• ?? Chine : 15 MINUTES VILLES

    Pour entrer ou sortir de votre quartier, vous devez passer un scanner facial et obtenir un permis auprès des autorités compétentes.

    Eh bien, le Green Pass n'a pas aidé à arrêter la contagion, mais il a ouvert la voie à l'emprisonnement permanent des gens !

    ?‍?Le reste de l'actualité sur "Les masques tombent" via https://t.me/+KV9hAVrGSVhhZjdk
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    ?? Chine : 15 MINUTES VILLES Pour entrer ou sortir de votre quartier, vous devez passer un scanner facial et obtenir un permis auprès des autorités compétentes. Eh bien, le Green Pass n'a pas aidé à arrêter la contagion, mais il a ouvert la voie à l'emprisonnement permanent des gens ! ?‍?Le reste de l'actualité sur "Les masques tombent" via https://t.me/+KV9hAVrGSVhhZjdk ?
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  • Pouvez-vous parler de l’aéroport international à ce stade-ci et de la façon dont cela s’inscrira dans le plan directeur de THE LINE au fil du temps?

    L’aéroport sera une grande porte d’entrée dans le Royaume d’Arabie Saoudite intégrée dans THE LINE. Habituellement, un aéroport conventionnel est loin de tout le monde et vous passez par le processus ennuyeux de passer par l’immigration, d’attendre vos bagages et de les transporter à votre destination. Imaginez que vous pré-dédouanez, passez par un scanner biométrique et que votre sac soit transporté à destination pour vous. Cette approche d’intelligence artificielle est quelque chose que nous examinons. Un aéroport est votre première expérience d’un endroit, vous ne voulez donc pas qu’il détruise une bonne ambiance à l’arrivée. Ce devrait être une expérience client agréable, c’est ce que nous essayons de réinventer avec une approche holistique.
    Pouvez-vous parler de l’aéroport international à ce stade-ci et de la façon dont cela s’inscrira dans le plan directeur de THE LINE au fil du temps? L’aéroport sera une grande porte d’entrée dans le Royaume d’Arabie Saoudite intégrée dans THE LINE. Habituellement, un aéroport conventionnel est loin de tout le monde et vous passez par le processus ennuyeux de passer par l’immigration, d’attendre vos bagages et de les transporter à votre destination. Imaginez que vous pré-dédouanez, passez par un scanner biométrique et que votre sac soit transporté à destination pour vous. Cette approche d’intelligence artificielle est quelque chose que nous examinons. Un aéroport est votre première expérience d’un endroit, vous ne voulez donc pas qu’il détruise une bonne ambiance à l’arrivée. Ce devrait être une expérience client agréable, c’est ce que nous essayons de réinventer avec une approche holistique.
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  • Le mystère de la sirène d’Asakuchi

    Une étrange momie repose au temple bouddhiste Enjuin à Asakuchi, dans la préfecture d’Okinawa. D’une trentaine de centimètres de longueur, c’est une véritable figure de cauchemar avec une tête d’apparence humaines aux dents pointues, des mains parfaitement formées et un buste se prolongeant en queue de poisson. Oui, il s’agit bien d’une sirène , ou du moins d’une créature qui en possède toutes les caractéristiques, même si sa place serait mieux indiquée dans un film d’horreur que dans le célèbre conte d’Andersen.

    Cette chimère aurait été capturée dans les filets d’un pêcheur vers 1740 avant de passer de main en main au fil des siècles jusqu’à échouer dans ce petit temple, oubliée de tous. Ou presque : Hiroshi Kinoshita, spécialiste des légendes locales, est tombé il y a quelques années sur une photo de la «sirène» d’Asakuchi. Le cliché provenait d’un ouvrage de Kiyoaki Sato (1905-1998), auteur d’une encyclopédie des yōkai, les êtres surnaturels, parfois maléfiques, parfois bienveillants et plus souvent malicieux, qui peuplent le folklore japonais.

    Depuis qu’Hiroshi Kinoshita a découvert l’existence de cette momie, elle ne cesse de hanter ses pensées au point qu’il a réussi à convaincre l’université Kurashiki des Sciences et des Arts de la soumettre à une analyse approfondie.

    Le 2 février, Kozen Kuida, le prêtre du temple Enjuin, a donc remis la relique à l’équipe de scientifiques qui l'a passée au scanner. Prochaine étape : examiner son, ou plutôt, ses ADN afin de vérifier si l’hypothèse qu’il s’agit d’un buste de singe rattaché à un corps de saumon se confirme…

    Une explication terre-à-terre qui n’inquiète pas le prêtre bien que cette sirène, associée à un yōkai censé combattre les maladies, ait été un objet de culte : «Nous l'avons priée, en espérant qu'elle aiderait à atténuer la pandémie de covid, ne serait-ce que légèrement. Mais j’espère que ce projet de recherche pourra laisser un héritage scientifique aux générations futures.»

    Verdict attendu dans le courant du printemps.

