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  • The report "Cervical Cancer Treatment Market By Cancer Type (Squamous Cell Carcinomas, Adenocarcinomas, Adenosquamous Carcinomas, Others) By Treatment (Surgery, Radiation Therapy, Chemotherapy, Targeted Therapy, Hormone Therapy, Others) By End User (Cancer Care Centers, Diagnostic Centers, Pharmacies, Others) - Global Forecasts to 2030"

    The global cervical cancer treatment market is projected to reach USD 6,490.9 million in 2023, registering at a Compound Annual Growth Rate (CAGR) of 5.2% during the forecast period 2024-2030. The growth of the market is majorly driven by the growing prevalence of cervical cancer and increasing awareness regarding early diagnosis

    Request sample report at https://www.precisionbusinessinsights.com/request-sample/?product_id=23732

    Competitive Dashboard:
    The prominent key players operating in the global cervical cancer treatment market are Alnylam Pharmaceuticals, Inc (U.S.), AbbVie Inc. (U.S.), Biocon (India), Bayer AG (Germany),CLOVIS ONCOLOGY (U.S.), Genentech, Inc (U.S.), Hetero (India)Johnson & Johnson Private Limited (U.S.), Mylan N.V. (U.S.), Sun Pharmaceutical Industries Limited(Mumbai), Sanofi S.A.( France), Lilly (U.S.), Merck & Co., Inc. (U.S.), GSK plc (U.K.), Novartis AG (Switzerland), Vivesto AB (Sweden)

    Regional Overview:
    The report also examines the current concerns and their Future Effects on the Cervical Cancer Treatment Market by the region. The report covers all regions and countries, North America was the largest and Asia was the fastest-growing region in the Cervical Cancer Treatment Market. The market has been segmented into numerous primary regions and a detailed evaluation of primary countries.



    The report "Cervical Cancer Treatment Market By Cancer Type (Squamous Cell Carcinomas, Adenocarcinomas, Adenosquamous Carcinomas, Others) By Treatment (Surgery, Radiation Therapy, Chemotherapy, Targeted Therapy, Hormone Therapy, Others) By End User (Cancer Care Centers, Diagnostic Centers, Pharmacies, Others) - Global Forecasts to 2030" The global cervical cancer treatment market is projected to reach USD 6,490.9 million in 2023, registering at a Compound Annual Growth Rate (CAGR) of 5.2% during the forecast period 2024-2030. The growth of the market is majorly driven by the growing prevalence of cervical cancer and increasing awareness regarding early diagnosis Request sample report at https://www.precisionbusinessinsights.com/request-sample/?product_id=23732 Competitive Dashboard: The prominent key players operating in the global cervical cancer treatment market are Alnylam Pharmaceuticals, Inc (U.S.), AbbVie Inc. (U.S.), Biocon (India), Bayer AG (Germany),CLOVIS ONCOLOGY (U.S.), Genentech, Inc (U.S.), Hetero (India)Johnson & Johnson Private Limited (U.S.), Mylan N.V. (U.S.), Sun Pharmaceutical Industries Limited(Mumbai), Sanofi S.A.( France), Lilly (U.S.), Merck & Co., Inc. (U.S.), GSK plc (U.K.), Novartis AG (Switzerland), Vivesto AB (Sweden) Regional Overview: The report also examines the current concerns and their Future Effects on the Cervical Cancer Treatment Market by the region. The report covers all regions and countries, North America was the largest and Asia was the fastest-growing region in the Cervical Cancer Treatment Market. The market has been segmented into numerous primary regions and a detailed evaluation of primary countries.
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  • La femme sur la photo avec un policier est Helen Johnson de Tarrant, en Alabama. Elle a été surprise en train de voler dans un Dollar General voisin et la police a été appelée pour l'arrêter. La surprise de tous, c'est lorsque le policier est arrivé sur les lieux et lui a demandé ce qu'elle avait volé, elle a répondu : "Cinq œufs pour nourrir mes enfants affamés". Le policier l'a ramenée au supermarché et lui a acheté des produits pour se nourrir et nourrir ses enfants. Mlle Helena s'est mise à pleurer et a demandé au policier : "Monsieur, c'est trop pour vous que vous ayez fait pour moi...". Le policier a répondu : "Parfois, nous ne devrions pas appliquer la loi mais nous devons appliquer l'humanité !". ❤

