Chapitre 1 : L'enfance de la fille de la montagne
La fillette n'a jamais connu son vrai prénom. Ses parents, qui ne lui ont jamais donné un nom, l'appelaient toujours "fillette". Pourquoi ne l'ont-ils jamais nommée ? C'est un mystère. C'était comme s'ils avaient décidé que sa place était simplement de rester à la maison, cachée du monde extérieur. Elle a grandi avec son père bucheron, qui passait la plupart de son temps dans les bois à couper du bois. Il rentrait souvent tard le soir, fatigué, mais il prenait toujours le temps de s'asseoir avec elle et de lui raconter des histoires sur la nature.
Sa mère, quant à elle, avait disparu quand elle n'avait que 12 ans. Elle ne savait pas où elle était partie, ni pourquoi. Son père ne lui en avait jamais parlé, et elle n'avait jamais osé poser la question. Elle avait appris à ne pas poser trop de questions, à ne pas chercher à comprendre les mystères de la vie.
Mais malgré les mystères et les secrets qui entouraient sa vie, la fillette avait grandi heureuse. Elle aimait passer ses journées à explorer la forêt, à grimper aux arbres et à découvrir de nouveaux endroits cachés. Elle était toujours curieuse et avide de nouvelles découvertes, même si elle ne connaissait rien du monde extérieur. Et même si elle n'avait pas de véritable nom, elle avait un nom de famille : Vallonponti. Elle était la fille de la montagne Vallonponti, et elle était fière de cela.
La fillette vivait ainsi, isolée du reste du monde, avec pour seuls compagnons la nature et les histoires que son père lui racontait. Mais parfois, elle pouvait observer de loin des individus qui passaient par là, des étrangers qui parlaient un langage inconnu pour elle. Elle les regardait avec fascination, curieuse de savoir qui ils étaient et d'où ils venaient. Elle avait souvent envie d'aller à leur rencontre, mais quelque chose la retenait. Peut-être était-ce la peur de l'inconnu, ou peut-être simplement le fait qu'elle ne savait pas comment communiquer avec eux.
Pourtant, elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'il y avait au-delà de la forêt, au-delà de la montagne. Elle rêvait souvent d'un monde plus vaste, plein de couleurs et de mystères, et elle se demandait si elle aurait un jour la chance de le découvrir.
Malgré tout, elle aimait sa vie telle qu'elle était, et elle chérissait chaque moment passé avec son père et dans la nature. Elle était heureuse de vivre dans cette petite maison en bois, avec sa petite cour et son potager. Elle aimait s'occuper des fleurs et des légumes, et elle aimait regarder les animaux sauvages qui venaient parfois rôder autour de la maison.
Mais à mesure qu'elle grandissait, la fillette commençait à ressentir une certaine lassitude. Elle avait l'impression de vivre toujours la même chose, jour après jour, et elle se demandait si elle ne devrait pas chercher à découvrir le monde au-delà de la montagne.
"Les années de solitude"
Après le départ de sa mère, la fille de la montagne s'était retrouvée seule avec son père. Ce dernier était un homme rude et silencieux, qui passait la plupart de ses journées dans la forêt, à couper du bois et à chasser pour nourrir sa famille. Il ne parlait pas beaucoup, et quand il le faisait, c'était pour donner des instructions ou pour corriger les erreurs de sa fille.
La fille avait dû s'adapter à cette vie solitaire, apprenant à faire face à ses peurs et à ses incertitudes sans la présence réconfortante de sa mère. Les premiers temps, elle avait pleuré toutes les nuits en pensant à sa mère et en se demandant pourquoi elle était partie. Mais avec le temps, elle avait appris à être forte, à se débrouiller seule et à ne compter que sur elle-même.
