• Attentat en Russie : plus de 60 personnes tuées et 145 blessées dans une salle de concert de Moscou.

    Plus de 60 personnes sont mortes et 145 ont été blessées dans l'attaque par des hommes armés d'une salle de concert dans la banlieue de Moscou. Les images qui vont suivre peuvent être choquantes. L'incident s'est produit vendredi au Crocus City Hall à Krasnogorsk, une banlieue à l'ouest de Moscou. Au moins cinq hommes armés vêtus d'"uniformes tactiques" sont entrés dans la salle et ont commencé à tirer sur les civils avant un concert du groupe de rock Picnic. Selon un journaliste de l'agence de presse RIA, les assaillants ont lancé une "grenade" ou une "bombe incendiaire", mettant le feu à la salle de concert. Le groupe État islamique a revendiqué l'attentat. La plus grande société de médias de Russie, VGTRK, estime cependant que l'affirmation de l'organisation islamiste selon laquelle elle est à l'origine de l'attaque pourrait être fausse. Les autorités russes affirment que les assaillants sont recherchés et qu'une enquête pour "terrorisme" a été ouverte. Il s'agit de l'une des pires attaques en Russie depuis des décennies.
    L'agence de presse TASS rapporte que le président Vladimir Poutine souhaite un prompt rétablissement aux blessé
    Attentat en Russie : plus de 60 personnes tuées et 145 blessées dans une salle de concert de Moscou. Plus de 60 personnes sont mortes et 145 ont été blessées dans l'attaque par des hommes armés d'une salle de concert dans la banlieue de Moscou. Les images qui vont suivre peuvent être choquantes. L'incident s'est produit vendredi au Crocus City Hall à Krasnogorsk, une banlieue à l'ouest de Moscou. Au moins cinq hommes armés vêtus d'"uniformes tactiques" sont entrés dans la salle et ont commencé à tirer sur les civils avant un concert du groupe de rock Picnic. Selon un journaliste de l'agence de presse RIA, les assaillants ont lancé une "grenade" ou une "bombe incendiaire", mettant le feu à la salle de concert. Le groupe État islamique a revendiqué l'attentat. La plus grande société de médias de Russie, VGTRK, estime cependant que l'affirmation de l'organisation islamiste selon laquelle elle est à l'origine de l'attaque pourrait être fausse. Les autorités russes affirment que les assaillants sont recherchés et qu'une enquête pour "terrorisme" a été ouverte. Il s'agit de l'une des pires attaques en Russie depuis des décennies. L'agence de presse TASS rapporte que le président Vladimir Poutine souhaite un prompt rétablissement aux blessé
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  • _* SENTENCE de la COUR SUPRÊME DES ÉTATS-UNIS : 《LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS》*_

    _Presque personne n'a réalisé que ROBERT F. KENNEDY Jr. avait gagné le procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques._

    _*LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS.*_

    Dans son arrêt, la COUR SUPRÊME confirme que *LES DOMMAGES CAUSÉS PAR LES THÉRAPIES GÉNIQUES AVEC L'ARNm du Covid SONT IRRÉPARABLES*.

    Étant donné que la Cour suprême est la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus de place pour d'autres appels et les possibilités d'appel ont été épuisées.

    *ROBERT F. KENNEDY* a souligné dans une première déclaration qu'il s'agissait d'un succès qui n'avait été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre de juristes et de scientifiques.

    Bien sûr, cette décision ouvre quelque chose au niveau international, en particulier ici en SUISSE, cette décision devrait faire des vagues, car la Suisse a une position particulière ici avec sa Constitution fédérale.

    D'une part, le *CODE DE NUREMBERG* est dans la Constitution avec l'article 118b, et l'*ABUS DU GÉNIE GÉNÉTIQUE CHEZ L'HOMME EST INTERDIT EN SUISSE*, selon l'article 119 de la Constitution fédérale.

    Celui-ci est complété par l'article 230 bis du Code pénal... Les auteurs encourent ainsi des peines pouvant aller jusqu'à 10 ans de prison.

