• Dans une tribune, le kinésithérapeute Nicolas Védrines et le sociologue spécialiste des questions de santé (CNRS-Arènes) Frédéric Pierru défendent la réintégration des soignants non-vaccinés et s'insurgent contre « le caractère inique de la loi du 5 août 2021 » contraire au droit et pouvant mener à des drames.

    L’obligation vaccinale contre le Covid-19 des professionnels de santé ne peut se justifier ni par le peu d’ampleur résiduelle de l’épidémie sur une population largement immunisée, ni par l’efficacité vaccinale aujourd’hui incertaine, marginale et éphémère sur l’infection et plus encore sur la transmission. Il s’agit d’un consensus scientifique admis au niveau mondial.

    Lire la suite ? lien
    Dans une tribune, le kinésithérapeute Nicolas Védrines et le sociologue spécialiste des questions de santé (CNRS-Arènes) Frédéric Pierru défendent la réintégration des soignants non-vaccinés et s'insurgent contre « le caractère inique de la loi du 5 août 2021 » contraire au droit et pouvant mener à des drames. L’obligation vaccinale contre le Covid-19 des professionnels de santé ne peut se justifier ni par le peu d’ampleur résiduelle de l’épidémie sur une population largement immunisée, ni par l’efficacité vaccinale aujourd’hui incertaine, marginale et éphémère sur l’infection et plus encore sur la transmission. Il s’agit d’un consensus scientifique admis au niveau mondial. Lire la suite ? lien
    0 Комментарии 0 Поделились 10099 Просмотры 0 предпросмотр
  • 1. Quand les médias invitent un général qui leur dit la vérité !!! Le Général Henri Pinard-Legry ne voit pas les Russes responsables de l'explosion des Gazoducs. Ce qui est inquiétant c'est selon le journaliste un consensus de penser cela....
    1. Quand les médias invitent un général qui leur dit la vérité !!! Le Général Henri Pinard-Legry ne voit pas les Russes responsables de l'explosion des Gazoducs. Ce qui est inquiétant c'est selon le journaliste un consensus de penser cela....
    J'aime
    1
    0 Комментарии 0 Поделились 1469 Просмотры 6 0 предпросмотр
  • COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe »
    Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination.
    Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle.
    « La France n’a pas produit de vaccin »
    Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement.
    Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment »
    Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos.
    À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions »
    Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte.
    « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire »
    En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ? COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe » Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination. Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle. « La France n’a pas produit de vaccin » Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement. Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment » Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos. À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur. « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions » Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte. « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire » En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
    0 Комментарии 0 Поделились 16446 Просмотры 0 предпросмотр
  • L’épidémie de folie englouti le globe - Google ne veut pas que vous fassiez des recherches sur les psychoses de l’éducation de masse.

    Mercola.com
    Dans la formation de masse, un état hypnotique est créé autour d’un consensus commun.
    Ceux qui sont captivés se concentrent de manière obsessionnelle sur un échec du monde normal ou d’un événement particulier ou d’une personne qui devient le centre de l’attention et peut contrôler efficacement les masses.
    La formation des masses se produit dans une société avec des sentiments sociaux et des charges flottantes qui sont nombreuses en nombre de personnes ; elle conduit à une pensée totalitaire et finalement à des États totalitaires
    Après que le Dr Robert Malone ait mentionné l’éducation de masse dans un épisode de The Joe Rogan Experience, le terme est devenu viral.
    Les technocrates sont rapidement passés à l’action, manipulateurs les résultats de recherche et remplissant Google de propagande pour discréditer Malone et la théorie de la psychose de l’éducation de masse.
    À la fin de 2021, le terme « psychose de l’éducation de masse » avait une valeur de 0 sur Google Trends, ce qui signifie qu’il n’y a pas assez de données pour placer le terme dans les graphiques. Puis, le 31 décembre, le Dr Robert Malone, l’inventeur de la technologie de base des vaccins à ARNm et à ADN, a mentionné le terme dans un épisode de The Joe Rogan Experience qui a été vu par plus de 50 millions de personnes .
    L’épidémie de folie englouti le globe - Google ne veut pas que vous fassiez des recherches sur les psychoses de l’éducation de masse. Mercola.com Dans la formation de masse, un état hypnotique est créé autour d’un consensus commun. Ceux qui sont captivés se concentrent de manière obsessionnelle sur un échec du monde normal ou d’un événement particulier ou d’une personne qui devient le centre de l’attention et peut contrôler efficacement les masses. La formation des masses se produit dans une société avec des sentiments sociaux et des charges flottantes qui sont nombreuses en nombre de personnes ; elle conduit à une pensée totalitaire et finalement à des États totalitaires Après que le Dr Robert Malone ait mentionné l’éducation de masse dans un épisode de The Joe Rogan Experience, le terme est devenu viral. Les technocrates sont rapidement passés à l’action, manipulateurs les résultats de recherche et remplissant Google de propagande pour discréditer Malone et la théorie de la psychose de l’éducation de masse. À la fin de 2021, le terme « psychose de l’éducation de masse » avait une valeur de 0 sur Google Trends, ce qui signifie qu’il n’y a pas assez de données pour placer le terme dans les graphiques. Puis, le 31 décembre, le Dr Robert Malone, l’inventeur de la technologie de base des vaccins à ARNm et à ADN, a mentionné le terme dans un épisode de The Joe Rogan Experience qui a été vu par plus de 50 millions de personnes .
    0 Комментарии 0 Поделились 5120 Просмотры 0 предпросмотр
  • Fatigue du COVID ? Alors j’ai de bonnes nouvelles. Avons-nous atteint la fin de la pandémie ?
    Mercola.com

