel de patients.

    Le . Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en médecine intensive et analyste de renom dans le domaine de la santé publique.

    introduction
    Les mensonges des médias, associés à une campagne de peur systémique et résolument construite, ont concernant l’image d’un virus tueur qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.

    Les milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées à nouveau pour le Covid-19.

    Au moment d’écrire ces lignes , environ 260 millions de personnes dans le monde ont été classées comme « cas confirmés de Covid-19 ».
    Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas confirmé de Covid-19 ». Il n’y a pas de pandémie. « La PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. Le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019. «... La totalité ou une partie importante de ces résultats positifs pourrait être due à des tests dits faussement positifs. Dr Michael Yeadon : Ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer Cette utilisation abusive de la technologie RT-PCR est utilisée par certains gouvernements viens une stratégie impitoyable et délibérée pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’une variété de droits fondamentaux, ... sous prétexte d’une pandémie basée sur une série de tests RT-PCR positifs et pas sur un nombre réel de patients. Le . Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en médecine intensive et analyste de renom dans le domaine de la santé publique. introduction Les mensonges des médias, associés à une campagne de peur systémique et résolument construite, ont concernant l’image d’un virus tueur qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde. Les milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées à nouveau pour le Covid-19. Au moment d’écrire ces lignes , environ 260 millions de personnes dans le monde ont été classées comme « cas confirmés de Covid-19 ».
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  • Corona fakes dans les médias suisses.
    Les faux Corona dans les médias suisses : trois exemples actuels.

    1) réactions vaccinales
    Plusieurs médias suisses ont rapporté récemment que le Youtuber suisse « Sputim » a démontré lecrédule Vaccine skeptics en les acclamant un faux site avec des dommages irréalistes de vaccins, en particulier des « têtes explosives ». Mais les médias suisses - don’t Tages-Anzeiger, SRF et Watson - sont eux-mêmes tombés dans le piège : parce que « Sputim » n’a ajouté les « têtes explosives » sur le site Web qu’après, comme lemontrent les entrées d’archives

    Contextes : En Suisse, on peut actuellement supposerplus de 10 000 réactions vaccinales graves et environ 250 décès liés au vaccin . Le vaccin Moderna, qui est principalement utilisé en Suisse, a maintenant été totalement ou partiellement retirédu marchédans plusieurs pays nordiques en raison du risque accru de lésions cardiaques chez les garçons . Fin août, lepremier écolier suisse et le premier jeune enseignant sont décédés du vaccin corona à l’âge de 25 ans.

    Voir aussi : Chaînes Telegram « Info Vaccination » (50k membres) et « Corona vaccination Damage Suisse » (30k membres), ainsi que l’aperçu SPR desdommages de la vaccination corona(18+). Le hashtag déprimant« de manière soudaine et inattendue »pour les décès liés a également été créé sur Twitter .

    2) carnets de vaccination
    En septembre, le gouvernement suisse a utilisé l’onde delta qui s’estompe pour introduire la carte de vaccination, tandis que le Danemark a annoncé en même temps qu’il évoquait la « carte de vaccination ». Les médias suisses affirmaient à l’époque que le Danemark n’avait pu le faire que grâce au « taux de vaccination élevé » et au « niveau élevé de confiance dans le gouvernement » (!).

    Mais c’était le contraire: début juin, sous la pression de l’opposition le gouvernement minoritaire danois a dûaccepterde révoquer le certificat de vaccination et les droits d’urgence quel que soit le quota de vaccination dès que tous les adultes auraient une offre de vaccination. Le Danemark a également été le théâtre de certaines des plus grandes manifestations civiles d’Europe, qui ont conduit à la chute du projet de loi danoise sur les épidémies, qui aurait, entre autres, prévu des exigences en matière de vaccination (voir les vidéosici et ici

    Contexte : les « passeports de vaccination » ont échoué dans le monde entier car les vaccinations corona ne peuvent empêcher les infections et la transmission. Pionnier du certificat de vaccination, Israël avait le taux d'infection le plus élevé au monde en septembre ; Singapour est actuellement en route malgré un taux de vaccination record de 80 %. L'épidémiologiste en chef de l'Islande a admis en août que le carnet de vaccination était "une erreur" . De nouvelles études confirment également que le taux de vaccination n'a aucune influence sur le taux d'infection. L'agenda du pass de vaccination n'a donc pas d' arrière-plan médical, mais stratégique

