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Les eurodéputés demandent des comptes à la Commission européenne pour le "plus grand scandale du siècle" !

Des messages WhatsApp divulgués de l'ancien secrétaire britannique à la Santé, Matt Hancock, révèlent que Corona n'était pas plus meurtrier que les autres virus du rhume et de la grippe.

Hancock a discuté du faible taux de mortalité de Corona avec le Premier ministre Boris Johnson via WhatsApp. C'est un problème car cela signifie que les objectifs de vaccination ne peuvent pas être atteints.

Les mesures corona ont été principalement utilisées pour effrayer la population. L'objectif réel était de faire respecter les vaccinations et d'introduire le certificat corona numérique correspondant.

Aucune ressource n'a été épargnée. Les non-vaccinés étaient dépeints non seulement comme des irresponsables, mais aussi comme des imbéciles antisociaux, dangereux et anti-étatiques. Il y avait des menaces d'emprisonnement et de vaccination obligatoire. Les personnes non vaccinées ont été renvoyées.

Les dossiers de verrouillage britanniques montrent que les médecins non vaccinés et critiques avaient raison et que les politiques du gouvernement étaient totalement erronées, affirme le député européen Marcel de Graaff (FVD).

Ce qui ressort également des applications, c'est l'implication du milliardaire Bill Gates. Hancock dit littéralement de Gates : "Il m'en doit une". En d'autres termes, Gates m'en doit une.

Hancock a injecté des millions de ses vaccins. Ce soi-disant philanthrope a acheté des actions de Big Pharma pour 50 millions de dollars et a vendu les mêmes actions pour 500 millions de dollars après la fin du battage médiatique COVID-19, selon De Graaff.

Pendant ce temps, les accords que les gouvernements ont signés avec les géants pharmaceutiques ne sont toujours pas publics. La correspondance entre Pfizer et le patron de l'UE Von der Leyen est toujours secrète. Les messages entre Hugo de Jonge et Mark Rutte à propos de Corona auraient été supprimés.

« En tant que membre du Parlement européen, j'appelle la Commission européenne à répondre devant le Parlement. J'appelle donc le président du Parlement européen à inscrire d'urgence à l'ordre du jour un débat sur les dossiers du confinement avec Von der Leyen.

"Nous verrons si le Parlement européen veut exercer sa fonction de contrôle ou s'il devient complice du plus grand scandale du siècle."