    Cependant, cette décision devrait également inciter le reste du monde à s'asseoir et à prendre note, car * LE CODE DE NUREMBERG A UNE VALIDITÉ INTERNATIONALE * et est également inclus dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

    Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale de la THALIDOMIDE pour donner un poids particulier à l'importance de cette accusation.

    Vous devez également savoir que l'AVOCAT ALLEMAND Dr. RAINER FÜLLMICH et plus de 100 AVOCATS ALLEMANDS ont participé à ces essais.

    https://www.foxnews.com/us/new-york-supreme-court-reinstates-all-employees-fired-being-unvaccinated-orders-backpay

    Aucun média n'en parle, ni en Suisse ni en Europe.

    Malheureusement, cela prend du temps avant que cela ne se reproduise.

    Transmettez donc la décision à votre famille, vos amis et vos connaissances.

    _*Un séisme de POLITIQUE SANITAIRE.*_

    *janvier 2023*

    _*L'OMS déclare soudainement la fin imminente de l'urgence pandémique mondiale.*_

    _*Le gouvernement allemand met fin au financement des centres de vaccination Corona.*_

    _*Les critiques de la vaccination, comme le virologue Drosten, se taisent soudainement.*_

    Le directeur de l'Institut Robert Koch, Wieler, démissionne brusquement.

    Tout cela, bien sûr, n'est pas un hasard.

    Le *1er janvier 2023*, un article alarmant est paru dans le *Wall Street Journal*, faisant référence à une étude parue dans le célèbre *NATURE SCIENTIFIC MAGAZINE* le 19 décembre 2022.

    Le message central :

    *《LES VACCINS À ARN FAVORISENT UNE EXPLOSION DES MUTATIONS DU CORONAVIRUS CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES.》*

    Donc le chat est sorti du sac :

    *《COVID est devenu une pandémie de vaccinés》*
    UNE « BOMBE À RETARDEMENT BIOLOGIQUE » est en train de tourner dans des millions de personnes vaccinées : un Eldorado pour les futurs marchés de l'industrie pharmaceutique, un Waterloo pour tous ces politiciens qui ont imposé à des millions de personnes les slogans infondés de vaccination de cette industrie.

    _*La parution de cet article dans le Wall Street Journal, le journal économique le plus important au monde, n'est pas non plus un hasard.*_

    _* Cela s'est produit à peine deux semaines après que le même journal a eu le courage de publier la seule alternative scientifiquement prouvée - et sans effets secondaires - au crime flagrant de vaccination de l'industrie pharmaceutique : un mélange breveté de micronutriments naturels, développé dans le Dr. Institut de recherche Rath.*_

    _*Les conséquences politiques de cette évolution ne sont pas encore du tout prévisibles.*_

