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L’OMS se réunit du 5 au 7 décembre pour discuter d’un nouveau « traité pandémique » qui établirait une dictature médicale mondial

L’organe intergouvernemental de négociation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est officiellement réuni dans les prochains jours pour discuter de l’avant-projet conceptuel du projet de « traité sur la pandémie ».

Du 5 au 7 décembre 2022, les responsables de l’OMS affineront leur plan visant à anéantir la souveraineté nationale et à effacer toutes les traces restantes de liberté individuelle dans le monde – tout cela au nom de la protection des personnes contre les menaces de maladies comme le Covid, bien sûr.

Dans son article Substack, James Roguski décrit le traité pandémique de l’OMS comme une « attaque furtive », similaire à l’attaque surprise contre les États-Unis en 1941 à Pearl Harbor, et dit qu’il vise directement « nos libertés personnelles et notre souveraineté nationale » – et il se cache « en secret », dit-il.

Comme pour beaucoup de choses de nos jours, le Traité sur la pandémie utilise la « santé publique » comme prétexte pour séparer les gens de leurs droits et libertés. Nous avons déjà eu un aperçu de ce qui nous attend pendant la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (Covid-19) – et la situation s’aggravera lorsque le traité sur la pandémie deviendra une réalité.

« Ces réunions sont une attaque directe contre la souveraineté nationale de CHAQUE NATION SUR TERRE ! » prévient Roguski.

Le projet actuel de traité sur la pandémie est une « prise flagrante de pouvoir et d’argent ».

Le public peut suivre les sessions qui auront lieu cette semaine vialivestreamici.

En raison des différents fuseaux horaires, beaucoup de ces réunions pour les gens aux États-Unis ont lieu très, très tôt le matin.

Le plan de ces réunions est d’améliorer tous les coins et recoins restants du projet afin qu’un projet final officiel puisse être présenté à la 77e Assemblée mondiale de la Santé en mai 2024.

Ils ont également clairement indiqué qu’ils souhaitaient que le 'traité pandémique' proposé soit juridiquement contraignant », a déclaré Roguski.

« L’actuel 'avant-projet conceptuel' du 'Traité pandémique' proposé est un vol flagrant de pouvoir et d’argent. »

Un résumé des sujets abordés comprend les points suivants :

  • Complexe industriel d’urgence hospitalier pharmaceutique
  • Ministère de la Vérité
  • Une santé
  • Fonds d’intermédiaires financiers
  • Construire plus de bureaucratie
  • Supervision et conformité

« Veuillez noter qu’il ne s’agit pas d’un contrat », poursuit Roguski. « Il s’agit d’une occasion d’affaires pour le complexe industriel d’urgence pharmaceutique et hospitalier (USPPI). »

Au grand dam de tous les membres des Nations Unies, toutes les résolutions, y compris celle-ci, sont automatiquement contraignantes dès qu’elles sont mises en œuvre – « aucune signature ou ratification n’est requise ».

Les Américains sont invités à contacter leurs législateurs pour résister à toutes les tentatives d’imposer un traité pandémique à notre pays.

« Cela semble être une guerre d’usure, mais le Seigneur est Dieu, et il nous a créés et non nous-mêmes ; nous sommes son peuple et les brebis de son pâturage », a écrit un commentateur qui a fait exactement cela, citant le Psaume 100:3. « Ces destructeurs du monde seront installés. »

« Déclarez que votre maison est un refuge de l’OMS, du CDC, des NIH, de l’ONU et de tous ceux qui sont de ce genre », a suggéré un autre. « J’emmène les gens avec moi et je leur apprends à être autosuffisants – ils n’ont pas besoin du gouvernement ou de la nourriture qu’ils gâtent. »

Un autre a écrit que le « carbone » que les globalistes tentent d’éradiquer dans leur croisade contre le réchauffement climatique, qui coïncide avec la poussée pour le traité sur la pandémie, est l’homme.

« Les injections d’édition C-19 Biogen devraient réduire la population mondiale d’ici 2030, ce qui se traduit par des décès, des morts fœtales, des taux de natalité plus faibles, des cancers, des suicides et des handicaps, des famines, des décès par guillotine, des émeutes, des fusillades mises en scène, un déclin de la santé mentale, la censure et une pénurie de médecins éthiques. »