Elle avait passé ses journées à explorer les montagnes, à grimper des sommets et à chercher des réponses à ses questions. Elle avait étudié les plantes et les animaux, apprenant à reconnaître chaque cri, chaque bruit et chaque mouvement. Elle avait construit des abris et des pièges, apprenant à survivre dans la nature sauvage qui l'entourait.
Trois années étaient passées, et la fille avait grandi en une jeune femme forte et déterminée. Elle avait appris à se battre contre les éléments, contre les bêtes sauvages et contre elle-même. Elle avait cultivé une passion pour la nature, pour les montagnes et pour la vie simple qu'elle menait.
Mais malgré cette force et cette détermination, la fille de la montagne se sentait toujours incomplète. Elle avait toujours cette question qui la hantait, ce doute sur le départ de sa mère et sur les raisons qui l'avaient poussée à partir. Elle avait cherché des réponses partout, interrogeant son père, les habitants des villages alentour, explorant chaque recoin des montagnes à la recherche d'indices. Mais rien n'avait pu combler le vide laissé par le départ de sa mère.
Pourtant, la fille de la montagne ne renoncerait pas. Elle était déterminée à découvrir la vérité, à savoir pourquoi sa mère était partie, où elle était allée, et peut-être, un jour, à la retrouver. Elle était prête à affronter tous les dangers, à parcourir toutes les montagnes, à risquer sa vie pour avoir les réponses qu'elle cherchait. Les années de solitude avaient forgé en elle une force et une volonté de fer, et elle ne reculerait devant rien pour trouver la paix intérieure qu'elle avait tant cherchée."
La fille de la montagne avait appris à être patiente, à écouter les bruits de la nature, à observer les signes et les symboles qui se manifestaient autour d'elle. Elle avait développé un sixième sens, une intuition qui lui permettait de sentir les choses avant même qu'elles ne se produisent. Cette capacité lui avait sauvé la vie à plusieurs reprises, lui permettant d'éviter des pièges mortels, de deviner les intentions des animaux sauvages et de prévoir les changements de temps.
Malgré tout, la vie de la fille de la montagne était dure. Les hivers étaient rudes, avec des températures glaciales et des tempêtes de neige qui pouvaient durer des jours entiers. Les étés étaient chauds, avec des orages violents qui pouvaient provoquer des éboulements et des inondations. La nature était belle mais impitoyable, et la fille avait appris à la respecter et à la craindre.
Pourtant, elle ne se laissait pas abattre. Elle avait une force intérieure qui la poussait à aller de l'avant, à surmonter tous les obstacles, à atteindre les sommets les plus hauts. Elle avait une soif de liberté, une envie de découvrir le monde qui la poussait à explorer chaque recoin des montagnes. Elle avait une curiosité insatiable, un besoin de comprendre, d'apprendre, de grandir.
Ainsi, les années de solitude avaient été à la fois une bénédiction et une malédiction pour la fille de la montagne. Elles lui avaient permis de devenir forte, indépendante, courageuse. Elles lui avaient donné les compétences nécessaires pour survivre dans un monde hostile, pour se nourrir, se protéger, se soigner. Mais elles lui avaient aussi volé une partie de son enfance, de sa jeunesse, de sa vie sociale.
La fille de la montagne n'avait jamais connu l'amour, l'amitié, la tendresse. Elle n'avait jamais ri avec des camarades de son âge, jamais dansé au clair de lune, jamais contemplé le coucher de soleil en bonne compagnie. Elle était restée seule, isolée, comme une louve solitaire perdue dans les montagnes.
Mais malgré tout cela, la fille de la montagne ne regretterait jamais les années de solitude. Car c'était ces années qui l'avaient façonnée, qui l'avaient transformée en une personne forte, indépendante, courageuse. C'était ces années qui l'avaient préparée à affronter les défis les plus difficiles, les épreuves les plus douloureuses, les aventures les plus incroyables. C'était ces années qui l'avaient poussée à devenir la jeune femme qu'elle était aujourd'hui : une jeune femme de la montagne, libre, sauvage, indomptable.
