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  • #POID #LaTribuneDesTravailleurs #travailleurs #réformes #retraites #régime_des_retraites #guerre #finances #argent_public #gouvernement #unité #macron #mensonges #hôpitaux #santé #politique #annonces #soignant #patient #médecins #généralistes #attaques #libéraux #syndicat #syndicaliste #bagarre #collègues #revendications #poste #courrier #locataire #local #dégradation #incendie #international #biden #ukraine #otan #chine #industrie #sénat #vote #américain #Usa #défense #homme #femme #afghane #résistance #photographie #talibans #partisans #extrême_droite #brésil #banquier #patrons
    https://www.youtube.com/watch?v=0lA0SX1lkc4
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  • La guerre de la faim contre les talibans afghans.

    Par Peter Haisenko

    L’ONU organise des événements réels pour la plus grande collecte de fonds pour l’histoire en Afghanistan. Le besoin doit être allégé et pour cela, vous avez besoin de 7,1 milliards de dollars pour l’année en cours.
    L’Afghanistan aurait cette somme-même comme réserve de change, investie dans des banques à New York, mais les États-Unis l’ont « gelée » et l’ont donc retirée du gouvernement taliban.

    Pendant 20 ans, les États-Unis et l’OTAN ont occupé l’Afghanistan. Pendant ce temps, après tout, toute une génération, il n’a pas été possible d’atteindre l’un des objectifs allégués, même a fait. L’Afghanistan n’était même pas proche d’une démocratie qui fonctionne et, après le recul chaotique des forces d’occupation étrangères, les talibans ont repris le pouvoir sur le pays.
    Les atrocités attendues n’ont pas en grande partie réussi à se matérialiser et maintenant même certaines femmes sont autorisées à revenir à l’université. Les civils peuvent a nouveau vivre sans craindre les meurtres soudains de drones. Les États-Unis, l’OTAN, sur l’échec lamentablement en Afghanistan.
    La guerre de la faim contre les talibans afghans. Par Peter Haisenko L’ONU organise des événements réels pour la plus grande collecte de fonds pour l’histoire en Afghanistan. Le besoin doit être allégé et pour cela, vous avez besoin de 7,1 milliards de dollars pour l’année en cours. L’Afghanistan aurait cette somme-même comme réserve de change, investie dans des banques à New York, mais les États-Unis l’ont « gelée » et l’ont donc retirée du gouvernement taliban. Pendant 20 ans, les États-Unis et l’OTAN ont occupé l’Afghanistan. Pendant ce temps, après tout, toute une génération, il n’a pas été possible d’atteindre l’un des objectifs allégués, même a fait. L’Afghanistan n’était même pas proche d’une démocratie qui fonctionne et, après le recul chaotique des forces d’occupation étrangères, les talibans ont repris le pouvoir sur le pays. Les atrocités attendues n’ont pas en grande partie réussi à se matérialiser et maintenant même certaines femmes sont autorisées à revenir à l’université. Les civils peuvent a nouveau vivre sans craindre les meurtres soudains de drones. Les États-Unis, l’OTAN, sur l’échec lamentablement en Afghanistan.
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  • https://www.bvoltaire.fr/afghanistan-non-les-talibans-nont-pas-change-mais-on-va-quand-meme-continuer-a-banquer/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=95398efa0c-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-95398efa0c-30777961&mc_cid=95398efa0c&mc_eid=511f681576
    https://www.bvoltaire.fr/afghanistan-non-les-talibans-nont-pas-change-mais-on-va-quand-meme-continuer-a-banquer/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=95398efa0c-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-95398efa0c-30777961&mc_cid=95398efa0c&mc_eid=511f681576
    WWW.BVOLTAIRE.FR
    Afghanistan : non, les talibans n’ont pas changé, mais on va quand même continuer à banquer… - Boulevard Voltaire
    Il est fortement recommandé aux conducteurs de n’accepter des femmes à bord que si elles portent le « voile islamique ».
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  • La loi qui donne au président USA licence de tuer
    Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais)

    Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger

    Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004.

    Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen.