    Voir aussi : Le Forum économique mondial et la pandémie (SPR)

    3) Occupation de la clinique
    Au cours de delta vague en été présumé autorités suisses et les médias, il serait presque exclusivement non vaccinés hospitalisés sont ( « en cas de pandémie de non vaccinés »). Mais en attendant, ce que les sceptiques soupçonnaient à l'époque s'est confirmé : le BAG ne connaissait pas le statut vaccinal de nombreux patients Covid - un fait que le RKI allemand a récemment dû admettre

    Si vous regardez les chiffres complets, disponibles depuis octobre, vous pouvez voir qu'en septembre la proportion de personnes vaccinées dans les hospitalisations corona était déjà de 20 à 30 % et dans le cas des décès, même de 30 à 50 % (voir tableau de bord BAG révisé ). Depuis octobre, les premières cliniques suisses testent à nouveau tous les patients - et plus seulement les non vaccinés - pour Corona.

    Contexte:Pendant les vagues printanières et estivales, les personnes âgées suisses disposaient encore d’un niveau élevé de protection vaccinale contre les maladies graves. Cependant, comme auparavant en Israël, cela diminue maintenant rapidement. Jusqu’à présent, environ 30% à 40% de la population suisse a développé une immunité naturelle à long terme. Dans le cas des vaccinés, cependant, la question des « vaccinations de rappel », qui sont actuellement encore retardées en Suisse, se pose, peut-être pour des raisons politiques: en Israël, des personnes vaccinées deux fois ont déjà perduà nouveau leurs droits au carnet de vaccination.

    Voir aussi : « Ce qui se passe réellement dans les hôpitaux suisses. » (Corona Transition) Une série en plusieurs parties dans lesquelles des médecins et des infirmières suisses ont eu un compte de la situation réelle dans les cliniques.

    Bonus : masques
    À l'été 2020, les médias suisses ont rapporté à tort déjà diffuséLes "opposants au masque" français avaient tué un chauffeur de bus à Bayonne. En réalité, il s'agissait de petits criminels noirs ; l'incident n'avait rien à voir avec les masques. Seule la NZZ a publié un rapport factuel deux mois plus tard, mais sans déclarer qu'ils avaient eux-mêmesle faux rapport des agences de presse - et que les masques n'avaient bien sûr aucune influence sur la pandémie.

    Contexts : Depuis le début de la pandémie, les médias suisses tentent de dépeindre les militants des droits civiques et les détracteurs des politiques gouvernementales comme des « bizarreries dangereuses ». Actualement, cela concerne principalement les protestations contre les "passeports de vaccination" médicalement: Depuis le début de la pandémie, les médias suisses ont tenté de présenter les militants des droits civiques et les détracteurs de la politique gouvernementale comme des « cinglés dangereux ». en raison de millions de personnes dans le monde sont exclues de la vie sociale ou même du travail. Les protestations suisses semblent également sont Impliquer des "agents provocateurs" efficaces dans les médias.

    Voir aussi : Masques : aucune preuve d'efficacité (SPR)

    Addenda : Tests rapides
    Le magazine en ligne « Infosperber » s'habille actuellement d' un autre faux rapport diffusé par les autorités suisses et les médias : à savoir, l'affirmation selon laquelle les tests antigéniques rapides sont pires que les tests PCR dans la détection des personnes contagieuses. En réalité, les tests antigéniques rapides détectent 95% à 100% des personnes contagieuses, tandis que les tests PCR identifient de nombreuses personnes comme « positives » qui sont plus contagieuses. l'attention sur

    Contexte: Tous ces faux reportages dans les médias suisses servent le même objectif stratégique: pousser la population crédule et au “certificat de vaccination” - qui est déjà en cours d'extension au level international en un system d'identité biométrique numérique - ainsi que d'exclure et de diffamer les critiques de cet agenda.

    Voir aussi : L'échec des tests de masse par PCR (SPR)

    Graphisme
    A) Protection vaccinale au printemps et en été

    Les seniors suisses ont bénéficié d’une protection vaccinale au printemps (alpha) et en été (delta). Comparez les taux d’hospitalisation des groupes d’âge 60 ans et plus et 20-60 ans dans la première et la deuxième ainsi que dans les troisième et quatrième vagues dans le tableau suivant.