    Crédit à : Carol Robinson.
    La femme sur la photo avec un policier est Helen Johnson de Tarrant, en Alabama. Elle a été surprise en train de voler dans un Dollar General voisin et la police a été appelée pour l'arrêter. La surprise de tous, c'est lorsque le policier est arrivé sur les lieux et lui a demandé ce qu'elle avait volé, elle a répondu : "Cinq œufs pour nourrir mes enfants affamés". Le policier l'a ramenée au supermarché et lui a acheté des produits pour se nourrir et nourrir ses enfants. Mlle Helena s'est mise à pleurer et a demandé au policier : "Monsieur, c'est trop pour vous que vous ayez fait pour moi...". Le policier a répondu : "Parfois, nous ne devrions pas appliquer la loi mais nous devons appliquer l'humanité !". ❤ Crédit à : Carol Robinson.
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  • LA LEVÉE DU DROIT DE TUER

    DE L AMIANTE DANS DU TALC POUR BÉBÉS !

    Empoisonner est devenu un droit pour les multinationales qu elles négocient à coups de milliards.

    Quand serons dissoutes ces structures de la mort par maladies ?

    Le combat continue.

    Abaris pour La Levée Des Voiles

    https://www.rtbf.be/article/du-talc-qui-aurait-provoque-des-cancers-johnson-johnson-propose-89-milliards-de-dollars-pour-mettre-fin-aux-poursuites-11178511
    LA LEVÉE DU DROIT DE TUER DE L AMIANTE DANS DU TALC POUR BÉBÉS ! Empoisonner est devenu un droit pour les multinationales qu elles négocient à coups de milliards. Quand serons dissoutes ces structures de la mort par maladies ? Le combat continue. Abaris pour La Levée Des Voiles https://www.rtbf.be/article/du-talc-qui-aurait-provoque-des-cancers-johnson-johnson-propose-89-milliards-de-dollars-pour-mettre-fin-aux-poursuites-11178511
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  • COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe »
    Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination.
    Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle.
    « La France n’a pas produit de vaccin »
    Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement.
    Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment »
    Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos.
    À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions »
    Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte.
    « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire »
    En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ? COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe » Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination. Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle. « La France n’a pas produit de vaccin » Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement. Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment » Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos. À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur. « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions » Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte. « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire » En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
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  • L’autopsie montre qu’une femme aux États-Unis est morte du vaccin Covid.

    Selon les Centers for Disease Control, l’anaphylaxie après une vaccination contre le COVID-19 est rare et survient chez environnement 5 personnes pour 1 million de personnes vaccinées aux États-Unis. Pourtant, une femme du Kansas, Jeanie Evans, est décédée tragiquement d’une réaction allergique au vaccin COVID.

    Selon le rapport d’autopsie, Jeanie Evans a succombé à « l’anaphylaxie en raison du vaccin contre la COVID-19 ».

    Le citoyen d’Effingham est décédé le 24 mars 2021, un jour après avoir reçu le vaccin Moderna dans le comté de Jefferson.

    Le Topeka Capital-Journal a reçu les résultats du coroner du comté de Shawnee mardi sur demande en vertu de la Kansas Open Records Act.

    Evans, 68 ans, souffrait d’hypertension artérielle, d’allergies environnementales, de maladies allergiques et d’une maladie respiratoire réactive (pas d’asthme), selon le rapport d’autopsie, et avait précédemment montré une réaction anaphylactique au médicament albutérol .

    Selon le rapport, Evans a commencé à se plaindre de voies respiratoires obstruées 15 à 20 minutes après la première vaccination CONTRE LA COVID le 23 mars 2021. Evans a été transféré en ambulance à Stormont-Vail à 17h21.m., où elle est décédée le lendemain à 11h55.m.