La fillette n'a jamais connu son vrai prénom. Ses parents, qui ne lui ont jamais donné un nom, l'appelaient toujours "fillette". Pourquoi ne l'ont-ils jamais nommée ? C'est un mystère. C'était comme s'ils avaient décidé que sa place était simplement de rester à la maison, cachée du monde extérieur. Elle a grandi avec son père bucheron, qui passait la plupart de son temps dans les bois à couper du bois. Il rentrait souvent tard le soir, fatigué, mais il prenait toujours le temps de s'asseoir avec elle et de lui raconter des histoires sur la nature.
Sa mère, quant à elle, avait disparu quand elle n'avait que 12 ans. Elle ne savait pas où elle était partie, ni pourquoi. Son père ne lui en avait jamais parlé, et elle n'avait jamais osé poser la question. Elle avait appris à ne pas poser trop de questions, à ne pas chercher à comprendre les mystères de la vie.
Mais malgré les mystères et les secrets qui entouraient sa vie, la fillette avait grandi heureuse. Elle aimait passer ses journées à explorer la forêt, à grimper aux arbres et à découvrir de nouveaux endroits cachés. Elle était toujours curieuse et avide de nouvelles découvertes, même si elle ne connaissait rien du monde extérieur. Et même si elle n'avait pas de véritable nom, elle avait un nom de famille : Vallonponti. Elle était la fille de la montagne Vallonponti, et elle était fière de cela.
La fillette vivait ainsi, isolée du reste du monde, avec pour seuls compagnons la nature et les histoires que son père lui racontait. Mais parfois, elle pouvait observer de loin des individus qui passaient par là, des étrangers qui parlaient un langage inconnu pour elle. Elle les regardait avec fascination, curieuse de savoir qui ils étaient et d'où ils venaient. Elle avait souvent envie d'aller à leur rencontre, mais quelque chose la retenait. Peut-être était-ce la peur de l'inconnu, ou peut-être simplement le fait qu'elle ne savait pas comment communiquer avec eux.
Pourtant, elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'il y avait au-delà de la forêt, au-delà de la montagne. Elle rêvait souvent d'un monde plus vaste, plein de couleurs et de mystères, et elle se demandait si elle aurait un jour la chance de le découvrir.
Malgré tout, elle aimait sa vie telle qu'elle était, et elle chérissait chaque moment passé avec son père et dans la nature. Elle était heureuse de vivre dans cette petite maison en bois, avec sa petite cour et son potager. Elle aimait s'occuper des fleurs et des légumes, et elle aimait regarder les animaux sauvages qui venaient parfois rôder autour de la maison.
Mais à mesure qu'elle grandissait, la fillette commençait à ressentir une certaine lassitude. Elle avait l'impression de vivre toujours la même chose, jour après jour, et elle se demandait si elle ne devrait pas chercher à découvrir le monde au-delà de la montagne.
"Les années de solitude"
Après le départ de sa mère, la fille de la montagne s'était retrouvée seule avec son père. Ce dernier était un homme rude et silencieux, qui passait la plupart de ses journées dans la forêt, à couper du bois et à chasser pour nourrir sa famille. Il ne parlait pas beaucoup, et quand il le faisait, c'était pour donner des instructions ou pour corriger les erreurs de sa fille.
La fille avait dû s'adapter à cette vie solitaire, apprenant à faire face à ses peurs et à ses incertitudes sans la présence réconfortante de sa mère. Les premiers temps, elle avait pleuré toutes les nuits en pensant à sa mère et en se demandant pourquoi elle était partie. Mais avec le temps, elle avait appris à être forte, à se débrouiller seule et à ne compter que sur elle-même.
Elle avait passé ses journées à explorer les montagnes, à grimper des sommets et à chercher des réponses à ses questions. Elle avait étudié les plantes et les animaux, apprenant à reconnaître chaque cri, chaque bruit et chaque mouvement. Elle avait construit des abris et des pièges, apprenant à survivre dans la nature sauvage qui l'entourait.