    Suisse : taux d’hospitalisation par tranche d’âge ( L’OFSP )
    B) L’utilisation des unités de soins intensifie les suisses

    Bleu clair : capacité de base; bleu foncé : malades Covid ; gris: lits gratuits. Contrairement à la plupart des graphiques multimédias, ce graphique est basé sur la charge de base (et non sur Covid).


    L’utilisation des unités suisses de soins s’intensifie (Stotz / OFSP)
    C) Les « mesures » suisses sans influence

    Les exigences en matière de masques, les confinements et la « 3G » n’ont eu aucun impact sur le taux d’infection. De même, le « relâchement » du printemps 2021 n’a eu aucun impact sur le taux d’infection.


    Suisse: « Mesures » sans influence sur le taux d’infection ( OFSP / Twitter )
    Voir aussi
    Utilisation des médias : sept conseils
    Le Navigateur Multimédia Corona
    SRF : L’analyse de la propagande
    Corona fakes dans les médias suisses. Les faux Corona dans les médias suisses : trois exemples actuels. 1) réactions vaccinales Plusieurs médias suisses ont rapporté récemment que le Youtuber suisse « Sputim » a démontré lecrédule Vaccine skeptics en les acclamant un faux site avec des dommages irréalistes de vaccins, en particulier des « têtes explosives ». Mais les médias suisses - don’t Tages-Anzeiger, SRF et Watson - sont eux-mêmes tombés dans le piège : parce que « Sputim » n’a ajouté les « têtes explosives » sur le site Web qu’après, comme lemontrent les entrées d’archives Contextes : En Suisse, on peut actuellement supposerplus de 10 000 réactions vaccinales graves et environ 250 décès liés au vaccin . Le vaccin Moderna, qui est principalement utilisé en Suisse, a maintenant été totalement ou partiellement retirédu marchédans plusieurs pays nordiques en raison du risque accru de lésions cardiaques chez les garçons . Fin août, lepremier écolier suisse et le premier jeune enseignant sont décédés du vaccin corona à l’âge de 25 ans. Voir aussi : Chaînes Telegram « Info Vaccination » (50k membres) et « Corona vaccination Damage Suisse » (30k membres), ainsi que l’aperçu SPR desdommages de la vaccination corona(18+). Le hashtag déprimant« de manière soudaine et inattendue »pour les décès liés a également été créé sur Twitter . 2) carnets de vaccination En septembre, le gouvernement suisse a utilisé l’onde delta qui s’estompe pour introduire la carte de vaccination, tandis que le Danemark a annoncé en même temps qu’il évoquait la « carte de vaccination ». Les médias suisses affirmaient à l’époque que le Danemark n’avait pu le faire que grâce au « taux de vaccination élevé » et au « niveau élevé de confiance dans le gouvernement » (!). Mais c’était le contraire: début juin, sous la pression de l’opposition le gouvernement minoritaire danois a dûaccepterde révoquer le certificat de vaccination et les droits d’urgence quel que soit le quota de vaccination dès que tous les adultes auraient une offre de vaccination. Le Danemark a également été le théâtre de certaines des plus grandes manifestations civiles d’Europe, qui ont conduit à la chute du projet de loi danoise sur les épidémies, qui aurait, entre autres, prévu des exigences en matière de vaccination (voir les vidéosici et ici Contexte : les « passeports de vaccination » ont échoué dans le monde entier car les vaccinations corona ne peuvent empêcher les infections et la transmission. Pionnier du certificat de vaccination, Israël avait le taux d'infection le plus élevé au monde en septembre ; Singapour est actuellement en route malgré un taux de vaccination record de 80 %. L'épidémiologiste en chef de l'Islande a admis en août que le carnet de vaccination était "une erreur" . De nouvelles études confirment également que le taux de vaccination n'a aucune influence sur le taux d'infection. L'agenda du pass de vaccination n'a donc pas d' arrière-plan médical, mais stratégique Voir aussi : Le Forum économique mondial et la pandémie (SPR) 3) Occupation de la clinique Au cours de delta vague en été présumé autorités suisses et les médias, il serait presque exclusivement non vaccinés hospitalisés sont ( « en cas de pandémie de non vaccinés »). Mais en attendant, ce que les sceptiques soupçonnaient à l'époque s'est confirmé : le BAG ne connaissait pas le statut vaccinal de nombreux patients Covid - un fait que le RKI allemand a récemment dû admettre Si vous regardez les chiffres complets, disponibles depuis octobre, vous pouvez voir qu'en septembre la proportion de personnes vaccinées dans les hospitalisations corona était déjà de 20 à 30 % et dans le cas des décès, même de 30 à 50 % (voir tableau de bord BAG révisé ). Depuis octobre, les premières cliniques suisses