• Je vous partage une poésie, du matin.

    Ah, cher ami, comme tes mots résonnent,
    Dans l'écho de mon âme poète, qui se donne.
    Je vais bien, merci, avec l'inspiration comme compagne,
    Plongée dans les vers, où mes émotions se drapent.

    Les jours et les nuits s'entrelacent en un fil,
    Tissant les mots qui guérissent les maux subtils.
    Les tourments et les joies, ici se rencontrent,
    Dans les rimes et les vers, où mes sentiments se fondent.

    Mais toi, cher ami, comment est ton état ?
    As-tu traversé des tempêtes ou des éclats ?
    Permets-moi d'offrir un vers, comme écho sincère,
    Pour apaiser ton âme, laisser tes soucis se taire.

    Dans ce grand océan, naviguant sur les mots,
    Trouve refuge dans les vers, accueille un repos.
    Laisse la poésie te caresser doucement,
    Et t'offrir un moment où le monde est moins bruyant.

    Alors, je te demande, dis-moi en retour,
    Comment va ton cœur, ce merveilleux séjour ?
    Et si tu souhaites que mes mots t'envoûtent,
    Partage tes pensées, laisse la poésie te goûter.
    Je vous partage une poésie, du matin. Ah, cher ami, comme tes mots résonnent, Dans l'écho de mon âme poète, qui se donne. Je vais bien, merci, avec l'inspiration comme compagne, Plongée dans les vers, où mes émotions se drapent. Les jours et les nuits s'entrelacent en un fil, Tissant les mots qui guérissent les maux subtils. Les tourments et les joies, ici se rencontrent, Dans les rimes et les vers, où mes sentiments se fondent. Mais toi, cher ami, comment est ton état ? As-tu traversé des tempêtes ou des éclats ? Permets-moi d'offrir un vers, comme écho sincère, Pour apaiser ton âme, laisser tes soucis se taire. Dans ce grand océan, naviguant sur les mots, Trouve refuge dans les vers, accueille un repos. Laisse la poésie te caresser doucement, Et t'offrir un moment où le monde est moins bruyant. Alors, je te demande, dis-moi en retour, Comment va ton cœur, ce merveilleux séjour ? Et si tu souhaites que mes mots t'envoûtent, Partage tes pensées, laisse la poésie te goûter.
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  • C'est quoi une valeur refuge ?
    Une valeur refuge est un actif considéré comme stable et fiable, qui est utilisé pour protéger les investisseurs contre les risques économiques et financiers. Les actifs considérés comme des valeurs refuges incluent généralement l'or, les devises fortes comme le dollar américain et l'euro, les obligations d'État et certains produits de base comme le pétrole.
    Les investisseurs achètent ces actifs lorsque les marchés sont instables ou lorsque les perspectives économiques sont incertaines, car ils croient qu'ils auront une valeur stable et qu'ils pourront les revendre à un prix élevé lorsque les conditions économiques s'amélioreront.
    John Imiza
    C'est quoi une valeur refuge ? Une valeur refuge est un actif considéré comme stable et fiable, qui est utilisé pour protéger les investisseurs contre les risques économiques et financiers. Les actifs considérés comme des valeurs refuges incluent généralement l'or, les devises fortes comme le dollar américain et l'euro, les obligations d'État et certains produits de base comme le pétrole. Les investisseurs achètent ces actifs lorsque les marchés sont instables ou lorsque les perspectives économiques sont incertaines, car ils croient qu'ils auront une valeur stable et qu'ils pourront les revendre à un prix élevé lorsque les conditions économiques s'amélioreront. John Imiza
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  • #PetiteSalle #musique #musiques #concert #Anita_Farmine
    Un #voyage guidé par une #voix #singulière, aussi #dépaysante qu' #inclassable. Fuyant en #famille l' #Iran des #ayatollah et trouvant #refuge en #Algérie, la petite fille est plongée dans le #chaudron de la #multiculturalité jusqu'à son premier grand #choc #esthétique, l'écoute de la #Callas. Aujourd'hui, #Anita #compose et #chante en #persan, en #anglais et en #français une musique #populaire qui se réclame du #folk et de la #world #music, en y mêlant ses #influences #européennes et #orientales, notamment via les #percussions #traditionnelles #iraniennes que sont le #tombak et le #dayereh.
    https://www.youtube.com/watch?v=Tt0_SPkeiF8
    #PetiteSalle #musique #musiques #concert #Anita_Farmine Un #voyage guidé par une #voix #singulière, aussi #dépaysante qu' #inclassable. Fuyant en #famille l' #Iran des #ayatollah et trouvant #refuge en #Algérie, la petite fille est plongée dans le #chaudron de la #multiculturalité jusqu'à son premier grand #choc #esthétique, l'écoute de la #Callas. Aujourd'hui, #Anita #compose et #chante en #persan, en #anglais et en #français une musique #populaire qui se réclame du #folk et de la #world #music, en y mêlant ses #influences #européennes et #orientales, notamment via les #percussions #traditionnelles #iraniennes que sont le #tombak et le #dayereh. https://www.youtube.com/watch?v=Tt0_SPkeiF8
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  • 136: ATLANTIDE, AZTLAN-ATL, DÉCADENCE, GUERRE, AGHARTI, PANDORA, ALERTE DÉLUGE, NOÉ
    Des traditions millénaires relient l'origine d'"Agartha" à ce qui pourrait être le Noé biblique et la destruction de la civilisation de l'Atlantide.