Trois années étaient passées, et la fille avait grandi en une jeune femme forte et déterminée. Elle avait appris à se battre contre les éléments, contre les bêtes sauvages et contre elle-même. Elle avait cultivé une passion pour la nature, pour les montagnes et pour la vie simple qu'elle menait.
Mais malgré cette force et cette détermination, la fille de la montagne se sentait toujours incomplète. Elle avait toujours cette question qui la hantait, ce doute sur le départ de sa mère et sur les raisons qui l'avaient poussée à partir. Elle avait cherché des réponses partout, interrogeant son père, les habitants des villages alentour, explorant chaque recoin des montagnes à la recherche d'indices. Mais rien n'avait pu combler le vide laissé par le départ de sa mère.
Pourtant, la fille de la montagne ne renoncerait pas. Elle était déterminée à découvrir la vérité, à savoir pourquoi sa mère était partie, où elle était allée, et peut-être, un jour, à la retrouver. Elle était prête à affronter tous les dangers, à parcourir toutes les montagnes, à risquer sa vie pour avoir les réponses qu'elle cherchait. Les années de solitude avaient forgé en elle une force et une volonté de fer, et elle ne reculerait devant rien pour trouver la paix intérieure qu'elle avait tant cherchée."
La fille de la montagne avait appris à être patiente, à écouter les bruits de la nature, à observer les signes et les symboles qui se manifestaient autour d'elle. Elle avait développé un sixième sens, une intuition qui lui permettait de sentir les choses avant même qu'elles ne se produisent. Cette capacité lui avait sauvé la vie à plusieurs reprises, lui permettant d'éviter des pièges mortels, de deviner les intentions des animaux sauvages et de prévoir les changements de temps.
Malgré tout, la vie de la fille de la montagne était dure. Les hivers étaient rudes, avec des températures glaciales et des tempêtes de neige qui pouvaient durer des jours entiers. Les étés étaient chauds, avec des orages violents qui pouvaient provoquer des éboulements et des inondations. La nature était belle mais impitoyable, et la fille avait appris à la respecter et à la craindre.
Pourtant, elle ne se laissait pas abattre. Elle avait une force intérieure qui la poussait à aller de l'avant, à surmonter tous les obstacles, à atteindre les sommets les plus hauts. Elle avait une soif de liberté, une envie de découvrir le monde qui la poussait à explorer chaque recoin des montagnes. Elle avait une curiosité insatiable, un besoin de comprendre, d'apprendre, de grandir.
Ainsi, les années de solitude avaient été à la fois une bénédiction et une malédiction pour la fille de la montagne. Elles lui avaient permis de devenir forte, indépendante, courageuse. Elles lui avaient donné les compétences nécessaires pour survivre dans un monde hostile, pour se nourrir, se protéger, se soigner. Mais elles lui avaient aussi volé une partie de son enfance, de sa jeunesse, de sa vie sociale.
La fille de la montagne n'avait jamais connu l'amour, l'amitié, la tendresse. Elle n'avait jamais ri avec des camarades de son âge, jamais dansé au clair de lune, jamais contemplé le coucher de soleil en bonne compagnie. Elle était restée seule, isolée, comme une louve solitaire perdue dans les montagnes.
Mais malgré tout cela, la fille de la montagne ne regretterait jamais les années de solitude. Car c'était ces années qui l'avaient façonnée, qui l'avaient transformée en une personne forte, indépendante, courageuse. C'était ces années qui l'avaient préparée à affronter les défis les plus difficiles, les épreuves les plus douloureuses, les aventures les plus incroyables. C'était ces années qui l'avaient poussée à devenir la jeune femme qu'elle était aujourd'hui : une jeune femme de la montagne, libre, sauvage, indomptable.
