La Russie a qualifiĂ© Ă juste titre le milliard dâor de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis de raciste de bout en bout.
Câest dans la nature des choses que le Milliard dâOr divise la communautĂ© internationale en une hiĂ©rarchie rigide Ă©tablie par les Ătats-Unis, dans laquelle les vassaux dansant sur leur air se voient accorder certains « privilĂšges » (ou du moins la promesse et/ou la perception de ces privilĂšges aux yeux de leur peuple), tandis que les autres subissent des pressions impitoyables, de se soumettre Ă leurs revendications.
Le ministre russe des Affaires Ă©trangĂšres Lavrov a dĂ©noncĂ© le milliard dâor de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis dans un discours vidĂ©o samedi au cinquiĂšme Forum mondial des jeunes diplomates. Il a dĂ©clarĂ© aux futurs responsables de lâĂtat : « Nous rejetons catĂ©goriquement lâordre nĂ©ocolonial fondĂ© sur des rĂšgles imposĂ© par lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis. Cet ordre prĂ©voit une division raciste du monde en un groupe privilĂ©giĂ© de pays qui ont le droit dĂšs le dĂ©part de faire nâimporte quoi, et le reste du monde, qui est obligĂ© de suivre les traces de ce « milliard dâor » et de servir leurs intĂ©rĂȘts. CâĂ©tait la description correcte, qui sera maintenant briĂšvement discutĂ©e.
La transition systĂ©mique mondiale vers la multipolaritĂ© a produit la « Grande Bifurcation », qui divise lâordre international mondialisĂ© en trois niveaux : le systĂ©mique, lâidĂ©ologique/idĂ©ologique et le tactique. Le premier concerne la concurrence mondiale entre le golden billion de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis et le Sud dirigĂ© par les BRICS; la seconde concerne la lutte entre les mondialistes libĂ©raux unipolaires (ULG) et les souverainistes conservateurs multipolaires (MCS) ; tandis que ce dernier couvre les relations de plus en plus tendues entre lâestablishment et les populistes (dont la dynamique varie dâun pays Ă lâautre).
Dans le contexte de ce changement de paradigme Ă spectre complet, on peut mieux comprendre la sagesse derriĂšre les rĂ©cents mots de Lavrov. Le soi-disant « ordre fondĂ© sur des rĂšgles » nâest en rĂ©alitĂ© rien de plus que lâapplication arbitraire de deux poids, deux mesures pour faire respecter les intĂ©rĂȘts stratĂ©giques amĂ©ricains. Câest dans la nature des choses quâil divise la communautĂ© internationale en une hiĂ©rarchie rigide Ă©tablie par les Ătats-Unis, dans laquelle les vassaux dansant sur leur air se voient accorder certains « privilĂšges » (ou du moins la promesse et / ou la perception de ces privilĂšges aux yeux de leur peuple), tandis que les autres subissent des pressions impitoyables. de se soumettre Ă leurs revendications.
LâInde, par exemple, Ă©tait considĂ©rĂ©e comme un membre potentiel de ce club exclusif par le Golden Billion, mais ses dirigeants multipolaires ont fiĂšrement rejetĂ© toute pression exercĂ©e sur eux pour condamner et sanctionner la Russie. Delhi a considĂ©rĂ© quâil sâagissait dâune demande inacceptable de cĂ©der unilatĂ©ralement sur une question quâelle considĂšre comme Ă©tant dans son intĂ©rĂȘt national objectif. Câest pourquoi pas plus tard que la semaine derniĂšre, par lâintermĂ©diaire du porte-parole du dĂ©partement dâĂtat Price, Washington a ouvertement dĂ©clarĂ© quâil poursuivrait sa politique dâingĂ©rence dans ses relations avec Moscou, comme lâa confirmĂ© le Congressional Research Service dans son dernier rapport.
La façon dont cet Ătat civilisationnel est abusĂ© est indĂ©niablement raciste, car une clique de pays Ă majoritĂ© caucasienne sous la direction de lâhĂ©gĂ©mon unipolaire en dĂ©clin ne respecte pas cette grande puissance non occidentale comme lâĂ©gale quâelle est aux yeux du droit international. Au contraire, ils considĂšrent lâInde comme indigne des mĂȘmes droits accordĂ©s Ă tous par la Charte des Nations Unies, ce qui est exactement la mĂȘme attitude quâils ont envers tous les autres Ătats du Sud dont les dirigeants multipolaires refusent Ă©galement de cĂ©der aux demandes amĂ©ricaines de concessions unilatĂ©rales sur des questions dâintĂ©rĂȘt national objectif.