    Le mystère de la sirène d’Asakuchi Une étrange momie repose au temple bouddhiste Enjuin à Asakuchi, dans la préfecture d’Okinawa. D’une trentaine de centimètres de longueur, c’est une véritable figure de cauchemar avec une tête d’apparence humaines aux dents pointues, des mains parfaitement formées et un buste se prolongeant en queue de poisson. Oui, il s’agit bien d’une sirène , ou du moins d’une créature qui en possède toutes les caractéristiques, même si sa place serait mieux indiquée dans un film d’horreur que dans le célèbre conte d’Andersen. Cette chimère aurait été capturée dans les filets d’un pêcheur vers 1740 avant de passer de main en main au fil des siècles jusqu’à échouer dans ce petit temple, oubliée de tous. Ou presque : Hiroshi Kinoshita, spécialiste des légendes locales, est tombé il y a quelques années sur une photo de la «sirène» d’Asakuchi. Le cliché provenait d’un ouvrage de Kiyoaki Sato (1905-1998), auteur d’une encyclopédie des yōkai, les êtres surnaturels, parfois maléfiques, parfois bienveillants et plus souvent malicieux, qui peuplent le folklore japonais. Depuis qu’Hiroshi Kinoshita a découvert l’existence de cette momie, elle ne cesse de hanter ses pensées au point qu’il a réussi à convaincre l’université Kurashiki des Sciences et des Arts de la soumettre à une analyse approfondie. Le 2 février, Kozen Kuida, le prêtre du temple Enjuin, a donc remis la relique à l’équipe de scientifiques qui l'a passée au scanner. Prochaine étape : examiner son, ou plutôt, ses ADN afin de vérifier si l’hypothèse qu’il s’agit d’un buste de singe rattaché à un corps de saumon se confirme… Une explication terre-à-terre qui n’inquiète pas le prêtre bien que cette sirène, associée à un yōkai censé combattre les maladies, ait été un objet de culte : «Nous l'avons priée, en espérant qu'elle aiderait à atténuer la pandémie de covid, ne serait-ce que légèrement. Mais j’espère que ce projet de recherche pourra laisser un héritage scientifique aux générations futures.» Verdict attendu dans le courant du printemps.
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  • Chine : des élèves de primaire surveillés grâce à une puce électronique
    C'est un système de surveillance qui pourrait bien devenir la norme dans les établissements scolaires chinois. Comme le rapporte le journal Zhuhai Tequ Bao, dans un article repéré par Courrier international, une école primaire de la ville de Zhuhai, dans le sud-est de la Chine, a mis en place un système de puce électronique intégrée dans le col de chemise des élèves afin de surveiller leurs faits et gestes. Cette innovation permet notamment aux élèves d'accéder à leur classe sans avoir à scanner leur carte ou leur visage, avec un système de reconnaissance faciale.

    Selon Yan Wengui, le directeur de l'école ce nouveau sytème de surveillance paraissait nécessaire tout simplement parce qu'il avait détecté avant sa mise en place « certaines failles de la gestion scolaire », explique-t-il au journal local. Cette puce électronique permet notamment de collecter des informations concernant la trajectoire des élèves ou le temps qu'ils passent dans les différentes zones de l'établissement scolaire.

    Un dispositif qui renforce la sécurité des enfants
    Ces données sont ensuite transférées sur une plateforme d'information qui est à disposition de la direction de l'école, des professeurs mais aussi des parents d'élèves. Une man?uvre qui permet, selon Yan Wengui, de renforcer la sécurité des enfants. En effet, en cas de repérage d'une zone dangereuse ou d'un trajet inhabituel, le système envoie directement une alerte aux parents, aux enseignants et à la direction de l'école pour les avertir d'une situation à risques.

    En outre, cette nouvelle technologie permet également aux parents de pouvoir communiquer avec leur enfant via une messagerie. Les enfants n'étant pas autorisés à utiliser leur téléphone portable en Chine, la puce électronique leur permet d'échanger avec leurs parents grâce à leur connexion avec des tablettes installées dans les couloirs de l'établissement.
    Chine : des élèves de primaire surveillés grâce à une puce électronique C'est un système de surveillance qui pourrait bien devenir la norme dans les établissements scolaires chinois. Comme le rapporte le journal Zhuhai Tequ Bao, dans un article repéré par Courrier international, une école primaire de la ville de Zhuhai, dans le sud-est de la Chine, a mis en place un système de puce électronique intégrée dans le col de chemise des élèves afin de surveiller leurs faits et gestes. Cette innovation permet notamment aux élèves d'accéder à leur classe sans avoir à scanner leur carte ou leur visage, avec un système de reconnaissance faciale. Selon Yan Wengui, le directeur de l'école ce nouveau sytème de surveillance paraissait nécessaire tout simplement parce qu'il avait détecté avant sa mise en place « certaines failles de la gestion scolaire », explique-t-il au journal local. Cette puce électronique permet notamment de collecter des informations concernant la trajectoire des élèves ou le temps qu'ils passent dans les différentes zones de l'établissement scolaire. Un dispositif qui renforce la sécurité des enfants Ces données sont ensuite transférées sur une plateforme d'information qui est à disposition de la direction de l'école, des professeurs mais aussi des parents d'élèves. Une man?uvre qui permet, selon Yan Wengui, de renforcer la sécurité des enfants. En effet, en cas de repérage d'une zone dangereuse ou d'un trajet inhabituel, le système envoie directement une alerte aux parents, aux enseignants et à la direction de l'école pour les avertir d'une situation à risques. En outre, cette nouvelle technologie permet également aux parents de pouvoir communiquer avec leur enfant via une messagerie. Les enfants n'étant pas autorisés à utiliser leur téléphone portable en Chine, la puce électronique leur permet d'échanger avec leurs parents grâce à leur connexion avec des tablettes installées dans les couloirs de l'établissement.
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Babapub

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