testent à nouveau tous les patients - et plus seulement les non vaccinés - pour Corona. Contexte:Pendant les vagues printanières et estivales, les personnes âgées suisses disposaient encore d’un niveau élevé de protection vaccinale contre les maladies graves. Cependant, comme auparavant en Israël, cela diminue maintenant rapidement. Jusqu’à présent, environ 30% à 40% de la population suisse a développé une immunité naturelle à long terme. Dans le cas des vaccinés, cependant, la question des « vaccinations de rappel », qui sont actuellement encore retardées en Suisse, se pose, peut-être pour des raisons politiques: en Israël, des personnes vaccinées deux fois ont déjà perduà nouveau leurs droits au carnet de vaccination. Voir aussi : « Ce qui se passe réellement dans les hôpitaux suisses. » (Corona Transition) Une série en plusieurs parties dans lesquelles des médecins et des infirmières suisses ont eu un compte de la situation réelle dans les cliniques. Bonus : masques À l'été 2020, les médias suisses ont rapporté à tort déjà diffuséLes "opposants au masque" français avaient tué un chauffeur de bus à Bayonne. En réalité, il s'agissait de petits criminels noirs ; l'incident n'avait rien à voir avec les masques. Seule la NZZ a publié un rapport factuel deux mois plus tard, mais sans déclarer qu'ils avaient eux-mêmesle faux rapport des agences de presse - et que les masques n'avaient bien sûr aucune influence sur la pandémie. Contexts : Depuis le début de la pandémie, les médias suisses tentent de dépeindre les militants des droits civiques et les détracteurs des politiques gouvernementales comme des « bizarreries dangereuses ». Actualement, cela concerne principalement les protestations contre les "passeports de vaccination" médicalement: Depuis le début de la pandémie, les médias suisses ont tenté de présenter les militants des droits civiques et les détracteurs de la politique gouvernementale comme des « cinglés dangereux ». en raison de millions de personnes dans le monde sont exclues de la vie sociale ou même du travail. Les protestations suisses semblent également sont Impliquer des "agents provocateurs" efficaces dans les médias. Voir aussi : Masques : aucune preuve d'efficacité (SPR) Addenda : Tests rapides Le magazine en ligne « Infosperber » s'habille actuellement d' un autre faux rapport diffusé par les autorités suisses et les médias : à savoir, l'affirmation selon laquelle les tests antigéniques rapides sont pires que les tests PCR dans la détection des personnes contagieuses. En réalité, les tests antigéniques rapides détectent 95% à 100% des personnes contagieuses, tandis que les tests PCR identifient de nombreuses personnes comme « positives » qui sont plus contagieuses. l'attention sur Contexte: Tous ces faux reportages dans les médias suisses servent le même objectif stratégique: pousser la population crédule et au “certificat de vaccination” - qui est déjà en cours d'extension au level international en un system d'identité biométrique numérique - ainsi que d'exclure et de diffamer les critiques de cet agenda. Voir aussi : L'échec des tests de masse par PCR (SPR) Graphisme A) Protection vaccinale au printemps et en été Les seniors suisses ont bénéficié d’une protection vaccinale au printemps (alpha) et en été (delta). Comparez les taux d’hospitalisation des groupes d’âge 60 ans et plus et 20-60 ans dans la première et la deuxième ainsi que dans les troisième et quatrième vagues dans le tableau suivant. Suisse : taux d’hospitalisation par tranche d’âge ( L’OFSP ) B) L’utilisation des unités de soins intensifie les suisses Bleu clair : capacité de base; bleu foncé : malades Covid ; gris: lits gratuits. Contrairement à la plupart des graphiques multimédias, ce graphique est basé sur la charge de base (et non sur Covid). L’utilisation des unités suisses de soins s’intensifie (Stotz / OFSP) C) Les « mesures » suisses sans influence Les exigences en matière de masques, les confinements et la « 3G » n’ont eu aucun impact sur le taux d’infection. De même, le « relâchement » du printemps 2021 n’a eu aucun impact sur le taux d’infection. Suisse: « Mesures » sans influence sur le taux d’infection ( OFSP / Twitter ) Voir aussi Utilisation des médias : sept conseils Le Navigateur Multimédia Corona SRF : L’analyse de la propagande
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  • #Passesanitaire : Macron envisage un assouplissement sur certains territoires, mais reste prudent

    Alors que les contaminations et les hospitalisations en soins critiques déclinent, le chef de l’Etat commence à agiter la promesse d’un relâchement des restrictions, mais reste toutefois prudent.