    Cette civilisation était hautement développée, dotée d'une technologie de pointe, avec des vaisseaux spatiaux qui utilisaient une énergie d’une puissance illimitée. De nombreuses preuves et des recherches corroborent ce fait. Cependant, à sa dernière époque et avant sa destruction, l’Atlantide a vécu une période de décadence. Des guerres terribles ont eu lieu, avec des armées employant des armes sophistiquées. À un certain moment, des êtres ont lancé un avertissement pour essayer d’aider l'humanité, avant que le grand déluge ne survienne.

    De nombreux survivants de l'Atlantide, de la Lémurie et de l'Hyperborée ont trouvé refuge dans la Terre creuse, où ils ont pu vivre en tant que civilisation. Une civilisation qui a su tirer des leçons du passé et s'est depuis développée en paix.

    L’étude des mythes indiens, grecs, égyptiens, mayas et même des contes persans des Mille et Une Nuits, nous a fait découvrir des références sur l’apogée et le faste de l’Atlantide, jusqu'à sa décadence et fin inexorables qui nous ont conduit aux débuts de la race actuelle. De ce fait, notre humanité semble suivre les mêmes étapes autodestructives, à moins qu’elle ne fasse quelque chose pour l’éviter.
    136: ATLANTIDE, AZTLAN-ATL, DÉCADENCE, GUERRE, AGHARTI, PANDORA, ALERTE DÉLUGE, NOÉ Des traditions millénaires relient l'origine d'"Agartha" à ce qui pourrait être le Noé biblique et la destruction de la civilisation de l'Atlantide. Cette civilisation était hautement développée, dotée d'une technologie de pointe, avec des vaisseaux spatiaux qui utilisaient une énergie d’une puissance illimitée. De nombreuses preuves et des recherches corroborent ce fait. Cependant, à sa dernière époque et avant sa destruction, l’Atlantide a vécu une période de décadence. Des guerres terribles ont eu lieu, avec des armées employant des armes sophistiquées. À un certain moment, des êtres ont lancé un avertissement pour essayer d’aider l'humanité, avant que le grand déluge ne survienne. De nombreux survivants de l'Atlantide, de la Lémurie et de l'Hyperborée ont trouvé refuge dans la Terre creuse, où ils ont pu vivre en tant que civilisation. Une civilisation qui a su tirer des leçons du passé et s'est depuis développée en paix. L’étude des mythes indiens, grecs, égyptiens, mayas et même des contes persans des Mille et Une Nuits, nous a fait découvrir des références sur l’apogée et le faste de l’Atlantide, jusqu'à sa décadence et fin inexorables qui nous ont conduit aux débuts de la race actuelle. De ce fait, notre humanité semble suivre les mêmes étapes autodestructives, à moins qu’elle ne fasse quelque chose pour l’éviter.
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  • 139: VESTIGES ATLANTES, DÉSERT, GÉANTS ENDORMIS, CRÂNES, SAC, TEMPÊTE SOLAIRE.
    Dans la mémoire collective des peuples, il reste le souvenir d'une énorme catastrophe provoquée par un grand déluge, compilé dans plus de 500 récits connus dans le monde comme la fin de la civilisation atlante. Le changement de l'axe de la planète et l'apparition de grands déserts là où il y avait autrefois des animaux marins ou de grandes forêts tropicales humides, ont constitué un nouveau scénario pour la race actuelle.

