La dictature européenne continue sans grand débat : l'identité numérique nous est imposée
Il n'y aura pas de débat séparé au Parlement européen sur le projet d'introduction d'une identité numérique européenne (eID). Le député Rob Roos (JA21) avait demandé en vain un vote.
La Chambre des communes ne voulait pas de cette application, mais le secrétaire d'État Van Huffelen l'a quand même approuvée à Bruxelles. L'application qui relie toutes les données personnelles entre elles présente des risques majeurs.
L'identité numérique : la Chambre des communes n'en voulait pas, mais Van Huffelen l'a ignorée. A Bruxelles, ils l'ont simplement accepté. Et le Parlement européen a même menacé d'accepter sans vote. Je ne permettrai pas cela. Bientôt, je demanderai un vote au nom de @ECRGroup :
Une grande majorité du Parlement européen ne voit aucune raison de débattre. Seuls le SGP, le JA21, l'Union chrétienne, le FVD et le PvdD ont soutenu la motion de Roos.
"Il est absurde que le Parlement européen ne veuille même pas débattre du plan de l'UE pour un DigiD européen, mais veuille négocier directement avec les pays de l'UE. Oui, aussi avec le secrétaire d'État néerlandais, qui ignore l'opposition de la Chambre des communes", a tweeté l'eurodéputé Bert-Jan Ruissen (SGP).
Il prévient qu'il existe un risque que le DigiD européen soit requis dans de nombreux endroits.
Roos est farouchement contre l'identité numérique. "Je n'ai toujours aucune idée du problème que l'identité numérique résoudrait. Mais je peux voir les problèmes que cela pourrait causer.
La chroniqueuse Marianne Zwagerman répond : « On nous l'enfonce dans la gorge sans aucun débat raisonnable.
« La dictature européenne continue de gronder. La Chambre des communes a dit clairement que les Pays-Bas ne le souhaitaient pas, mais même notre plus haute instance démocratique est tout simplement écartée. C'est scandaleux », a ajouté le conseiller municipal de La Haye, Ralf Sluijs.