Cette attitude nâest pas diffĂ©rente de celle dâun AmĂ©ricain de race blanche qui abuse de lâun de ses compatriotes afro-amĂ©ricains en lui refusant ses droits Ă©conomiques sur le lieu de travail, en lâempĂȘchant de voter et mĂȘme en menaçant dâutiliser la force sâil refuse de se soumettre au statut de seconde classe quâil exige, ce qui est complĂštement contraire Ă ses droits lĂ©gaux. Tout observateur objectif qualifierait cela de raciste, et il est donc logique quâil dĂ©crive Ă©galement de la mĂȘme maniĂšre les abus similaires des Ătats-Unis contre les Ătats du Sud.
Enfin, lâinĂ©galitĂ© structurelle dans les relations entre les deux parties est claire dans ces deux exemples : les AmĂ©ricains/AmĂ©ricains blancs refusent de respecter lâInde/Afro-AmĂ©ricains comme les Ă©gaux quâils sont aux yeux de la loi, et choisissent plutĂŽt de faire pression agressivement sur eux pour quâils rĂ©alisent leurs dĂ©sirs Ă©goĂŻstes au dĂ©triment des intĂ©rĂȘts objectifs de leur victime. Il peut ĂȘtre difficile pour ceux qui vivent dans le Milliard dâOr dâaccepter la triste rĂ©alitĂ© que leurs reprĂ©sentants abusent de tout le monde dans les pays du Sud, mais ce racisme systĂ©mique est indĂ©niable et doit donc toujours ĂȘtre dĂ©noncĂ© exactement comme Lavrov vient de le faire.
Câest dans la nature des choses que le Milliard dâOr divise la communautĂ© internationale en une hiĂ©rarchie rigide Ă©tablie par les Ătats-Unis, dans laquelle les vassaux dansant sur leur air se voient accorder certains « privilĂšges » (ou du moins la promesse et/ou la perception de ces privilĂšges aux yeux de leur peuple), tandis que les autres subissent des pressions impitoyables, de se soumettre Ă leurs revendications.
Le ministre russe des Affaires Ă©trangĂšres Lavrov a dĂ©noncĂ© le milliard dâor de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis dans un discours vidĂ©o samedi au cinquiĂšme Forum mondial des jeunes diplomates. Il a dĂ©clarĂ© aux futurs responsables de lâĂtat : « Nous rejetons catĂ©goriquement lâordre nĂ©ocolonial fondĂ© sur des rĂšgles imposĂ© par lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis. Cet ordre prĂ©voit une division raciste du monde en un groupe privilĂ©giĂ© de pays qui ont le droit dĂšs le dĂ©part de faire nâimporte quoi, et le reste du monde, qui est obligĂ© de suivre les traces de ce « milliard dâor » et de servir leurs intĂ©rĂȘts. CâĂ©tait la description correcte, qui sera maintenant briĂšvement discutĂ©e.
La transition systĂ©mique mondiale vers la multipolaritĂ© a produit la « Grande Bifurcation », qui divise lâordre international mondialisĂ© en trois niveaux : le systĂ©mique, lâidĂ©ologique/idĂ©ologique et le tactique. Le premier concerne la concurrence mondiale entre le golden billion de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis et le Sud dirigĂ© par les BRICS; la seconde concerne la lutte entre les mondialistes libĂ©raux unipolaires (ULG) et les souverainistes conservateurs multipolaires (MCS) ; tandis que ce dernier couvre les relations de plus en plus tendues entre lâestablishment et les populistes (dont la dynamique varie dâun pays Ă lâautre).
Dans le contexte de ce changement de paradigme Ă spectre complet, on peut mieux comprendre la sagesse derriĂšre les rĂ©cents mots de Lavrov. Le soi-disant « ordre fondĂ© sur des rĂšgles » nâest en rĂ©alitĂ© rien de plus que lâapplication arbitraire de deux poids, deux mesures pour faire respecter les intĂ©rĂȘts stratĂ©giques amĂ©ricains. Câest dans la nature des choses quâil divise la communautĂ© internationale en une hiĂ©rarchie rigide Ă©tablie par les Ătats-Unis, dans laquelle les vassaux dansant sur leur air se voient accorder certains « privilĂšges » (ou du moins la promesse et / ou la perception de ces privilĂšges aux yeux de leur peuple), tandis que les autres subissent des pressions impitoyables. de se soumettre Ă leurs revendications.
