"Se réveiller, ou mourir" !
C’est par ces deux mots qu’ Yvan Rioufol conclut sa chronique hebdomadaire dans le Figaro.
Et de son côté, Édouard Philippe annonce des lendemains douloureux, au pays des Bisounours et des inconscients : “Je pense que nous allons affronter une tempête – une tempête économique, une tempête sanitaire, une tempête à tous égards – et peut-être une tempête sociale, peut-être une tempête politique.
Et je pense que les temps qui viennent sont des temps difficiles”.
Il aurait pu ajouter une tempête identitaire et confessionnelle, tant le chaos racial et l’arrogance islamiste ont pris possession du pays.
Qu’on apprécie ou pas l’ex-hôte de Matignon, celui-ci a le mérite de parler vrai, même s’il n’ose mentionner l’immigration comme cause majeure de ruine, de violence et de désordre. “Une tempête à tous égards”… l’ex-Premier ministre ne croit pas si bien dire.
Et il est vrai que tout s’effondre, et pas seulement l’économie, ravagée par la pandémie du Covid-19 et par une immigration de masse, qui coûte plus cher en social que sa contribution au PIB.
La France cigale, qui danse inconsciemment depuis la fin des Trente Glorieuses et a cru pourvoir partager ses richesses et son fabuleux social avec toute la planète, est au bord de la faillite et du chaos social et racial.
Le peuple va payer au centuple les décennies de trahison de ses élus, mais également son incroyable aveuglement.
Car si les élus ont pu détruire le pays en une seule génération avec autant de facilité, c’est grâce à l’appui constant des électeurs lors de chaque scrutin.
A chaque sondage les Français se montrent lucides sur les maux du pays, mais à chaque élection ils persistent à mal voter, c’est-à-dire à reconduire ceux qui coulent la nation depuis si longtemps.
Les fossoyeurs de la France n’ont jamais volé leur mandat.
Ils ont toujours été élus.
Dans notre France de 2022, tout part en vrille et il n’y a aucun pilote capable d’en sortir.
Le mouvement des Gilets jaunes, qui avait espéré renverser la table en faisant trembler Macron, a été laminé par la violence des Black Blocs et les voyous des cités.
Le mouvement est mort.
Les plans sociaux vont s’enchaîner à grande vitesse et le fiasco ”Bridgestone” n’est qu’un petit épisode de l’hécatombe à venir.
La sphère politique est dévastée.
La droite, depuis trois ans, n’a ni leader ni programme, au point que ses rescapés rallient en masse la Macronie.
A gauche, communistes, socialistes, France STLS insoumise et Verts voudraient nous refaire le coup de la grande union de 1981.
Autant dire que c’est l’Apocalypse à l’horizon…
Les mouvements racialistes et islamistes ont pris le pouvoir un peu partout en France, permettant aux Verts de rafler la mise dans les grandes
villes.
Les minorités font la loi.
Tandis que Macron feint de dénoncer le séparatisme…, les coloniaux, les indigénistes et les islamistes sont comme des poissons dans l’eau.
Seuls les populistes, les identitaires et les patriotes sont dans le collimateur du pouvoir, des élites, et parfois de la justice.
En 2019, ce sont 177 000 demandeurs d’asile qui ont frappé à
la porte de la France, pays du tout gratuit, paradis des migrants
économiques et des sans-papiers. Un record.
Mais les expulsions, déjà rarissimes, sont en chute libre.
Un clandestin est protégé comme un VIP par un filet juridique démentiel, qui le met à l’abri pour des années, voire à vie.
Les policiers, qu’on peut traiter de “*****” en toute impunité dès
qu’ils font leur travail de maintien de l’ordre, contrôlent systématiquement
les clandestins en pure perte.
Plus de 110 000 contrôles sont effectués chaque année, mais la justice ne suit pas.
En France, un squatteur n’a besoin que d’un ticket de pizza pour prouver qu’il est chez lui depuis 48h.
Mais le propriétaire des lieux depuis 30 ans doit prouver son identité
et fournir un acte de propriété.
Moyennant quoi, selon le bon vouloir du juge et du préfet, il pourra récupérer son bien dans les deux ans, le plus souvent saccagé.
Et si le propriétaire se réinstalle chez lui de force, il y a violation de domicile puisque le squatteur est chez lui selon la loi.
Et dans ce cas, les peines de prison et d’amende encourues sont le double decelles du squatteur ! C’est cela la France de 2022 ! Le monde à l'envers !!!