    De nombreux responsables de la santé et dirigeants mondiaux ont enfin compris que le vaccin contre la COVID ne peut pas mettre fin à la pandémie et que nous devons apprendre à vivre avec le virus. Certains se sont même prononcés contre les injections de rappel répétées.
    Une raison importante de ce revirement dans la représentation de la pandémie est l’apparition de la variante Omicron. Bien qu’il soit autorisé infectieux, il ne provoque que de légers symptômes du rhume chez la grande majorité des gènes ; il éclate en populations, subi derrière lui une immunité naturelle collective. En conséquence, beaucoup affirment maintenant que la fin de la pandémie est en vue.
    Près de 100% des cas de COVID dans la région de Boston sont maintenant omicron. En Nouvelle-Angleterre, l’épidémie actuelle de la pandémie devrait s’atténuer rapidement et disparaître au cours du mois de février 2022. Début janvier 2022, Omicron était responsable d’environ 73% de tous les cas de COVID aux États-Unis.
    Après deux ans d’alarmisme répété, la plupart des gènes en ont assez. Le consensus général semble être que les gens sont prêts à défier la vie même si la menace de la COVID demeure.
    Avec la base de l’immunité naturelle fournie par omicron, les populations seront beaucoup mieux équipées à l’avenir pour faire face aux souches émergentes sans augmenter considérées comme la mortalité.
    Près d’un an, les experts soulignent que Depuis les vaccins contre la COVID ne peuvent pas enforcer l’immunité collective pour mettre fin à la pandémie parce que les injections de transfert de gènes ne préviennent pas l’infection ou la transmission.

    Ce n’est pas sorcier, mais les responsables de la santé et les responsables gouvernementaux du monde entier ont irrationnellement affirmé le contraire, censurant donc osait proposer des approches alternatives – quelles que soient leurs qualifications.

    Maintenance, expliqué, la situation évolue rapidement, et beaucoup de ces personnes admettent que les « vaccins » COVID ne peuvent pas mettre fin à la pandémie et que nous devons apprendre à vivre avec le virus. Certainement s’oppose même à des injections de rappel répétées, au moins à des intervalles de trois à quatre mois.

    L’émergence de la variante omicron semble être l’une des principales raisons de ce renversement du récit de la pandémie. Bien qu’incroyablement contagieux, il ne provoque que de légers symptômes de rhume chez la grande majorité des gens, balayant essentiellement les populations, laissant derrière lui l’immunité naturelle du troupeau. En conséquence, beaucoup prétendent maintenant que la fin de la pandémie est en vue.
    Fatigue du COVID ? Alors j’ai de bonnes nouvelles. Avons-nous atteint la fin de la pandémie ? Mercola.com De nombreux responsables de la santé et dirigeants mondiaux ont enfin compris que le vaccin contre la COVID ne peut pas mettre fin à la pandémie et que nous devons apprendre à vivre avec le virus. Certains se sont même prononcés contre les injections de rappel répétées. Une raison importante de ce revirement dans la représentation de la pandémie est l’apparition de la variante Omicron. Bien qu’il soit autorisé infectieux, il ne provoque que de légers symptômes du rhume chez la grande majorité des gènes ; il éclate en populations, subi derrière lui une immunité naturelle collective. En conséquence, beaucoup affirment maintenant que la fin de la pandémie est en vue. Près de 100% des cas de COVID dans la région de Boston sont maintenant omicron. En Nouvelle-Angleterre, l’épidémie actuelle de la pandémie devrait s’atténuer rapidement et disparaître au cours du mois de février 2022. Début janvier 2022, Omicron était responsable d’environ 73% de tous les cas de COVID aux États-Unis. Après deux ans d’alarmisme répété, la plupart des gènes en ont assez. Le consensus général semble être que les gens sont prêts à défier la vie même si la menace de la COVID demeure. Avec la base de l’immunité naturelle fournie par omicron, les populations seront beaucoup mieux équipées à l’avenir pour faire face aux souches émergentes sans augmenter considérées comme la mortalité. Près d’un an, les experts soulignent que Depuis les vaccins contre la COVID ne peuvent pas enforcer l’immunité collective pour mettre fin à la pandémie parce que les injections de transfert de gènes ne préviennent pas l’infection ou la transmission. Ce n’est pas sorcier, mais les responsables de la santé et les responsables gouvernementaux du monde entier ont irrationnellement affirmé le contraire, censurant donc osait proposer des approches alternatives – quelles que soient leurs qualifications. Maintenance, expliqué, la situation évolue rapidement, et beaucoup de ces personnes admettent que les « vaccins » COVID ne peuvent pas mettre fin à la pandémie et que nous devons apprendre à vivre avec le virus. Certainement s’oppose même à des injections de rappel répétées, au moins à des intervalles de trois à quatre mois. L’émergence de la variante omicron semble être l’une des principales raisons de ce renversement du récit de la pandémie. Bien qu’incroyablement contagieux, il ne provoque que de légers symptômes de rhume chez la grande majorité des gens, balayant essentiellement les populations, laissant derrière lui l’immunité naturelle du troupeau. En conséquence, beaucoup prétendent maintenant que la fin de la pandémie est en vue.
    0 Комментарии 0 Поделились 8228 Просмотры 0 предпросмотр
Спонсоры

Devenez cryptomillionnaire

Comment un gamin de 19 ans a rapidement transformé 1000 $ en 1,5 million de dollars. Voici la méthode ultime pour faire fortune avec le bitcoin ! Êtes-vous prêt à...

Спонсоры