Mise à niveau vers Pro

  • Les anciens Égyptiens avaient déjà découvert les vertus médicinales du pain moisi. Ils l’appliquaient sur les plaies et coupures infectées pour soigner leurs patients, sans vraiment comprendre pourquoi cela fonctionnait.

    Ce n’est qu’en 1928, soit 5 000 ans plus tard, que la science moderne a enfin expliqué ce mystère. Le scientifique Alexander Fleming a découvert que la pénicilline possédait un puissant effet antibiotique contre les bactéries.

    Quel est le lien avec le pain moisi ? Lorsque celui-ci pourrit, il développe un champignon appelé Penicillium, à l’origine de la pénicilline, l’un des antibiotiques les plus célèbres et les plus utilisés à ce jour. Les Égyptiens, sans le savoir, avaient donc exploité les principes de cette découverte bien avant la médecine moderne.
    Les anciens Égyptiens avaient déjà découvert les vertus médicinales du pain moisi. Ils l’appliquaient sur les plaies et coupures infectées pour soigner leurs patients, sans vraiment comprendre pourquoi cela fonctionnait. Ce n’est qu’en 1928, soit 5 000 ans plus tard, que la science moderne a enfin expliqué ce mystère. Le scientifique Alexander Fleming a découvert que la pénicilline possédait un puissant effet antibiotique contre les bactéries. Quel est le lien avec le pain moisi ? Lorsque celui-ci pourrit, il développe un champignon appelé Penicillium, à l’origine de la pénicilline, l’un des antibiotiques les plus célèbres et les plus utilisés à ce jour. Les Égyptiens, sans le savoir, avaient donc exploité les principes de cette découverte bien avant la médecine moderne.
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  • L’HUMANITÉ AU BORD DE L’EXTINCTION...

    Un vieil homme, probablement âgé de plus de 80 ans, fait la queue devant un distributeur automatique. Je me tiens juste derrière lui et l’observe discrètement. Lorsqu’il accède à la machine, il sort une enveloppe que je devine contenir de l’argent.

    Rapidement, je remarque qu’il peine à réaliser son opération. Il touche l’écran plusieurs fois, mais rien ne semble fonctionner comme il le souhaite. Désemparé, il jette un regard vers la file d’attente, qui s’est déjà allongée. Puis, il croise mon regard.

    Sans un mot, par un simple geste, il me demande de l’aide. Sans hésitation, je m’avance pour lui offrir mon assistance. Il hoche la tête avec un timide « s’il vous plaît », une humilité qui me serre le cœur.

    Je l’aide avec patience et bienveillance, lui indiquant où appuyer sans jamais toucher son argent, par respect et pour éviter toute confusion. Il veut accomplir cette tâche par lui-même, et je l’accompagne simplement, lui expliquant chaque étape.

    À son propre rythme, il parvient à entrer le montant et finalise son opération. Nous nous éloignons du distributeur pour laisser la place au suivant. Il me remercie chaleureusement, et je lui réponds avec un sourire : « Ne vous inquiétez pas, c’était un plaisir. »

    Mais avant de partir, il plonge la main dans la poche de sa veste, sort son portefeuille et me tend un billet de dix euros.

    Je suis stupéfait.

    Je secoue la tête, refusant catégoriquement : « Non, s’il vous plaît. »
    Mais lui insiste, les yeux remplis de gratitude : « Je tiens à vous remercier… Prenez-le, offrez-vous un petit-déjeuner, pour votre santé. »

    Je refuse encore, touché en plein cœur par ce geste. Nous nous regardons un instant, un dernier échange silencieux, avant de nous souhaiter au revoir.

    Et là, un sentiment de tristesse m’envahit.

    Tristesse pour lui.
    Tristesse pour toutes ces personnes âgées, nos parents, nos grands-parents, ceux qui ont construit ce monde et qui, aujourd’hui, se retrouvent seuls, dépassés par un monstre technologique qui les exclut peu à peu.

    Cette scène se répète dans les banques, mais aussi dans les hôpitaux, les administrations, la sécurité sociale… Ces hommes et ces femmes, qui ont travaillé toute leur vie pour bâtir un système, se retrouvent à ne plus pouvoir en profiter, simplement parce qu’ils ne maîtrisent pas le langage numérique.

    Offrir un peu de patience et d’aide à ces personnes ne coûte rien. **Rendre leur quotidien plus simple est un devoir moral.** Pourtant, la société les abandonne. Ceux qui nous ont permis de progresser technologiquement sont aujourd’hui laissés sur le bord de la route.

    C’est injuste. C’est révoltant.

    Nous avons trop de technologie, et nous manquons cruellement d’humanité.
    Nous nous déshumanisons à une vitesse alarmante.

    Il est urgent que les gouvernements réagissent. Il est inacceptable que ces personnes, fidèles clientes des banques et des services publics toute leur vie, soient ainsi méprisées et laissées pour compte.