Voilà des décennies que les gouvernements, de droite comme de gauche,refusent de changer la loi, pour ne pas déplaire aux associations et aux anticapitalistes de tout poil. Cette loi ne changera que quand des élus et autres nantis du système se feront squatter leur résidence secondaire.
Et avec le tsunami migratoire, cela ne va pas tarder.
En France, on baisse la retraite des Français, mais on accorde 880 € à tout
étranger de 65 ans qui n’a jamais travaillé ni cotisé dans notre pays.
Des millions de Français ne perçoivent pas cette somme, si, avec leur conjoint, ils dépassent 1 400 € par mois.
Bien des femmes d’artisan, qui ont aidé leur mari, n’ont droit à rien, si celui-ci dépasse ce seuil de 1 400 € pour un couple.
Cela s’appelle la justice sociale…
En France, 140 000 SDF logent sous les ponts, mais 25 000 clandestins sont logés à
l’hôtel chaque soir.
Le droit au logement, c’est à la gueule du client.
En France, on peut organiser des événements interdits aux Blancs.
Toutes les élites détournent aussitôt le regard pour ne rien voir.
Mais ces mêmes élites s’abattent en meute sur le pauvre pâtissier
qui appelle son gâteau “tête de ************”, comme le faisait son père ou son
grand-père, bien avant la toute-puissance du terrorisme intellectuel.
Ni la droite, ni la gauche n’ont voulu protéger le peuple français.
La préférence étrangère est systématique.
Il semblerait néanmoins que les citoyens ouvrent les yeux sur l’ampleur du désastre national.
Selon un sondage paru dans Le Monde mardi :
- 8 % des Français pensent que leur pays est sur le déclin.
- 60 % jugent la mondialisation dangereuse.
- 82 % réclament un vrai chef pour remettre de l’ordre.
- 55 % sont pour le rétablissement de la peine de mort.
Nous assistons, comme le dit Yvan Rioufol, à l’effondrement
d’un système qui ne maîtrise plus rien :
- ni la sécurité,
- ni l’autorité,
- ni l’immigration,
- ni le roman national,
- ni les lois essentielles,
- ni la monnaie”.
-ni la justice,
L’édifice vermoulu de la Ve République s’écroule.
Seules les redistributions sociales massives, financées par l’emprunt, retardent l’effondrement final.
Macron nous mène au chaos généralisé, car il refuse d’admettre que
les peuples ont une identité propre, une Histoire qui leur appartient et des
traditions qui ne sont pas celles des autres peuples.
Le multiculturalisme conduit notre France millénaire tout droit en
Enfer.
Ils sont une poignée à batailler pour défendre la France que nous ont léguée nos ancêtres.
Mais qui les écoute ?
La torpeur du peuple n’a que trop duré... !
"Se réveiller, ou mourir" ! Il n’y a pas d’autre issue possible ou n'est-ce pas déjà trop tard !
C’est par ces deux mots qu’ Yvan Rioufol conclut sa chronique hebdomadaire dans le Figaro.
Et de son côté, Édouard Philippe annonce des lendemains douloureux, au pays des Bisounours et des inconscients : “Je pense que nous allons affronter une tempête – une tempête économique, une tempête sanitaire, une tempête à tous égards – et peut-être une tempête sociale, peut-être une tempête politique.
Et je pense que les temps qui viennent sont des temps difficiles”.
Il aurait pu ajouter une tempête identitaire et confessionnelle, tant le chaos racial et l’arrogance islamiste ont pris possession du pays.
Qu’on apprécie ou pas l’ex-hôte de Matignon, celui-ci a le mérite de parler vrai, même s’il n’ose mentionner l’immigration comme cause majeure de ruine, de violence et de désordre. “Une tempête à tous égards”… l’ex-Premier ministre ne croit pas si bien dire.
Et il est vrai que tout s’effondre, et pas seulement l’économie, ravagée par la pandémie du Covid-19 et par une immigration de masse, qui coûte plus cher en social que sa contribution au PIB.
La France cigale, qui danse inconsciemment depuis la fin des Trente Glorieuses et a cru pourvoir partager ses richesses et son fabuleux social avec toute la planète, est au bord de la faillite et du chaos social et racial.
Le peuple va payer au centuple les décennies de trahison de ses élus, mais également son incroyable aveuglement.