Chapitre 1 : L'enfance de la fille de la montagne
La fillette n'a jamais connu son vrai prénom. Ses parents, qui ne lui ont jamais donné un nom, l'appelaient toujours "fillette". Pourquoi ne l'ont-ils jamais nommée ? C'est un mystère. C'était comme s'ils avaient décidé que sa place était simplement de rester à la maison, cachée du monde extérieur. Elle a grandi avec son père bucheron, qui passait la plupart de son temps dans les bois à couper du bois. Il rentrait souvent tard le soir, fatigué, mais il prenait toujours le temps de s'asseoir avec elle et de lui raconter des histoires sur la nature.
Sa mère, quant à elle, avait disparu quand elle n'avait que 12 ans. Elle ne savait pas où elle était partie, ni pourquoi. Son père ne lui en avait jamais parlé, et elle n'avait jamais osé poser la question. Elle avait appris à ne pas poser trop de questions, à ne pas chercher à comprendre les mystères de la vie.
Mais malgré les mystères et les secrets qui entouraient sa vie, la fillette avait grandi heureuse. Elle aimait passer ses journées à explorer la forêt, à grimper aux arbres et à découvrir de nouveaux endroits cachés. Elle était toujours curieuse et avide de nouvelles découvertes, même si elle ne connaissait rien du monde extérieur. Et même si elle n'avait pas de véritable nom, elle avait un nom de famille : Vallonponti. Elle était la fille de la montagne Vallonponti, et elle était fière de cela.
La fillette vivait ainsi, isolée du reste du monde, avec pour seuls compagnons la nature et les histoires que son père lui racontait. Mais parfois, elle pouvait observer de loin des individus qui passaient par là, des étrangers qui parlaient un langage inconnu pour elle. Elle les regardait avec fascination, curieuse de savoir qui ils étaient et d'où ils venaient. Elle avait souvent envie d'aller à leur rencontre, mais quelque chose la retenait. Peut-être était-ce la peur de l'inconnu, ou peut-être simplement le fait qu'elle ne savait pas comment communiquer avec eux.
Pourtant, elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'il y avait au-delà de la forêt, au-delà de la montagne. Elle rêvait souvent d'un monde plus vaste, plein de couleurs et de mystères, et elle se demandait si elle aurait un jour la chance de le découvrir.
Malgré tout, elle aimait sa vie telle qu'elle était, et elle chérissait chaque moment passé avec son père et dans la nature. Elle était heureuse de vivre dans cette petite maison en bois, avec sa petite cour et son potager. Elle aimait s'occuper des fleurs et des légumes, et elle aimait regarder les animaux sauvages qui venaient parfois rôder autour de la maison.
Mais à mesure qu'elle grandissait, la fillette commençait à ressentir une certaine lassitude. Elle avait l'impression de vivre toujours la même chose, jour après jour, et elle se demandait si elle ne devrait pas chercher à découvrir le monde au-delà de la montagne.
"Les années de solitude"
Après le départ de sa mère, la fille de la montagne s'était retrouvée seule avec son père. Ce dernier était un homme rude et silencieux, qui passait la plupart de ses journées dans la forêt, à couper du bois et à chasser pour nourrir sa famille. Il ne parlait pas beaucoup, et quand il le faisait, c'était pour donner des instructions ou pour corriger les erreurs de sa fille.
La fille avait dû s'adapter à cette vie solitaire, apprenant à faire face à ses peurs et à ses incertitudes sans la présence réconfortante de sa mère. Les premiers temps, elle avait pleuré toutes les nuits en pensant à sa mère et en se demandant pourquoi elle était partie. Mais avec le temps, elle avait appris à être forte, à se débrouiller seule et à ne compter que sur elle-même.
Elle avait passé ses journées à explorer les montagnes, à grimper des sommets et à chercher des réponses à ses questions. Elle avait étudié les plantes et les animaux, apprenant à reconnaître chaque cri, chaque bruit et chaque mouvement. Elle avait construit des abris et des pièges, apprenant à survivre dans la nature sauvage qui l'entourait.