    _*Les virages publics et les démissions des principaux protagonistes du show de la vaccination sont évidemment une tentative désespérée d'échapper à la responsabilité légale de cette catastrophe. Nürumberg 2 (déjà en cours), doit être le macro-essai pour tous les responsables de la santé et les politiciens du monde entier *_
    _* SENTENCE de la COUR SUPRÊME DES ÉTATS-UNIS : 《LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS》*_ _Presque personne n'a réalisé que ROBERT F. KENNEDY Jr. avait gagné le procès contre tous les lobbyistes pharmaceutiques._ _*LES VACCINS COVID NE SONT PAS DES VACCINS.*_ Dans son arrêt, la COUR SUPRÊME confirme que *LES DOMMAGES CAUSÉS PAR LES THÉRAPIES GÉNIQUES AVEC L'ARNm du Covid SONT IRRÉPARABLES*. Étant donné que la Cour suprême est la plus haute juridiction des États-Unis, il n'y a plus de place pour d'autres appels et les possibilités d'appel ont été épuisées. *ROBERT F. KENNEDY* a souligné dans une première déclaration qu'il s'agissait d'un succès qui n'avait été possible que grâce à la coopération internationale d'un grand nombre de juristes et de scientifiques. Bien sûr, cette décision ouvre quelque chose au niveau international, en particulier ici en SUISSE, cette décision devrait faire des vagues, car la Suisse a une position particulière ici avec sa Constitution fédérale. D'une part, le *CODE DE NUREMBERG* est dans la Constitution avec l'article 118b, et l'*ABUS DU GÉNIE GÉNÉTIQUE CHEZ L'HOMME EST INTERDIT EN SUISSE*, selon l'article 119 de la Constitution fédérale. Celui-ci est complété par l'article 230 bis du Code pénal... Les auteurs encourent ainsi des peines pouvant aller jusqu'à 10 ans de prison. Cependant, cette décision devrait également inciter le reste du monde à s'asseoir et à prendre note, car * LE CODE DE NUREMBERG A UNE VALIDITÉ INTERNATIONALE * et est également inclus dans l'article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Dans le cas d'accusations criminelles, la déclaration devrait faire référence au scandale de la THALIDOMIDE pour donner un poids particulier à l'importance de cette accusation. Vous devez également savoir que l'AVOCAT ALLEMAND Dr. RAINER FÜLLMICH et plus de 100 AVOCATS ALLEMANDS ont participé à ces essais. https://www.foxnews.com/us/new-york-supreme-court-reinstates-all-employees-fired-being-unvaccinated-orders-backpay Aucun média n'en parle, ni en Suisse ni en Europe. Malheureusement, cela prend du temps avant que cela ne se reproduise. Transmettez donc la décision à votre famille, vos amis et vos connaissances. _*Un séisme de POLITIQUE SANITAIRE.*_ *janvier 2023* _*L'OMS déclare soudainement la fin imminente de l'urgence pandémique mondiale.*_ _*Le gouvernement allemand met fin au financement des centres de vaccination Corona.*_ _*Les critiques de la vaccination, comme le virologue Drosten, se taisent soudainement.*_ Le directeur de l'Institut Robert Koch, Wieler, démissionne brusquement. Tout cela, bien sûr, n'est pas un hasard. Le *1er janvier 2023*, un article alarmant est paru dans le *Wall Street Journal*, faisant référence à une étude parue dans le célèbre *NATURE SCIENTIFIC MAGAZINE* le 19 décembre 2022. Le message central : *《LES VACCINS À ARN FAVORISENT UNE EXPLOSION DES MUTATIONS DU CORONAVIRUS CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES.》* Donc le chat est sorti du sac : *《COVID est devenu une pandémie de vaccinés》* UNE « BOMBE À RETARDEMENT BIOLOGIQUE » est en train de tourner dans des millions de personnes vaccinées : un Eldorado pour les futurs marchés de l'industrie pharmaceutique, un Waterloo pour tous ces politiciens qui ont imposé à des millions de personnes les slogans infondés de vaccination de cette industrie. _*La parution de cet article dans le Wall Street Journal, le journal économique le plus important au monde, n'est pas non plus un hasard.*_ _* Cela s'est produit à peine deux semaines après que le même journal a eu le courage de publier la seule alternative scientifiquement prouvée - et sans effets secondaires - au crime flagrant de vaccination de l'industrie pharmaceutique : un mélange breveté de micronutriments naturels, développé dans le Dr. Institut de recherche Rath.*_ _*Les conséquences politiques de cette évolution ne sont pas encore du tout prévisibles.*_ _*Les virages publics et les démissions des principaux protagonistes du show de la vaccination sont évidemment une tentative désespérée d'échapper à la responsabilité légale de cette catastrophe. Nürumberg 2 (déjà en cours), doit être le macro-essai pour tous les responsables de la santé et les politiciens du monde entier *_
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    New York Supreme Court reinstates all employees fired for being unvaccinated, orders backpay
    The New York state Supreme Court reinstated all state employees fired for being unvaccinated during the pandemic Monday, saying the government violated their rights.
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  • Comprendre la guerre en Ukraine.

    La guerre en Ukraine est un conflit complexe qui a débuté en 2014, lorsque des manifestations pro-russe ont éclaté dans la région de Crimée et que la Crimée a été annexée par la Russie. Les tensions se sont ensuite intensifiées dans le Donbass, où des séparatistes pro-russes ont proclamé l'indépendance de la région. Depuis lors, il y a eu des combats réguliers et des négociations ont eu lieu pour tenter de résoudre le conflit. Les conséquences de ce conflit ont été lourdes pour les civils et les nombreux morts, des millions de déplacés, et des destructions de bâtiments et d'infrastructures.