    Malgré la rentrée, l’épidémie de Covid-19 se calme en France. Le président Emmanuel Macron promet donc de réfléchir à relâcher les restrictions, à commencer par l’application du passe sanitaire, mais il reste pour l’heure très prudent. « Dès que les conditions sanitaires le permettront et, à mon avis, quand je vois les chiffres, ça ne va pas venir si tard », on pourra se « permettre, sur les territoires où le virus circule moins vite, de lever certaines contraintes et de revivre normalement », a déclaré ce jeudi le chef de l’Etat.

    Pas de quoi s’emballer pour autant : « Il n’a rien dit de neuf. Il a dit ce qu’il a déjà dit plusieurs fois : si la situation sanitaire le permet on ira vers un allègement des mesures, comme à chaque fois qu’on a pu depuis le début de la crise, explique au Parisien l’entourage du chef de l’Etat. Toujours la même chose, en regardant le taux d’incidence et la situation dans hôpitaux. »La rentrée s’annonçait pourtant incertaine et même risquée. L’été a été marqué par la propagation du variant Delta du coronavirus, nettement plus contagieux et résistant aux vaccins que ses prédécesseurs même si ces derniers restent très efficaces contre les formes graves. Comme d’autres pays, la France a connu une « quatrième vague » au début de l’été, avec une nette reprise des contaminations, y compris chez des personnes déjà vaccinées contre le Covid.

    Avec le retour au travail de nombreux employés et la reprise de l’école, on pouvait redouter que la flambée perdure. Mais celle-ci a en fait faibli. Depuis la mi-août, les contaminations reculent et, plus important encore, les hospitalisations en soins critiques, qui avaient progressé mais restaient limitées, se mettent à leur tour à décliner. La situation s’est « considérablement améliorée », a résumé jeudi le ministre de la Santé, Olivier Véran, précédant de quelques heures des propos semblables de Macron.

    Autre soulagement pour le gouvernement, le système de santé n’a, dans l’immédiat, guère pâti de l’entrée en vigueur mercredi de la vaccination obligatoire pour les soignants, alors que certains observateurs redoutaient des exclusions en masse. « Le 15 septembre noir, jour de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale des professionnels, tant commenté, fantasmé, qui annonçait une foule de contrevenants refusant la vaccination, n’a pas eu lieu ! » s’est félicitée dans un communiqué Zaynab Riet, déléguée générale de la Fédération hospitalière de France (FHF) qui réunit les principaux établissements du pays.

    Pas d’échéancier précis

    Enfin, la vaccination anti-Covid reste en France l’une des plus avancées parmi les pays européens, même si elle ralentit depuis quelques semaines. Evoqué depuis des semaines, l’objectif de 50 millions de primovaccinés -initialement fixé pour fin août- semble à portée de main pour cette fin de semaine.

    C’est donc dans ce contexte que l’Etat, en premier lieu Emmanuel Macron, commence à agiter la promesse d’un relâchement des restrictions, dont la plus emblématique des derniers mois : le passe sanitaire exigé dans de nombreux endroits, comme les restaurants et cinémas. Et le président de la République s’est dit prêt à le « lever (…) dans les endroits où on le met, là où le virus ne circule quasiment plus ». « Si je peux demain arrêter le passe sanitaire, je suis le plus heureux des hommes », a-t-il insisté.