    Le progrès n’a de sens que s’il sert tout le monde.
    Aujourd’hui, il exclut ceux qui en ont le plus besoin.
    L’HUMANITÉ AU BORD DE L’EXTINCTION... Un vieil homme, probablement âgé de plus de 80 ans, fait la queue devant un distributeur automatique. Je me tiens juste derrière lui et l’observe discrètement. Lorsqu’il accède à la machine, il sort une enveloppe que je devine contenir de l’argent. Rapidement, je remarque qu’il peine à réaliser son opération. Il touche l’écran plusieurs fois, mais rien ne semble fonctionner comme il le souhaite. Désemparé, il jette un regard vers la file d’attente, qui s’est déjà allongée. Puis, il croise mon regard. Sans un mot, par un simple geste, il me demande de l’aide. Sans hésitation, je m’avance pour lui offrir mon assistance. Il hoche la tête avec un timide « s’il vous plaît », une humilité qui me serre le cœur. Je l’aide avec patience et bienveillance, lui indiquant où appuyer sans jamais toucher son argent, par respect et pour éviter toute confusion. Il veut accomplir cette tâche par lui-même, et je l’accompagne simplement, lui expliquant chaque étape. À son propre rythme, il parvient à entrer le montant et finalise son opération. Nous nous éloignons du distributeur pour laisser la place au suivant. Il me remercie chaleureusement, et je lui réponds avec un sourire : « Ne vous inquiétez pas, c’était un plaisir. » Mais avant de partir, il plonge la main dans la poche de sa veste, sort son portefeuille et me tend un billet de dix euros. Je suis stupéfait. Je secoue la tête, refusant catégoriquement : « Non, s’il vous plaît. » Mais lui insiste, les yeux remplis de gratitude : « Je tiens à vous remercier… Prenez-le, offrez-vous un petit-déjeuner, pour votre santé. » Je refuse encore, touché en plein cœur par ce geste. Nous nous regardons un instant, un dernier échange silencieux, avant de nous souhaiter au revoir. Et là, un sentiment de tristesse m’envahit. Tristesse pour lui. Tristesse pour toutes ces personnes âgées, nos parents, nos grands-parents, ceux qui ont construit ce monde et qui, aujourd’hui, se retrouvent seuls, dépassés par un monstre technologique qui les exclut peu à peu. Cette scène se répète dans les banques, mais aussi dans les hôpitaux, les administrations, la sécurité sociale… Ces hommes et ces femmes, qui ont travaillé toute leur vie pour bâtir un système, se retrouvent à ne plus pouvoir en profiter, simplement parce qu’ils ne maîtrisent pas le langage numérique. Offrir un peu de patience et d’aide à ces personnes ne coûte rien. **Rendre leur quotidien plus simple est un devoir moral.** Pourtant, la société les abandonne. Ceux qui nous ont permis de progresser technologiquement sont aujourd’hui laissés sur le bord de la route. C’est injuste. C’est révoltant. Nous avons trop de technologie, et nous manquons cruellement d’humanité. Nous nous déshumanisons à une vitesse alarmante. Il est urgent que les gouvernements réagissent. Il est inacceptable que ces personnes, fidèles clientes des banques et des services publics toute leur vie, soient ainsi méprisées et laissées pour compte. Le progrès n’a de sens que s’il sert tout le monde. Aujourd’hui, il exclut ceux qui en ont le plus besoin.
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  • MACRON peut-il vraiment réquisitionner votre épargne pour rembourser la dette ?

    Durant les deux dernières guerres mondiales, l'état a réquisitionné de l'épargne déposée à l'étranger par des Français résidant en France. Cette épargne en devise était utilisée pour financer des importations. Mais je n'ai jamais entendu parler de réquisition d'épargne déposée en France même.

    Je ne vois pas trop quel serait l'interet de vider des comptes épargnes français en Euro pour payer les débiteurs étrangers qui détiennent la moitié de notre dette. Car cet argent déposé dans le système bancaire irrigue l'économie française et même les finances publiques, sous forme de prêt. Ce serait se tirer une balle dans le pied.

    A mon sens la solution à ce problème de dette est monétaire, le jour où on le résoudra par la dévaluation, votre épargne ne vaudra de toute façon plus grand chose.
    MACRON peut-il vraiment réquisitionner votre épargne pour rembourser la dette ? Durant les deux dernières guerres mondiales, l'état a réquisitionné de l'épargne déposée à l'étranger par des Français résidant en France. Cette épargne en devise était utilisée pour financer des importations. Mais je n'ai jamais entendu parler de réquisition d'épargne déposée en France même. Je ne vois pas trop quel serait l'interet de vider des comptes épargnes français en Euro pour payer les débiteurs étrangers qui détiennent la moitié de notre dette. Car cet argent déposé dans le système bancaire irrigue l'économie française et même les finances publiques, sous forme de prêt. Ce serait se tirer une balle dans le pied. A mon sens la solution à ce problème de dette est monétaire, le jour où on le résoudra par la dévaluation, votre épargne ne vaudra de toute façon plus grand chose.
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  • Il est incompréhensible de voir comment certaines personnes peuvent dormir en paix après avoir brisé le cœur de quelqu’un qui les aimait sincèrement. Avoir blessé une âme qui ne voulait que leur bonheur, et continuer comme si de rien n’était… C’est une énigme troublante.
    Il est incompréhensible de voir comment certaines personnes peuvent dormir en paix après avoir brisé le cœur de quelqu’un qui les aimait sincèrement. Avoir blessé une âme qui ne voulait que leur bonheur, et continuer comme si de rien n’était… C’est une énigme troublante.
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  • Bonjour à tous n'oubliez pas à participer au lancement de notre Jeton Babarun.
    Babarun.fr
    Bonjour à tous n'oubliez pas à participer au lancement de notre Jeton Babarun. Babarun.fr
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  • La Réunion toujours aussi intense.
    La Réunion toujours aussi intense.
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