    Il est important de noter que les opinions sur ce conflit varient et il y a des différentes perspectives sur les causes et les responsabilités. Il est important de se tenir informé des points de vue différents et de s'informer avec des sources fiables pour comprendre les enjeux de ce conflit.
    Il est important de noter que la situation en Ukraine est complexe et en constante évolution, et il est important de se tenir informé des dernières nouvelles et des perspectives différentes pour comprendre les enjeux de ce conflit.

    Il est important de souligner que le conflit en Ukraine a des conséquences importantes pour la région et pour la communauté internationale. Les négociations et les accords internationaux sont en cours pour tenter de résoudre le conflit de manière pacifique, mais malheureusement la situation reste instable et des violences continuent à être signalées.

    Il est important de souligner que les conflits ont des conséquences graves sur les civils et cela est tragique pour toutes les personnes touchées par la guerre. Il est important de continuer à soutenir les efforts pour trouver une solution pacifique à ce conflit et pour aider les personnes affectées.
    Comprendre la guerre en Ukraine. La guerre en Ukraine est un conflit complexe qui a débuté en 2014, lorsque des manifestations pro-russe ont éclaté dans la région de Crimée et que la Crimée a été annexée par la Russie. Les tensions se sont ensuite intensifiées dans le Donbass, où des séparatistes pro-russes ont proclamé l'indépendance de la région. Depuis lors, il y a eu des combats réguliers et des négociations ont eu lieu pour tenter de résoudre le conflit. Les conséquences de ce conflit ont été lourdes pour les civils et les nombreux morts, des millions de déplacés, et des destructions de bâtiments et d'infrastructures. Il est important de noter que les opinions sur ce conflit varient et il y a des différentes perspectives sur les causes et les responsabilités. Il est important de se tenir informé des points de vue différents et de s'informer avec des sources fiables pour comprendre les enjeux de ce conflit. Il est important de noter que la situation en Ukraine est complexe et en constante évolution, et il est important de se tenir informé des dernières nouvelles et des perspectives différentes pour comprendre les enjeux de ce conflit. Il est important de souligner que le conflit en Ukraine a des conséquences importantes pour la région et pour la communauté internationale. Les négociations et les accords internationaux sont en cours pour tenter de résoudre le conflit de manière pacifique, mais malheureusement la situation reste instable et des violences continuent à être signalées. Il est important de souligner que les conflits ont des conséquences graves sur les civils et cela est tragique pour toutes les personnes touchées par la guerre. Il est important de continuer à soutenir les efforts pour trouver une solution pacifique à ce conflit et pour aider les personnes affectées.
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  • Si le Pentagone ne peut pas confirmer les contes de Bucha, qui le peut ?
    C'était la plus importante des nouvelles d'hier.


    plus gros
    Le Pentagone ne peut pas confirmer de manière indépendante les atrocités commises à Bucha en Ukraine, selon un responsable

    WASHINGTON, 4 avril (Reuters) - L'armée américaine n'est pas en mesure de confirmer de manière indépendante les récits ukrainiens d'atrocités commises par les forces russes contre des civils dans la ville de Bucha, ...
    ...
    "Le Pentagone ne peut pas, de manière indépendante et à lui seul, le confirmer, mais nous ne sommes pas non plus en mesure de réfuter ces affirmations."
    Si le Pentagone, qui comprend la Defense Intelligence Agency et la National Security Agency, n'a pas pu confirmer ce que le gouvernement de Kiev a affirmé, qui d'autre pourrait le faire ?

    Certainement pas les sbires européens qui ont réagi à ces affirmations douteuses en retirant davantage de personnel des ambassades russes de leur pays.

    Les États-Unis poussent à nouveau les Européens à suicider leurs économies. Les États-Unis seraient bien sûr le seul pays à en tirer profit.

    C'est fini. L'Ukraine a perdu la guerre. Sa marine, ses forces aériennes et son industrie de la défense n'existent plus. L'armée de l'air russe effectue des centaines de bombardements par nuit, éliminant tout dépôt de carburant et de munitions qui reste en Ukraine.