    De nombreux vestiges énigmatiques de la fin de l'Atlantide ont été dispersés sur la planète, tout comme certains peuples survivants, qui se sont installés en Égypte, en Inde, en Chine, au Tibet, en Grèce. Des peuples tels que les Mayas, les Olmèques, les Toltèques, les Aztèques, les Phéniciens, les Guanches, les Basques... Ils sont les descendants de cette civilisation développée.

    Et alors que nous nous trouvons à un moment crucial pour l'humanité, avec le risque que la même chose se reproduise, de nouvelles théories et preuves émergent sur la possibilité que ce soit une activité solaire inhabituelle qui ait déclenché les processus destructeurs qui ont mis fin à cette civilisation. Les mêmes événements solaires sembleraient être sur le point de se produire une fois de plus.

    Néanmoins, si nous parvenons à élever notre fréquence, à nous unir en tant que race et à apporter un changement positif à la terrible déchéance dans laquelle nous vivons, nous pourrions également bénéficier d'une aide supplémentaire, et dans les moments les plus difficiles, nous pourrions également trouver refuge dans la Terre creuse, comme l'ont fait certains des peuples qui ont pu garder leur intégrité.





    139: VESTIGES ATLANTES, DÉSERT, GÉANTS ENDORMIS, CRÂNES, SAC, TEMPÊTE SOLAIRE. Dans la mémoire collective des peuples, il reste le souvenir d'une énorme catastrophe provoquée par un grand déluge, compilé dans plus de 500 récits connus dans le monde comme la fin de la civilisation atlante. Le changement de l'axe de la planète et l'apparition de grands déserts là où il y avait autrefois des animaux marins ou de grandes forêts tropicales humides, ont constitué un nouveau scénario pour la race actuelle. De nombreux vestiges énigmatiques de la fin de l'Atlantide ont été dispersés sur la planète, tout comme certains peuples survivants, qui se sont installés en Égypte, en Inde, en Chine, au Tibet, en Grèce. Des peuples tels que les Mayas, les Olmèques, les Toltèques, les Aztèques, les Phéniciens, les Guanches, les Basques... Ils sont les descendants de cette civilisation développée. Et alors que nous nous trouvons à un moment crucial pour l'humanité, avec le risque que la même chose se reproduise, de nouvelles théories et preuves émergent sur la possibilité que ce soit une activité solaire inhabituelle qui ait déclenché les processus destructeurs qui ont mis fin à cette civilisation. Les mêmes événements solaires sembleraient être sur le point de se produire une fois de plus. Néanmoins, si nous parvenons à élever notre fréquence, à nous unir en tant que race et à apporter un changement positif à la terrible déchéance dans laquelle nous vivons, nous pourrions également bénéficier d'une aide supplémentaire, et dans les moments les plus difficiles, nous pourrions également trouver refuge dans la Terre creuse, comme l'ont fait certains des peuples qui ont pu garder leur intégrité.
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  • La loi qui donne au président USA licence de tuer
    Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais)

    Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger

    Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004.

    Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen.

    La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants.

    Manlio Dinucci

    La loi qui donne au président USA licence de tuer Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais) Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004. Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen. La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants. Manlio Dinucci
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