Plusieurs plaintes déposées à Saint-Malo après des soupçons de piqûres en soirée.
En tout, trois plaintes. Les deux premières ont été déposées le 9 avril au commissariat de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) : un garçon et une fille de 18 et 19 ans assurent avoir été piqués lors d’une soirée en discothèque et avoir été pris de vomissements et de pertes de mémoire par la suite, relate France Bleu. Le lendemain, quatre autres personnes qui pourraient avoir été piquées sont identifiées par la police municipale mais seule une a porté plainte : une adolescente de 16 ans qui assure avoir eu « les jambes et les bras engourdis », selon le parquet de Saint-Malo, cité par la radio locale. Le journal local Le Pays Malouin rapporte que deux autres plaintes ont également été déposées dans la cité corsaire, l’une au commissariat, l’autre à la gendarmerie. Aucune substance détectée Pour l’heure, les analyses médicales des trois plaignants n’ont pas permis d’identifier une éventuelle substance qui leur aurait été inoculée. L’enquête se poursuit, notamment avec l’analyse des images de vidéosurveillance de l’établissement. Des cas similaires de piqûres ont été signalés samedi lors de concerts au Printemps de Bourges et dernièrement dans des discothèques, notamment à Béziers, Grenoble ou Nantes. À Nantes, 43 faits ont été portés à la connaissance des forces de l’ordre depuis la mi-février, selon le parquet. « Aucun dépistage n’a mis en évidence la présence de GHB (surnommé « la drogue du violeur ») ou autres substances toxiques », indiquait le parquet vendredi.
En tout, trois plaintes. Les deux premières ont été déposées le 9 avril au commissariat de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) : un garçon et une fille de 18 et 19 ans assurent avoir été piqués lors d’une soirée en discothèque et avoir été pris de vomissements et de pertes de mémoire par la suite, relate France Bleu. Le lendemain, quatre autres personnes qui pourraient avoir été piquées sont identifiées par la police municipale mais seule une a porté plainte : une adolescente de 16 ans qui assure avoir eu « les jambes et les bras engourdis », selon le parquet de Saint-Malo, cité par la radio locale. Le journal local Le Pays Malouin rapporte que deux autres plaintes ont également été déposées dans la cité corsaire, l’une au commissariat, l’autre à la gendarmerie. Aucune substance détectée Pour l’heure, les analyses médicales des trois plaignants n’ont pas permis d’identifier une éventuelle substance qui leur aurait été inoculée. L’enquête se poursuit, notamment avec l’analyse des images de vidéosurveillance de l’établissement. Des cas similaires de piqûres ont été signalés samedi lors de concerts au Printemps de Bourges et dernièrement dans des discothèques, notamment à Béziers, Grenoble ou Nantes. À Nantes, 43 faits ont été portés à la connaissance des forces de l’ordre depuis la mi-février, selon le parquet. « Aucun dépistage n’a mis en évidence la présence de GHB (surnommé « la drogue du violeur ») ou autres substances toxiques », indiquait le parquet vendredi.
Plusieurs plaintes déposées à Saint-Malo après des soupçons de piqûres en soirée.
En tout, trois plaintes. Les deux premières ont été déposées le 9 avril au commissariat de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) : un garçon et une fille de 18 et 19 ans assurent avoir été piqués lors d’une soirée en discothèque et avoir été pris de vomissements et de pertes de mémoire par la suite, relate France Bleu. Le lendemain, quatre autres personnes qui pourraient avoir été piquées sont identifiées par la police municipale mais seule une a porté plainte : une adolescente de 16 ans qui assure avoir eu « les jambes et les bras engourdis », selon le parquet de Saint-Malo, cité par la radio locale. Le journal local Le Pays Malouin rapporte que deux autres plaintes ont également été déposées dans la cité corsaire, l’une au commissariat, l’autre à la gendarmerie. Aucune substance détectée Pour l’heure, les analyses médicales des trois plaignants n’ont pas permis d’identifier une éventuelle substance qui leur aurait été inoculée. L’enquête se poursuit, notamment avec l’analyse des images de vidéosurveillance de l’établissement. Des cas similaires de piqûres ont été signalés samedi lors de concerts au Printemps de Bourges et dernièrement dans des discothèques, notamment à Béziers, Grenoble ou Nantes. À Nantes, 43 faits ont été portés à la connaissance des forces de l’ordre depuis la mi-février, selon le parquet. « Aucun dépistage n’a mis en évidence la présence de GHB (surnommé « la drogue du violeur ») ou autres substances toxiques », indiquait le parquet vendredi.
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