    Sans les réservoirs de carburant et les camions sont immobilisés. Sans munitions, l'artillerie se tait. Les unités ukrainiennes lourdes le long du Donbass sont désormais incapables de mener une guerre de manœuvre. Ils ne peuvent même pas fuir. Le réapprovisionnement et les réserves ne parviennent pas à les atteindre. Ils ont le choix d'abandonner ou d'être détruits sur place.

    Quiconque pousse encore plus d'armes en Ukraine ou dit à Kiev de prolonger la guerre met davantage de vies ukrainiennes en danger pour un gain potentiel nul.

    C'est criminel.
    Si le Pentagone ne peut pas confirmer les contes de Bucha, qui le peut ? C'était la plus importante des nouvelles d'hier. plus gros Le Pentagone ne peut pas confirmer de manière indépendante les atrocités commises à Bucha en Ukraine, selon un responsable WASHINGTON, 4 avril (Reuters) - L'armée américaine n'est pas en mesure de confirmer de manière indépendante les récits ukrainiens d'atrocités commises par les forces russes contre des civils dans la ville de Bucha, ... ... "Le Pentagone ne peut pas, de manière indépendante et à lui seul, le confirmer, mais nous ne sommes pas non plus en mesure de réfuter ces affirmations." Si le Pentagone, qui comprend la Defense Intelligence Agency et la National Security Agency, n'a pas pu confirmer ce que le gouvernement de Kiev a affirmé, qui d'autre pourrait le faire ? Certainement pas les sbires européens qui ont réagi à ces affirmations douteuses en retirant davantage de personnel des ambassades russes de leur pays. Les États-Unis poussent à nouveau les Européens à suicider leurs économies. Les États-Unis seraient bien sûr le seul pays à en tirer profit. C'est fini. L'Ukraine a perdu la guerre. Sa marine, ses forces aériennes et son industrie de la défense n'existent plus. L'armée de l'air russe effectue des centaines de bombardements par nuit, éliminant tout dépôt de carburant et de munitions qui reste en Ukraine. Sans les réservoirs de carburant et les camions sont immobilisés. Sans munitions, l'artillerie se tait. Les unités ukrainiennes lourdes le long du Donbass sont désormais incapables de mener une guerre de manœuvre. Ils ne peuvent même pas fuir. Le réapprovisionnement et les réserves ne parviennent pas à les atteindre. Ils ont le choix d'abandonner ou d'être détruits sur place. Quiconque pousse encore plus d'armes en Ukraine ou dit à Kiev de prolonger la guerre met davantage de vies ukrainiennes en danger pour un gain potentiel nul. C'est criminel.
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  • Rapport Condon

    Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force.

    Travaux:

    Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ».

    Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre

    Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type.

    Le contexte:

    Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain.

    Les principaux résultats de l’équipe Condon

    Analyse de la photo de McMinnville:

    Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.»

    Une étude chahutée

    La réaction négative des partisans des ovnis:

    Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond.

    Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport.

    Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ».

    La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain:

    Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire.

    James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête.

    Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes.

    Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles.

    Source: Wikipedia
    Rapport Condon Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force. Travaux: Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ». Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type. Le contexte: Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain. Les principaux résultats de l’équipe Condon Analyse de la photo de McMinnville: Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.» Une étude chahutée La réaction négative des partisans des ovnis: Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond. Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport. Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ». La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain: Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire. James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête. Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes. Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles. Source: Wikipedia
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  • Projet Blue Book
    Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969.

    Historique:

    Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens.

    C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au **** du projet Blue Book.

    Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955.

    Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970.

    Champs d’étude et objectifs:

    Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book :

    – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis.
    – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis.
    – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter.

    À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques.
    Faits et chiffres:

    – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique.
    – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955.
    – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins.
    – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins.

    Conclusions:

    Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle.

    Source: Wikipédia
    Projet Blue Book Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969. Historique: Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens. C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book. Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955. Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970. Champs d’étude et objectifs: Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book : – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis. – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis. – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques. Faits et chiffres: – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique. – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955. – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins. – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins. Conclusions: Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle. Source: Wikipédia
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