    Mais le président de la République, qui s’exprimait lors des Rencontres de l’Union des entreprises de proximité (U2P), reste prudent et se garde de donner un échéancier précis, revendiquant son « pragmatisme ». Il a explicitement exclu tout allègement du passe sanitaire lors des deux à trois prochaines semaines, faisant écho au ton prudent employé quelques heures plus tôt par son ministre de la Santé. « Nous ne sommes pas encore dans une situation qui permet de réduire » les « mesures de contrôle de l’épidémie » car « ce serait un peu trop tôt », a estimé Véran.
    #Passesanitaire : Macron envisage un assouplissement sur certains territoires, mais reste prudent Alors que les contaminations et les hospitalisations en soins critiques déclinent, le chef de l’Etat commence à agiter la promesse d’un relâchement des restrictions, mais reste toutefois prudent. Malgré la rentrée, l’épidémie de Covid-19 se calme en France. Le président Emmanuel Macron promet donc de réfléchir à relâcher les restrictions, à commencer par l’application du passe sanitaire, mais il reste pour l’heure très prudent. « Dès que les conditions sanitaires le permettront et, à mon avis, quand je vois les chiffres, ça ne va pas venir si tard », on pourra se « permettre, sur les territoires où le virus circule moins vite, de lever certaines contraintes et de revivre normalement », a déclaré ce jeudi le chef de l’Etat. Pas de quoi s’emballer pour autant : « Il n’a rien dit de neuf. Il a dit ce qu’il a déjà dit plusieurs fois : si la situation sanitaire le permet on ira vers un allègement des mesures, comme à chaque fois qu’on a pu depuis le début de la crise, explique au Parisien l’entourage du chef de l’Etat. Toujours la même chose, en regardant le taux d’incidence et la situation dans hôpitaux. »La rentrée s’annonçait pourtant incertaine et même risquée. L’été a été marqué par la propagation du variant Delta du coronavirus, nettement plus contagieux et résistant aux vaccins que ses prédécesseurs même si ces derniers restent très efficaces contre les formes graves. Comme d’autres pays, la France a connu une « quatrième vague » au début de l’été, avec une nette reprise des contaminations, y compris chez des personnes déjà vaccinées contre le Covid. Avec le retour au travail de nombreux employés et la reprise de l’école, on pouvait redouter que la flambée perdure. Mais celle-ci a en fait faibli. Depuis la mi-août, les contaminations reculent et, plus important encore, les hospitalisations en soins critiques, qui avaient progressé mais restaient limitées, se mettent à leur tour à décliner. La situation s’est « considérablement améliorée », a résumé jeudi le ministre de la Santé, Olivier Véran, précédant de quelques heures des propos semblables de Macron. Autre soulagement pour le gouvernement, le système de santé n’a, dans l’immédiat, guère pâti de l’entrée en vigueur mercredi de la vaccination obligatoire pour les soignants, alors que certains observateurs redoutaient des exclusions en masse. « Le 15 septembre noir, jour de l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale des professionnels, tant commenté, fantasmé, qui annonçait une foule de contrevenants refusant la vaccination, n’a pas eu lieu ! » s’est félicitée dans un communiqué Zaynab Riet, déléguée générale de la Fédération hospitalière de France (FHF) qui réunit les principaux établissements du pays. Pas d’échéancier précis Enfin, la vaccination anti-Covid reste en France l’une des plus avancées parmi les pays européens, même si elle ralentit depuis quelques semaines. Evoqué depuis des semaines, l’objectif de 50 millions de primovaccinés -initialement fixé pour fin août- semble à portée de main pour cette fin de semaine. C’est donc dans ce contexte que l’Etat, en premier lieu Emmanuel Macron, commence à agiter la promesse d’un relâchement des restrictions, dont la plus emblématique des derniers mois : le passe sanitaire exigé dans de nombreux endroits, comme les restaurants et cinémas. Et le président de la République s’est dit prêt à le « lever (…) dans les endroits où on le met, là où le virus ne circule quasiment plus ». « Si je peux demain arrêter le passe sanitaire, je suis le plus heureux des hommes », a-t-il insisté. Mais le président de la République, qui s’exprimait lors des Rencontres de l’Union des entreprises de proximité (U2P), reste prudent et se garde de donner un échéancier précis, revendiquant son « pragmatisme ». Il a explicitement exclu tout allègement du passe sanitaire lors des deux à trois prochaines semaines, faisant écho au ton prudent employé quelques heures plus tôt par son ministre de la Santé. « Nous ne sommes pas encore dans une situation qui permet de réduire » les « mesures de contrôle de l’épidémie » car « ce serait un peu trop tôt », a estimé Véran.
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  • Respirer en plein conscience contribue grandement à calmer votre esprit troublé.
    Pendant la journée, inspectez votre corps. Si vous remarquez une tension dans votre corps, relâchez-le. Respirez profondément et étirez les zones de tension.
    Respirer en plein conscience contribue grandement à calmer votre esprit troublé. Pendant la journée, inspectez votre corps. Si vous remarquez une tension dans votre corps, relâchez-le. Respirez profondément et étirez les zones de tension.
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