LâInde, par exemple, Ă©tait considĂ©rĂ©e comme un membre potentiel de ce club exclusif par le Golden Billion, mais ses dirigeants multipolaires ont fiĂšrement rejetĂ© toute pression exercĂ©e sur eux pour condamner et sanctionner la Russie. Delhi a considĂ©rĂ© quâil sâagissait dâune demande inacceptable de cĂ©der unilatĂ©ralement sur une question quâelle considĂšre comme Ă©tant dans son intĂ©rĂȘt national objectif. Câest pourquoi pas plus tard que la semaine derniĂšre, par lâintermĂ©diaire du porte-parole du dĂ©partement dâĂtat Price, Washington a ouvertement dĂ©clarĂ© quâil poursuivrait sa politique dâingĂ©rence dans ses relations avec Moscou, comme lâa confirmĂ© le Congressional Research Service dans son dernier rapport.
La façon dont cet Ătat civilisationnel est abusĂ© est indĂ©niablement raciste, car une clique de pays Ă majoritĂ© caucasienne sous la direction de lâhĂ©gĂ©mon unipolaire en dĂ©clin ne respecte pas cette grande puissance non occidentale comme lâĂ©gale quâelle est aux yeux du droit international. Au contraire, ils considĂšrent lâInde comme indigne des mĂȘmes droits accordĂ©s Ă tous par la Charte des Nations Unies, ce qui est exactement la mĂȘme attitude quâils ont envers tous les autres Ătats du Sud dont les dirigeants multipolaires refusent Ă©galement de cĂ©der aux demandes amĂ©ricaines de concessions unilatĂ©rales sur des questions dâintĂ©rĂȘt national objectif.
Cette attitude nâest pas diffĂ©rente de celle dâun AmĂ©ricain de race blanche qui abuse de lâun de ses compatriotes afro-amĂ©ricains en lui refusant ses droits Ă©conomiques sur le lieu de travail, en lâempĂȘchant de voter et mĂȘme en menaçant dâutiliser la force sâil refuse de se soumettre au statut de seconde classe quâil exige, ce qui est complĂštement contraire Ă ses droits lĂ©gaux. Tout observateur objectif qualifierait cela de raciste, et il est donc logique quâil dĂ©crive Ă©galement de la mĂȘme maniĂšre les abus similaires des Ătats-Unis contre les Ătats du Sud.
Enfin, lâinĂ©galitĂ© structurelle dans les relations entre les deux parties est claire dans ces deux exemples : les AmĂ©ricains/AmĂ©ricains blancs refusent de respecter lâInde/Afro-AmĂ©ricains comme les Ă©gaux quâils sont aux yeux de la loi, et choisissent plutĂŽt de faire pression agressivement sur eux pour quâils rĂ©alisent leurs dĂ©sirs Ă©goĂŻstes au dĂ©triment des intĂ©rĂȘts objectifs de leur victime. Il peut ĂȘtre difficile pour ceux qui vivent dans le Milliard dâOr dâaccepter la triste rĂ©alitĂ© que leurs reprĂ©sentants abusent de tout le monde dans les pays du Sud, mais ce racisme systĂ©mique est indĂ©niable et doit donc toujours ĂȘtre dĂ©noncĂ© exactement comme Lavrov vient de le faire.
La Russie a qualifiĂ© Ă juste titre le milliard dâor de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis de raciste de bout en bout.
Câest dans la nature des choses que le Milliard dâOr divise la communautĂ© internationale en une hiĂ©rarchie rigide Ă©tablie par les Ătats-Unis, dans laquelle les vassaux dansant sur leur air se voient accorder certains « privilĂšges » (ou du moins la promesse et/ou la perception de ces privilĂšges aux yeux de leur peuple), tandis que les autres subissent des pressions impitoyables, de se soumettre Ă leurs revendications.
Le ministre russe des Affaires Ă©trangĂšres Lavrov a dĂ©noncĂ© le milliard dâor de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis dans un discours vidĂ©o samedi au cinquiĂšme Forum mondial des jeunes diplomates. Il a dĂ©clarĂ© aux futurs responsables de lâĂtat : « Nous rejetons catĂ©goriquement lâordre nĂ©ocolonial fondĂ© sur des rĂšgles imposĂ© par lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis. Cet ordre prĂ©voit une division raciste du monde en un groupe privilĂ©giĂ© de pays qui ont le droit dĂšs le dĂ©part de faire nâimporte quoi, et le reste du monde, qui est obligĂ© de suivre les traces de ce « milliard dâor » et de servir leurs intĂ©rĂȘts. CâĂ©tait la description correcte, qui sera maintenant briĂšvement discutĂ©e.