    L’un des fils d’Evans, Colt Umphenour, a déclaré que la famille avait l’intention de poursuivre en justice.

    « Je suis défavorisé à la recherche d’un nouvel avocat pour représenter la famille », a déclaré Umphenour.

    La famille d’Evans a embauché Lynn Johnson du cabinet d’avocats Shamberg, Johnson and Bergman de Kansas City, Missouri, en avril.

    Johnson, d’autre part, a déclaré au Capital Journal mardi qu’il avait décidé de ne pas intenter d’action en justice en son nom. Il a déclaré qu’il ne pouvait rien dire de plus, car ce serait une violation du secret professionnel de l’avocat.

    Johnson avait signalé le traitement direct de l’affaire, a déclaré Umphenour, mais a conseillé à la famille de poursuivre l’affaire.

    Comme on peut le voir dans sa nécrologie, Evans était membre du conseil municipal d’Effingham et travaillait comme employé chez Main Street Food & Fuel à Effingham, à environ 35 miles au nord-est de Topeka.

    Les experts disent que l’anaphylaxie après la vaccination contre le COVID-19 est rare

    Selon le site Web de la Mayo Clinic à Rochester, Minnesota, l’anaphylaxie est une réaction allergique grave et potentiellement mortelle.

    Selon le site Web des Centers for Disease Control and Prevention, l’anaphylaxie après une vaccination contre le COVID-19 est rare et survient chez environ 5 personnes pour 1 million de personnes vaccinées aux États-Unis.

    L’autopsie d’Evans a été menée par la coroner Beth Frost de Forensic Medical Holdings of Kansas LLC, basée à Kansas City, qui assiste le coroner du comté de Shawnee, selon le rapport d’autopsie d’Evans.