Car si les élus ont pu détruire le pays en une seule génération avec autant de facilité, c’est grâce à l’appui constant des électeurs lors de chaque scrutin.
A chaque sondage les Français se montrent lucides sur les maux du pays, mais à chaque élection ils persistent à mal voter, c’est-à-dire à reconduire ceux qui coulent la nation depuis si longtemps.
Les fossoyeurs de la France n’ont jamais volé leur mandat.
Ils ont toujours été élus.
Dans notre France de 2022, tout part en vrille et il n’y a aucun pilote capable d’en sortir.
Le mouvement des Gilets jaunes, qui avait espéré renverser la table en faisant trembler Macron, a été laminé par la violence des Black Blocs et les voyous des cités.
Le mouvement est mort.
Les plans sociaux vont s’enchaîner à grande vitesse et le fiasco ”Bridgestone” n’est qu’un petit épisode de l’hécatombe à venir.
La sphère politique est dévastée.
La droite, depuis trois ans, n’a ni leader ni programme, au point que ses rescapés rallient en masse la Macronie.
A gauche, communistes, socialistes, France STLS insoumise et Verts voudraient nous refaire le coup de la grande union de 1981.
Autant dire que c’est l’Apocalypse à l’horizon…
Les mouvements racialistes et islamistes ont pris le pouvoir un peu partout en France, permettant aux Verts de rafler la mise dans les grandes
villes.
Les minorités font la loi.
Tandis que Macron feint de dénoncer le séparatisme…, les coloniaux, les indigénistes et les islamistes sont comme des poissons dans l’eau.
Seuls les populistes, les identitaires et les patriotes sont dans le collimateur du pouvoir, des élites, et parfois de la justice.
En 2019, ce sont 177 000 demandeurs d’asile qui ont frappé à
la porte de la France, pays du tout gratuit, paradis des migrants
économiques et des sans-papiers. Un record.
Mais les expulsions, déjà rarissimes, sont en chute libre.
Un clandestin est protégé comme un VIP par un filet juridique démentiel, qui le met à l’abri pour des années, voire à vie.
Les policiers, qu’on peut traiter de “*****” en toute impunité dès
qu’ils font leur travail de maintien de l’ordre, contrôlent systématiquement
les clandestins en pure perte.
Plus de 110 000 contrôles sont effectués chaque année, mais la justice ne suit pas.
En France, un squatteur n’a besoin que d’un ticket de pizza pour prouver qu’il est chez lui depuis 48h.
Mais le propriétaire des lieux depuis 30 ans doit prouver son identité
et fournir un acte de propriété.
Moyennant quoi, selon le bon vouloir du juge et du préfet, il pourra récupérer son bien dans les deux ans, le plus souvent saccagé.
Et si le propriétaire se réinstalle chez lui de force, il y a violation de domicile puisque le squatteur est chez lui selon la loi.
Et dans ce cas, les peines de prison et d’amende encourues sont le double decelles du squatteur ! C’est cela la France de 2022 ! Le monde à l'envers !!!
Voilà des décennies que les gouvernements, de droite comme de gauche,refusent de changer la loi, pour ne pas déplaire aux associations et aux anticapitalistes de tout poil. Cette loi ne changera que quand des élus et autres nantis du système se feront squatter leur résidence secondaire.
Et avec le tsunami migratoire, cela ne va pas tarder.
En France, on baisse la retraite des Français, mais on accorde 880 € à tout
étranger de 65 ans qui n’a jamais travaillé ni cotisé dans notre pays.
Des millions de Français ne perçoivent pas cette somme, si, avec leur conjoint, ils dépassent 1 400 € par mois.
Bien des femmes d’artisan, qui ont aidé leur mari, n’ont droit à rien, si celui-ci dépasse ce seuil de 1 400 € pour un couple.
Cela s’appelle la justice sociale…
En France, 140 000 SDF logent sous les ponts, mais 25 000 clandestins sont logés à
l’hôtel chaque soir.
Le droit au logement, c’est à la gueule du client.
En France, on peut organiser des événements interdits aux Blancs.
Toutes les élites détournent aussitôt le regard pour ne rien voir.
Mais ces mêmes élites s’abattent en meute sur le pauvre pâtissier
qui appelle son gâteau “tête de ************”, comme le faisait son père ou son
grand-père, bien avant la toute-puissance du terrorisme intellectuel.
Ni la droite, ni la gauche n’ont voulu protéger le peuple français.
La préférence étrangère est systématique.