La transition systĂ©mique mondiale vers la multipolaritĂ© a produit la « Grande Bifurcation », qui divise lâordre international mondialisĂ© en trois niveaux : le systĂ©mique, lâidĂ©ologique/idĂ©ologique et le tactique. Le premier concerne la concurrence mondiale entre le golden billion de lâOccident dirigĂ© par les Ătats-Unis et le Sud dirigĂ© par les BRICS; la seconde concerne la lutte entre les mondialistes libĂ©raux unipolaires (ULG) et les souverainistes conservateurs multipolaires (MCS) ; tandis que ce dernier couvre les relations de plus en plus tendues entre lâestablishment et les populistes (dont la dynamique varie dâun pays Ă lâautre).
Dans le contexte de ce changement de paradigme Ă spectre complet, on peut mieux comprendre la sagesse derriĂšre les rĂ©cents mots de Lavrov. Le soi-disant « ordre fondĂ© sur des rĂšgles » nâest en rĂ©alitĂ© rien de plus que lâapplication arbitraire de deux poids, deux mesures pour faire respecter les intĂ©rĂȘts stratĂ©giques amĂ©ricains. Câest dans la nature des choses quâil divise la communautĂ© internationale en une hiĂ©rarchie rigide Ă©tablie par les Ătats-Unis, dans laquelle les vassaux dansant sur leur air se voient accorder certains « privilĂšges » (ou du moins la promesse et / ou la perception de ces privilĂšges aux yeux de leur peuple), tandis que les autres subissent des pressions impitoyables. de se soumettre Ă leurs revendications.
LâInde, par exemple, Ă©tait considĂ©rĂ©e comme un membre potentiel de ce club exclusif par le Golden Billion, mais ses dirigeants multipolaires ont fiĂšrement rejetĂ© toute pression exercĂ©e sur eux pour condamner et sanctionner la Russie. Delhi a considĂ©rĂ© quâil sâagissait dâune demande inacceptable de cĂ©der unilatĂ©ralement sur une question quâelle considĂšre comme Ă©tant dans son intĂ©rĂȘt national objectif. Câest pourquoi pas plus tard que la semaine derniĂšre, par lâintermĂ©diaire du porte-parole du dĂ©partement dâĂtat Price, Washington a ouvertement dĂ©clarĂ© quâil poursuivrait sa politique dâingĂ©rence dans ses relations avec Moscou, comme lâa confirmĂ© le Congressional Research Service dans son dernier rapport.
La façon dont cet Ătat civilisationnel est abusĂ© est indĂ©niablement raciste, car une clique de pays Ă majoritĂ© caucasienne sous la direction de lâhĂ©gĂ©mon unipolaire en dĂ©clin ne respecte pas cette grande puissance non occidentale comme lâĂ©gale quâelle est aux yeux du droit international. Au contraire, ils considĂšrent lâInde comme indigne des mĂȘmes droits accordĂ©s Ă tous par la Charte des Nations Unies, ce qui est exactement la mĂȘme attitude quâils ont envers tous les autres Ătats du Sud dont les dirigeants multipolaires refusent Ă©galement de cĂ©der aux demandes amĂ©ricaines de concessions unilatĂ©rales sur des questions dâintĂ©rĂȘt national objectif.
Cette attitude nâest pas diffĂ©rente de celle dâun AmĂ©ricain de race blanche qui abuse de lâun de ses compatriotes afro-amĂ©ricains en lui refusant ses droits Ă©conomiques sur le lieu de travail, en lâempĂȘchant de voter et mĂȘme en menaçant dâutiliser la force sâil refuse de se soumettre au statut de seconde classe quâil exige, ce qui est complĂštement contraire Ă ses droits lĂ©gaux. Tout observateur objectif qualifierait cela de raciste, et il est donc logique quâil dĂ©crive Ă©galement de la mĂȘme maniĂšre les abus similaires des Ătats-Unis contre les Ătats du Sud.
Enfin, lâinĂ©galitĂ© structurelle dans les relations entre les deux parties est claire dans ces deux exemples : les AmĂ©ricains/AmĂ©ricains blancs refusent de respecter lâInde/Afro-AmĂ©ricains comme les Ă©gaux quâils sont aux yeux de la loi, et choisissent plutĂŽt de faire pression agressivement sur eux pour quâils rĂ©alisent leurs dĂ©sirs Ă©goĂŻstes au dĂ©triment des intĂ©rĂȘts objectifs de leur victime. Il peut ĂȘtre difficile pour ceux qui vivent dans le Milliard dâOr dâaccepter la triste rĂ©alitĂ© que leurs reprĂ©sentants abusent de tout le monde dans les pays du Sud, mais ce racisme systĂ©mique est indĂ©niable et doit donc toujours ĂȘtre dĂ©noncĂ© exactement comme Lavrov vient de le faire.
·15K Views
·0 previzualizare