    La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants.

    Manlio Dinucci

    La loi qui donne au président USA licence de tuer Le 18 septembre 2001, une semaine après le 11 Septembre, le Congrès des États-Unis approuve avec un vote bi-partisan unanime la Loi Publique 107-40 qui stipule : “Le Président est autorisé à utiliser toute la force nécessaire et appropriée contre les nations, organisations ou personnes dont il considère qu’ils ont planifié, autorisé, commis ou aidé les attaques terroristes survenues le 11 septembre 2001, ou a donné refuge à ces organisations ou personnes, dans le but de prévenir tout futur acte de terrorisme international contre les États-Unis de la part de ces nations organisations ou personnes”. La loi, qui conférait au président républicain George W. Bush les pleins pouvoirs de guerre, avait été rédigée par le sénateur démocrate Joe Biden, président de la Commission pour les relations extérieures.(Voir le pdf en anglais) Le président Bush se trouvait ainsi autorisé par le Congrès, au nom de la “guerre à la terreur”, à utiliser la force militaire non seulement contre des organisations ou personnes mais des nations entières, dont la culpabilité était décrétée par le président même, qui émettait la sentence sans procès ni possibilité d’appel et en ordonnait l’immédiate exécution au moyen de la guerre. Les seuls qui depuis longtemps demandent l’effacement de cette loi sont deux sénateurs, le démocrate Kaine et le républicain Young, mais leur tentative n’a jusqu’à présent pas abouti. La loi du 18 septembre 2001, toujours en vigueur, a été utilisée, après le président républicain Bush, par le démocrate Obama, par le républicain Trump et par le démocrate Biden (ex- vice président de l’Administration Obama). On calcule qu’elle a déjà été utilisée pour “légitimer”, pendant les vingt dernières années, des opérations militaires effectuées par les forces armées étasuniennes, sur ordre présidentiel, dans 19 pays du monde, parmi lesquels Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, Tunisie, Kenya, Mali, Nigeria, Somalie, Cameroun et Niger Trois semaines après l’adoption de la loi, le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Afghanistan, officiellement pour donner la chasse à Ben Laden protégé par les talibans ; trois mois après, il ordonnait l’ouverture du camp de détention de Guantanamo, où étaient secrètement déportés et torturés de présumés terroristes de différents parties du monde ; un an et demi plus tard -sollicité par une résolution bi-partisan de 77 sénateurs, menée par Joe Biden- le président Bush ordonnait d’attaquer et envahir l’Irak sous l’accusation (qui s’est ensuite révélée fausse) qu’il possédait des armes de destruction de masse. L’ordre était d’avoir un poing de fer pour écraser la résistance : confirmation en était donnée par les images des tortures dans la prison d’Abu Ghraib, mises à jour en 2004. Toujours sur la base de la loi de 2001 qui l’autorisait à “utiliser toute la force nécessaire et appropriée””, le président Obama, dix ans après, autorisait la CIA à mener des actions secrètes en Libye pour préparer la guerre OTAN qui allait démolir l’État libyen. Selon le même procédure “légale” -documentait le New York Times (29 mai 2012)- pendant l’Administration Obama fut instituée la “kill list”, mise à jour hebdomadairement, comprenant des personnes du monde entier condamnées secrètement à mort sous l’accusation de terrorisme, lesquelles, après l’approbation du Président, étaient éliminées généralement avec des drones-killer. La même procédure était suivie en janvier 2020 par le président Trump, qui ordonnait l’élimination du général iranien Soleimani, tué par un drone USA à l’aéroport de Baghdad. Des attaques analogues de drones USA ont été “légalement” autorisées en Afghanistan, Irak, Libye, Pakistan, Somalie, Syrie et Yemen. La plus récente attaque d’un drone-killer est celle qui, sur la base de l’autorisation du président Biden, a frappé le 29 août à Kaboul une voiture suspectée de transporter une bombe de l’Isis. Une enquête du New York Times (10 septembre) a pu vérifier que la voiture (suivie longtemps par le pilote du drone, à des milliers de km de distance) ne transportait pas des explosifs mais des réservoirs d’eau. Contre cette voiture, dans un quartier densément habité, a été lancé un missile “Feu de l’enfer”, qui a tué dix civils, dont sept enfants. Manlio Dinucci
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  • Départ des Américains d’Afghanistan : les Etats-Unis «travailleront» avec les talibans s’ils tiennent leurs engagements

