• ? Nouvel Article | 27 Mar 2023
    Quand la police française s’équipe tel Robocop, il faut commencer à se poser des questions
    À partir du moment où les forces de l’ordre internes commencent à s’équiper de la sorte, il faut sérieusement commencer à se poser les bonnes questions car rien ne va plus. Ce n’est ni une question de droite ni une question de gauche, encore moins d’extrême droite ou d’extrême gauche. Ça n’a rien à voir avec la politique, la réforme des retraites, les Black blocs ou je ne sais quelle autre excuse... À partir du moment où les forces de l’ordre s’équipent encore plus que des militaires sur un terrain d’opérations étranger en pleine guerre, utilisant des grenades classifiées comme armes de guerre ainsi [...] Lire la suite sur LeLibrePenseur.org
    ? Nouvel Article | 27 Mar 2023 Quand la police française s’équipe tel Robocop, il faut commencer à se poser des questions À partir du moment où les forces de l’ordre internes commencent à s’équiper de la sorte, il faut sérieusement commencer à se poser les bonnes questions car rien ne va plus. Ce n’est ni une question de droite ni une question de gauche, encore moins d’extrême droite ou d’extrême gauche. Ça n’a rien à voir avec la politique, la réforme des retraites, les Black blocs ou je ne sais quelle autre excuse... À partir du moment où les forces de l’ordre s’équipent encore plus que des militaires sur un terrain d’opérations étranger en pleine guerre, utilisant des grenades classifiées comme armes de guerre ainsi [...] Lire la suite sur LeLibrePenseur.org
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  • #POID #LaTribuneDesTravailleurs #travailleurs #réformes #retraites #régime_des_retraites #guerre #finances #argent_public #gouvernement #unité #macron #mensonges #hôpitaux #santé #politique #annonces #soignant #patient #médecins #généralistes #attaques #libéraux #syndicat #syndicaliste #bagarre #collègues #revendications #poste #courrier #locataire #local #dégradation #incendie #international #biden #ukraine #otan #chine #industrie #sénat #vote #américain #Usa #défense #homme #femme #afghane #résistance #photographie #talibans #partisans #extrême_droite #brésil #banquier #patrons
    https://www.youtube.com/watch?v=0lA0SX1lkc4
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  • Législatives en Israël : le "soulagement" des militants du Likoud en vue du retour de Benyamin Nétanyahou au pouvoir.

    "Nous sommes près d'une grande victoire", a déclaré mercredi l'ex-Premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou à l'issue des élections législatives qui ont placé son parti, le Likoud, et ses alliés religieux et d'extrême droite sur la voie de rallier une majorité.
    Législatives en Israël : le "soulagement" des militants du Likoud en vue du retour de Benyamin Nétanyahou au pouvoir. "Nous sommes près d'une grande victoire", a déclaré mercredi l'ex-Premier ministre israélien Benjamin Nétanyahou à l'issue des élections législatives qui ont placé son parti, le Likoud, et ses alliés religieux et d'extrême droite sur la voie de rallier une majorité.
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  • COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe »
    Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination.
    Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle.
    « La France n’a pas produit de vaccin »
    Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement.
    Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment »
    Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos.
    À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions »
    Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte.
    « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire »
    En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ? COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe » Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination. Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle. « La France n’a pas produit de vaccin » Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement. Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment » Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos. À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur. « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions » Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte. « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire » En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
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  • Fer de lance de la protestation, des groupes nationalistes ukrainiens commettent un massacre de masse à Odessa contre des citoyens russes. Dans un pays fragilisé par la crise économique et la politique libérale du gouvernement, ces mouvements d'extrême droite étendent depuis leur influence. Enquête auprès des ces groupes paramilitaires.
    Un film de Paul Moreira
    Une production Première Ligne
    https://www.youtube.com/watch?v=VLXtWfTcLC4
    Fer de lance de la protestation, des groupes nationalistes ukrainiens commettent un massacre de masse à Odessa contre des citoyens russes. Dans un pays fragilisé par la crise économique et la politique libérale du gouvernement, ces mouvements d'extrême droite étendent depuis leur influence. Enquête auprès des ces groupes paramilitaires. Un film de Paul Moreira Une production Première Ligne https://www.youtube.com/watch?v=VLXtWfTcLC4
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