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Le nouveau premier ministre de l’Alberta attaqué pour avoir refusé de se joindre au WEF

La nouvelle première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, qui a récemment attiré l’attention en tant qu’opposante à la réglementation des vaccins et des masques, rompt les liens précédemment forgés avec le Forum économique mondial, qui était impliqué dans un « accord de conseils de santé » centré sur la lutte contre le Covid dans la province.

« Je trouve déplaisant pour les milliardaires de se vanter du contrôle qu’ils ont sur le leadership politique », a déclaré Smith lors d’une conférence de presse lundi après l’assermentation de son nouveau cabinet. « C’est offensant... Les gens qui devraient diriger le gouvernement sont ceux qui votent pour lui. »

La première ministre du Parti conservateur uni a déclaré qu’elle était en phase avec le chef conservateur fédéral Pierre Poilievre, qui a déclaré que lui et sa faction n’auraient rien à voir avec le Forum économique mondial. Plus tôt ce mois-ci, lors de son premier jour en tant que Premier ministre, Smith a déclaré que les personnes qui ne sont pas vaccinées contre le Covid sont le groupe le plus discriminé qu’elle ait vu de sa vie.

En réponse, les médias grand public canadiens ont lancé une vaste campagne de diffamation contre Smith, qualifiant tous les opposants au WEF de « théories du complot ». Comme le dit le proverbe, si vous voulez savoir qui est vraiment au pouvoir, il vous suffit de savoir qui vous ne pouvez pas critiquer.

Après deux ans de confinements autoritaires et de tentatives d’imposer des passeports vaccinaux au Canada, l’Alberta a été l’une des rares régions du pays à résister politiquement aux diktats de l’exécutif. Cela a contribué à soutenir les manifestations anti-passeport des camionneurs et d’autres Canadiens, et a conduit Justin Trudeau à utiliser les règlements sur le terrorisme pour confisquer les dons au mouvement. Les scores moyens de l’Alberta en termes d’infections et de décès ne sont pas pires que ceux des provinces ayant une réglementation stricte, ce qui prouve encore une fois que la réglementation n’a rien fait en termes de sécurité, mais tout en termes de contrôle.

La presse canadienne et d’autres médias affirment que la critique du WEF est basée sur « des allégations de complot en ligne non prouvées et démystifiées selon lesquelles le forum préside une cabale mondiale de marionnettistes qui exploitent la pandémie pour démanteler le capitalisme et imposer des systèmes socialistes nuisibles et des mesures de contrôle social, comme la contrainte de prendre des vaccins avec des puces de suivi ».

Toutes les « conspirations » mentionnées dans cette déclaration sont vraies – aucune d’entre elles n’a été « démystifiée », à l’exception peut-être de l’allégation de « puce de suivi », qui est inutile car le WEF a déjà encouragé les gouvernements à utiliser des applications de suivi des téléphones portables pour surveiller le statut vaccinal et les mouvements de leurs populations respectives. Beaucoup de ces applications ont été approuvées par le CDC aux États-Unis, et dans des pays comme la Chine, elles sont même obligatoires.

Le Forum économique mondial, qui agit comme une sorte de groupe de réflexion mondialiste pour les futures initiatives politiques, a joué un rôle déterminant dans la promotion de nombreuses restrictions efficaces appliquées par divers gouvernements nationaux pendant la pandémie.

Le chef du WEF, Klaus Schwab, mentionne spécifiquement dans ses écrits que l’institution a vu l’engouement pour le Covid comme une « opportunité » parfaite pour mettre en œuvre ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation », qui comprend le concept d'«économie partagée », une technocratie socialiste mondiale conçue pour remplacer les marchés libres et mettre fin au capitalisme tel que nous le connaissons. Comme l’explique le WEF, vous « ne posséderez rien, n’aurez pas de vie privée » et vous l’aimerez.

Ce n’est pas une théorie du complot. C’est un fait de conspiration ouvertement admis. C’est indéniable.

Le terme « théorie du complot » est généralement une tactique visant à empêcher un débat équitable basé sur des faits et des preuves. Si la presse canadienne était forcée de défendre sa position sur la base de l’information disponible, elle perdrait. Donc, au lieu de cela, ils essaient d’immuniser leurs lecteurs contre les arguments contraires en l’appelant une « théorie du complot » dans l’espoir que ces lecteurs ne rechercheront pas davantage l’information.

Les médias canadiens affirment ensuite explicitement que la non-coopération avec le WEF désavantagerait le public albertain parce qu’il serait coupé de l’information fournie par le WEF.

Il est important de mentionner qu’il n’y a aucune preuve que le WEF ait fourni des informations sanitaires vitales sur la pandémie de Covid à ce jour. En fait, rien ne prouve que le Forum économique mondial soit utile au public canadien. La réaction bizarre et hostile des médias grand public au départ de Smith d’une organisation étrangère d’élites qui n’a aucune loyauté envers les citoyens canadiens suggère qu’ils fonctionnent peut-être à partir d’un parti pris.

La décision audacieuse de Danielle Smith de couper l’influence du WEF en Alberta a reçu une couverture médiatique malhonnête, mais c’est la meilleure décision possible à long terme. Prendre conseil auprès d’un parasite potentiel n’est pas un bon leadership.