    Une nouvelle ère. Les Etats-Unis « travailleront » avec les talibans s’ils « tiennent leurs engagements », a affirmé lundi le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, quelques heures après le départ des derniers soldats américains d’Afghanistan. « Chaque étape que nous suivrons ne sera pas fondée sur ce que le gouvernement taliban dit, mais sur ce qu’il fait pour respecter ses engagements », a déclaré M. Blinken, soulignant que les nouveaux maîtres de l’Afghanistan devraient « mériter » leur demande de légitimité et de soutien de la communauté internationale.
    Départ des Américains d’Afghanistan : les Etats-Unis «travailleront» avec les talibans s’ils tiennent leurs engagements Une nouvelle ère. Les Etats-Unis « travailleront » avec les talibans s’ils « tiennent leurs engagements », a affirmé lundi le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, quelques heures après le départ des derniers soldats américains d’Afghanistan. « Chaque étape que nous suivrons ne sera pas fondée sur ce que le gouvernement taliban dit, mais sur ce qu’il fait pour respecter ses engagements », a déclaré M. Blinken, soulignant que les nouveaux maîtres de l’Afghanistan devraient « mériter » leur demande de légitimité et de soutien de la communauté internationale.
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  • Chaque soir, plusieurs centaines de personnes arrivent en France. Elles laissent derrière elles un pays pris d’assaut par les talibans.

    «En descendant de l’avion, on leur propose d’abord un répit: dormir, manger, changer de vêtements, quand on n’a plus rien, on ne pense qu’à ça», raconte Delphine Rouilleault, directrice générale de l’association France terre d’asile. Chaque soir depuis mardi, plusieurs centaines de personnes - françaises ou non - arrivent en France et sont prises en charge par l’association. En majorité, ce sont des familles avec des enfants en bas âge.

    À LIRE AUSSILes maires les plus désireux d’accueillir des Afghans ne sont pas les mieux placés pour intégrer les immigrés

    À moins d’être complètement vaccinés contre le Covid, ils sont hébergés dans un hôtel en Île-de-France, pour un isolement de dix jours. «On en profite pour les informer sur leurs droits, pour leur permettre de prendre une décision quant à leur demande de droit d’asile, qu’on ne peut pas prendre dans le choc et le traumatisme du départ forcé», ajoute-t-elle. «Il est important d’assurer le rapatriement dans l’urgence des personnes exposées et à risque, mais la réalité est que bien plus de personnes sont en danger.»
    Chaque soir, plusieurs centaines de personnes arrivent en France. Elles laissent derrière elles un pays pris d’assaut par les talibans. «En descendant de l’avion, on leur propose d’abord un répit: dormir, manger, changer de vêtements, quand on n’a plus rien, on ne pense qu’à ça», raconte Delphine Rouilleault, directrice générale de l’association France terre d’asile. Chaque soir depuis mardi, plusieurs centaines de personnes - françaises ou non - arrivent en France et sont prises en charge par l’association. En majorité, ce sont des familles avec des enfants en bas âge. À LIRE AUSSILes maires les plus désireux d’accueillir des Afghans ne sont pas les mieux placés pour intégrer les immigrés À moins d’être complètement vaccinés contre le Covid, ils sont hébergés dans un hôtel en Île-de-France, pour un isolement de dix jours. «On en profite pour les informer sur leurs droits, pour leur permettre de prendre une décision quant à leur demande de droit d’asile, qu’on ne peut pas prendre dans le choc et le traumatisme du départ forcé», ajoute-t-elle. «Il est important d’assurer le rapatriement dans l’urgence des personnes exposées et à risque, mais la réalité est que bien plus de personnes sont en danger.»
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