    SOURCE: UNE FEMME DU KANSAS JEANIE EVANS A EU UNE RÉACTION ALLERGIQUE À UN VACCIN COVID-19 LORS D’UNE AUTOPSIE
    L’autopsie montre qu’une femme aux États-Unis est morte du vaccin Covid. Selon les Centers for Disease Control, l’anaphylaxie après une vaccination contre le COVID-19 est rare et survient chez environnement 5 personnes pour 1 million de personnes vaccinées aux États-Unis. Pourtant, une femme du Kansas, Jeanie Evans, est décédée tragiquement d’une réaction allergique au vaccin COVID. Selon le rapport d’autopsie, Jeanie Evans a succombé à « l’anaphylaxie en raison du vaccin contre la COVID-19 ». Le citoyen d’Effingham est décédé le 24 mars 2021, un jour après avoir reçu le vaccin Moderna dans le comté de Jefferson. Le Topeka Capital-Journal a reçu les résultats du coroner du comté de Shawnee mardi sur demande en vertu de la Kansas Open Records Act. Evans, 68 ans, souffrait d’hypertension artérielle, d’allergies environnementales, de maladies allergiques et d’une maladie respiratoire réactive (pas d’asthme), selon le rapport d’autopsie, et avait précédemment montré une réaction anaphylactique au médicament albutérol . Selon le rapport, Evans a commencé à se plaindre de voies respiratoires obstruées 15 à 20 minutes après la première vaccination CONTRE LA COVID le 23 mars 2021. Evans a été transféré en ambulance à Stormont-Vail à 17h21.m., où elle est décédée le lendemain à 11h55.m. L’un des fils d’Evans, Colt Umphenour, a déclaré que la famille avait l’intention de poursuivre en justice. « Je suis défavorisé à la recherche d’un nouvel avocat pour représenter la famille », a déclaré Umphenour. La famille d’Evans a embauché Lynn Johnson du cabinet d’avocats Shamberg, Johnson and Bergman de Kansas City, Missouri, en avril. Johnson, d’autre part, a déclaré au Capital Journal mardi qu’il avait décidé de ne pas intenter d’action en justice en son nom. Il a déclaré qu’il ne pouvait rien dire de plus, car ce serait une violation du secret professionnel de l’avocat. Johnson avait signalé le traitement direct de l’affaire, a déclaré Umphenour, mais a conseillé à la famille de poursuivre l’affaire. Comme on peut le voir dans sa nécrologie, Evans était membre du conseil municipal d’Effingham et travaillait comme employé chez Main Street Food & Fuel à Effingham, à environ 35 miles au nord-est de Topeka. Les experts disent que l’anaphylaxie après la vaccination contre le COVID-19 est rare Selon le site Web de la Mayo Clinic à Rochester, Minnesota, l’anaphylaxie est une réaction allergique grave et potentiellement mortelle. Selon le site Web des Centers for Disease Control and Prevention, l’anaphylaxie après une vaccination contre le COVID-19 est rare et survient chez environ 5 personnes pour 1 million de personnes vaccinées aux États-Unis. L’autopsie d’Evans a été menée par la coroner Beth Frost de Forensic Medical Holdings of Kansas LLC, basée à Kansas City, qui assiste le coroner du comté de Shawnee, selon le rapport d’autopsie d’Evans. SOURCE: UNE FEMME DU KANSAS JEANIE EVANS A EU UNE RÉACTION ALLERGIQUE À UN VACCIN COVID-19 LORS D’UNE AUTOPSIE
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  • REGARDEZ CES RESULTATS SUR LES DOSES DES LOTS DE VACCINS DISTRIBUER DANS LES DIFFERENTS PAYS DU MONDE - UN MONDE DE FOU - DES CRIMINELS... Sévérité des lots pour différents pays
    Ce site Web a attiré des contributions de chercheurs du monde entier, et l'un d'entre eux a fourni un aperçu qui nous permet de filtrer VAERS pour chaque pays étranger séparément. L'utilité de ceci est qu'elle nous permet de voir quels lots/lots causent le plus de dommages dans chaque pays - et aussi si des pays particuliers sont plus exposés aux dommages que d'autres. Dans la table non domestique de VAERS se trouve une colonne appelée SPLTTYPE. Les deux premières lettres de chaque entrée dans cette colonne désignent le pays conformément aux codes de pays à deux lettres indiqués ici - codes de pays à 2 lettres . Malheureusement, nous n'avons aucune donnée pour Astrazeneca - uniquement pour les vaccins Moderna, Pfizer et Johnson.
    Voici les résultats pour chaque pays. Dans chaque cas, je n'ai inclus que des lots générant au moins 50 rapports indésirables. La colonne NOMBRE TOTAL DE RAPPORTS est le nombre total de rapports trouvés dans le VAERS pour ce pays, et par conséquent est un échantillon représentatif pour ce pays - illustrant les proportions d'invalidité, de décès, etc.
    REGARDEZ CES RESULTATS SUR LES DOSES DES LOTS DE VACCINS DISTRIBUER DANS LES DIFFERENTS PAYS DU MONDE - UN MONDE DE FOU - DES CRIMINELS... Sévérité des lots pour différents pays Ce site Web a attiré des contributions de chercheurs du monde entier, et l'un d'entre eux a fourni un aperçu qui nous permet de filtrer VAERS pour chaque pays étranger séparément. L'utilité de ceci est qu'elle nous permet de voir quels lots/lots causent le plus de dommages dans chaque pays - et aussi si des pays particuliers sont plus exposés aux dommages que d'autres. Dans la table non domestique de VAERS se trouve une colonne appelée SPLTTYPE. Les deux premières lettres de chaque entrée dans cette colonne désignent le pays conformément aux codes de pays à deux lettres indiqués ici - codes de pays à 2 lettres . Malheureusement, nous n'avons aucune donnée pour Astrazeneca - uniquement pour les vaccins Moderna, Pfizer et Johnson. Voici les résultats pour chaque pays. Dans chaque cas, je n'ai inclus que des lots générant au moins 50 rapports indésirables. La colonne NOMBRE TOTAL DE RAPPORTS est le nombre total de rapports trouvés dans le VAERS pour ce pays, et par conséquent est un échantillon représentatif pour ce pays - illustrant les proportions d'invalidité, de décès, etc.
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