Trois années étaient passées, et la fille avait grandi en une jeune femme forte et déterminée. Elle avait appris à se battre contre les éléments, contre les bêtes sauvages et contre elle-même. Elle avait cultivé une passion pour la nature, pour les montagnes et pour la vie simple qu'elle menait.
Mais malgré cette force et cette détermination, la fille de la montagne se sentait toujours incomplète. Elle avait toujours cette question qui la hantait, ce doute sur le départ de sa mère et sur les raisons qui l'avaient poussée à partir. Elle avait cherché des réponses partout, interrogeant son père, les habitants des villages alentour, explorant chaque recoin des montagnes à la recherche d'indices. Mais rien n'avait pu combler le vide laissé par le départ de sa mère.
Pourtant, la fille de la montagne ne renoncerait pas. Elle était déterminée à découvrir la vérité, à savoir pourquoi sa mère était partie, où elle était allée, et peut-être, un jour, à la retrouver. Elle était prête à affronter tous les dangers, à parcourir toutes les montagnes, à risquer sa vie pour avoir les réponses qu'elle cherchait. Les années de solitude avaient forgé en elle une force et une volonté de fer, et elle ne reculerait devant rien pour trouver la paix intérieure qu'elle avait tant cherchée."
La fille de la montagne avait appris à être patiente, à écouter les bruits de la nature, à observer les signes et les symboles qui se manifestaient autour d'elle. Elle avait développé un sixième sens, une intuition qui lui permettait de sentir les choses avant même qu'elles ne se produisent. Cette capacité lui avait sauvé la vie à plusieurs reprises, lui permettant d'éviter des pièges mortels, de deviner les intentions des animaux sauvages et de prévoir les changements de temps.
Malgré tout, la vie de la fille de la montagne était dure. Les hivers étaient rudes, avec des températures glaciales et des tempêtes de neige qui pouvaient durer des jours entiers. Les étés étaient chauds, avec des orages violents qui pouvaient provoquer des éboulements et des inondations. La nature était belle mais impitoyable, et la fille avait appris à la respecter et à la craindre.
Pourtant, elle ne se laissait pas abattre. Elle avait une force intérieure qui la poussait à aller de l'avant, à surmonter tous les obstacles, à atteindre les sommets les plus hauts. Elle avait une soif de liberté, une envie de découvrir le monde qui la poussait à explorer chaque recoin des montagnes. Elle avait une curiosité insatiable, un besoin de comprendre, d'apprendre, de grandir.
Ainsi, les années de solitude avaient été à la fois une bénédiction et une malédiction pour la fille de la montagne. Elles lui avaient permis de devenir forte, indépendante, courageuse. Elles lui avaient donné les compétences nécessaires pour survivre dans un monde hostile, pour se nourrir, se protéger, se soigner. Mais elles lui avaient aussi volé une partie de son enfance, de sa jeunesse, de sa vie sociale.
La fille de la montagne n'avait jamais connu l'amour, l'amitié, la tendresse. Elle n'avait jamais ri avec des camarades de son âge, jamais dansé au clair de lune, jamais contemplé le coucher de soleil en bonne compagnie. Elle était restée seule, isolée, comme une louve solitaire perdue dans les montagnes.
Mais malgré tout cela, la fille de la montagne ne regretterait jamais les années de solitude. Car c'était ces années qui l'avaient façonnée, qui l'avaient transformée en une personne forte, indépendante, courageuse. C'était ces années qui l'avaient préparée à affronter les défis les plus difficiles, les épreuves les plus douloureuses, les aventures les plus incroyables. C'était ces années qui l'avaient poussée à devenir la jeune femme qu'elle était aujourd'hui : une jeune femme de la montagne, libre, sauvage, indomptable.
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