Il semblerait néanmoins que les citoyens ouvrent les yeux sur l’ampleur du désastre national.
Selon un sondage paru dans Le Monde mardi :
- 8 % des Français pensent que leur pays est sur le déclin.
- 60 % jugent la mondialisation dangereuse.
- 82 % réclament un vrai chef pour remettre de l’ordre.
- 55 % sont pour le rétablissement de la peine de mort.
Nous assistons, comme le dit Yvan Rioufol, à l’effondrement
d’un système qui ne maîtrise plus rien :
- ni la sécurité,
- ni l’autorité,
- ni l’immigration,
- ni le roman national,
- ni les lois essentielles,
- ni la monnaie”.
-ni la justice,
L’édifice vermoulu de la Ve République s’écroule.
Seules les redistributions sociales massives, financées par l’emprunt, retardent l’effondrement final.
Macron nous mène au chaos généralisé, car il refuse d’admettre que
les peuples ont une identité propre, une Histoire qui leur appartient et des
traditions qui ne sont pas celles des autres peuples.
Le multiculturalisme conduit notre France millénaire tout droit en
Enfer.
Ils sont une poignée à batailler pour défendre la France que nous ont léguée nos ancêtres.
Mais qui les écoute ?
La torpeur du peuple n’a que trop duré... !
"Se réveiller, ou mourir" ! Il n’y a pas d’autre issue possible ou n'est-ce pas déjà trop tard !
"Se réveiller, ou mourir" !
C’est par ces deux mots qu’ Yvan Rioufol conclut sa chronique hebdomadaire dans le Figaro.
Et de son côté, Édouard Philippe annonce des lendemains douloureux, au pays des Bisounours et des inconscients : “Je pense que nous allons affronter une tempête – une tempête économique, une tempête sanitaire, une tempête à tous égards – et peut-être une tempête sociale, peut-être une tempête politique.
Et je pense que les temps qui viennent sont des temps difficiles”.
Il aurait pu ajouter une tempête identitaire et confessionnelle, tant le chaos racial et l’arrogance islamiste ont pris possession du pays.
Qu’on apprécie ou pas l’ex-hôte de Matignon, celui-ci a le mérite de parler vrai, même s’il n’ose mentionner l’immigration comme cause majeure de ruine, de violence et de désordre. “Une tempête à tous égards”… l’ex-Premier ministre ne croit pas si bien dire.
Et il est vrai que tout s’effondre, et pas seulement l’économie, ravagée par la pandémie du Covid-19 et par une immigration de masse, qui coûte plus cher en social que sa contribution au PIB.
La France cigale, qui danse inconsciemment depuis la fin des Trente Glorieuses et a cru pourvoir partager ses richesses et son fabuleux social avec toute la planète, est au bord de la faillite et du chaos social et racial.
Le peuple va payer au centuple les décennies de trahison de ses élus, mais également son incroyable aveuglement.
Car si les élus ont pu détruire le pays en une seule génération avec autant de facilité, c’est grâce à l’appui constant des électeurs lors de chaque scrutin.
A chaque sondage les Français se montrent lucides sur les maux du pays, mais à chaque élection ils persistent à mal voter, c’est-à-dire à reconduire ceux qui coulent la nation depuis si longtemps.
Les fossoyeurs de la France n’ont jamais volé leur mandat.
Ils ont toujours été élus.
Dans notre France de 2022, tout part en vrille et il n’y a aucun pilote capable d’en sortir.
Le mouvement des Gilets jaunes, qui avait espéré renverser la table en faisant trembler Macron, a été laminé par la violence des Black Blocs et les voyous des cités.
Le mouvement est mort.
Les plans sociaux vont s’enchaîner à grande vitesse et le fiasco ”Bridgestone” n’est qu’un petit épisode de l’hécatombe à venir.
La sphère politique est dévastée.
La droite, depuis trois ans, n’a ni leader ni programme, au point que ses rescapés rallient en masse la Macronie.
A gauche, communistes, socialistes, France STLS insoumise et Verts voudraient nous refaire le coup de la grande union de 1981.
Autant dire que c’est l’Apocalypse à l’horizon…
Les mouvements racialistes et islamistes ont pris le pouvoir un peu partout en France, permettant aux Verts de rafler la mise dans les grandes
villes.
Les minorités font la loi.
Tandis que Macron feint de dénoncer le séparatisme…, les coloniaux, les indigénistes et les islamistes sont comme des poissons dans l’eau.
Seuls les populistes, les identitaires et les patriotes sont dans le collimateur du pouvoir, des élites, et parfois de la justice.
En 2019, ce sont 177 000 demandeurs d’asile qui ont frappé à
la porte de la France, pays du tout gratuit, paradis des migrants
économiques et des sans-papiers. Un record.
Mais les expulsions, déjà rarissimes, sont en chute libre.
Un clandestin est protégé comme un VIP par un filet juridique démentiel, qui le met à l’abri pour des années, voire à vie.
Les policiers, qu’on peut traiter de “nazis” en toute impunité dès
qu’ils font leur travail de maintien de l’ordre, contrôlent systématiquement
les clandestins en pure perte.
Plus de 110 000 contrôles sont effectués chaque année, mais la justice ne suit pas.
En France, un squatteur n’a besoin que d’un ticket de pizza pour prouver qu’il est chez lui depuis 48h.
Mais le propriétaire des lieux depuis 30 ans doit prouver son identité
et fournir un acte de propriété.
Moyennant quoi, selon le bon vouloir du juge et du préfet, il pourra récupérer son bien dans les deux ans, le plus souvent saccagé.
Et si le propriétaire se réinstalle chez lui de force, il y a violation de domicile puisque le squatteur est chez lui selon la loi.
Et dans ce cas, les peines de prison et d’amende encourues sont le double decelles du squatteur ! C’est cela la France de 2022 ! Le monde à l'envers !!!
Voilà des décennies que les gouvernements, de droite comme de gauche,refusent de changer la loi, pour ne pas déplaire aux associations et aux anticapitalistes de tout poil. Cette loi ne changera que quand des élus et autres nantis du système se feront squatter leur résidence secondaire.
Et avec le tsunami migratoire, cela ne va pas tarder.
En France, on baisse la retraite des Français, mais on accorde 880 € à tout
étranger de 65 ans qui n’a jamais travaillé ni cotisé dans notre pays.
Des millions de Français ne perçoivent pas cette somme, si, avec leur conjoint, ils dépassent 1 400 € par mois.
Bien des femmes d’artisan, qui ont aidé leur mari, n’ont droit à rien, si celui-ci dépasse ce seuil de 1 400 € pour un couple.
Cela s’appelle la justice sociale…
En France, 140 000 SDF logent sous les ponts, mais 25 000 clandestins sont logés à
l’hôtel chaque soir.
Le droit au logement, c’est à la gueule du client.
En France, on peut organiser des événements interdits aux Blancs.
Toutes les élites détournent aussitôt le regard pour ne rien voir.
Mais ces mêmes élites s’abattent en meute sur le pauvre pâtissier
qui appelle son gâteau “tête de nègre”, comme le faisait son père ou son
grand-père, bien avant la toute-puissance du terrorisme intellectuel.
Ni la droite, ni la gauche n’ont voulu protéger le peuple français.
La préférence étrangère est systématique.
Il semblerait néanmoins que les citoyens ouvrent les yeux sur l’ampleur du désastre national.
Selon un sondage paru dans Le Monde mardi :
- 8 % des Français pensent que leur pays est sur le déclin.
- 60 % jugent la mondialisation dangereuse.
- 82 % réclament un vrai chef pour remettre de l’ordre.
- 55 % sont pour le rétablissement de la peine de mort.
Nous assistons, comme le dit Yvan Rioufol, à l’effondrement
d’un système qui ne maîtrise plus rien :
- ni la sécurité,
- ni l’autorité,
- ni l’immigration,
- ni le roman national,
- ni les lois essentielles,
- ni la monnaie”.
-ni la justice,
L’édifice vermoulu de la Ve République s’écroule.
Seules les redistributions sociales massives, financées par l’emprunt, retardent l’effondrement final.
Macron nous mène au chaos généralisé, car il refuse d’admettre que
les peuples ont une identité propre, une Histoire qui leur appartient et des
traditions qui ne sont pas celles des autres peuples.
Le multiculturalisme conduit notre France millénaire tout droit en
Enfer.
Ils sont une poignée à batailler pour défendre la France que nous ont léguée nos ancêtres.
Mais qui les écoute ?
La torpeur du peuple n’a que trop duré... !
"Se réveiller, ou mourir" ! Il n’y a pas d’autre issue possible ou n'est-ce pas déjà trop tard !
·31K Views
·0 Vista previa