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  • « Il n’y a pas de forces françaises engagées en opération en Ukraine », assure l’entourage du ministre des armées, contrairement à ce que des documents attribués au Pentagone et qui ont été publiés sur des réseaux russes en milieu de semaine peuvent laisser supposer.

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    « Il n’y a pas de forces françaises engagées en opération en Ukraine », assure l’entourage du ministre des armées, contrairement à ce que des documents attribués au Pentagone et qui ont été publiés sur des réseaux russes en milieu de semaine peuvent laisser supposer. Article ? lien
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  • Les responsables admettent que les stocks du Pentagone sont « inconfortablement bas »

    « Les stocks ne sont pas encore si importants que nous pourrions aller au combat », a déclaré un responsable américain de la Défense au Wall Street Journal à propos de l’épuisement rapide des stocks du Pentagone en raison d’une aide à la défense sans précédent à l’Ukraine, soulignant en particulier que les munitions d’artillerie sont maintenant « inconfortablement faibles ».
    En outre, le déficit devrait se poursuivre pour le moment, car les nouveaux achats et la livraison ultérieure des armes par les fabricants prennent généralement plusieurs années.

    « Les États-Unis ont fourni à l’Ukraine 16 lance-roquettes américains, les soi-disant Himars, des milliers de fusils, de drones, de missiles et d’autres équipements au cours des six derniers mois. Une grande partie, y compris les munitions, provient directement des stocks américains, épuisant les fournitures destinées aux menaces inattendues, ont déclaré des responsables de la défense, selon le rapport.

    Au total, les États-Unis se sont jusqu’à présent engagés à fournir à l’Ukraine des armes d’une valeur d’environ 13 milliards de dollars après seulement six mois de conflit. Au milieu des inquiétudes concernant la diminution des approvisionnements de Washington, le département de la Défense choisit maintenant d’envoyer des obus de 105 mm à l’Ukraine au lieu des obus d’artillerie « intelligents » contrôlés de 155 mm.

    Début juillet, un haut responsable de la défense américaine a déclaré aux journalistes que l’armée ukrainienne tirait environ 3 000 obus de 155 mm par jour à l’époque :

    La révélation est intervenue au milieu d’interrogations sur la dernière tranche d’armes et de munitions livrées à l’Ukraine, y compris pour la première fois 1 000 obus guidés de 155 mm dotés de la technologie « intelligente ».

    Le responsable a expliqué que malgré le taux de consommation élevé, les forces armées ukrainiennes disposaient encore de « fournitures considérables » d’obus de 155 mm et que ceux-ci étaient loin d’être épuisés car d’autres obus étaient en route. Les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN ont fourni à l’Ukraine des centaines de milliers d’obus de 155 mm.
    Mais même maintenant, le Pentagone semble de plus en plus insatisfait du montant de ces « dons ».

    Le rapport du Wall Street Journal révèle également que l’armée américaine a demandé au Congrès 500 millions de dollars supplémentaires par an pour moderniser ses propres usines de munitions. Le plus grand gagnant dans tout cela est les grands entrepreneurs et fabricants de la défense.
    Les responsables admettent que les stocks du Pentagone sont « inconfortablement bas » « Les stocks ne sont pas encore si importants que nous pourrions aller au combat », a déclaré un responsable américain de la Défense au Wall Street Journal à propos de l’épuisement rapide des stocks du Pentagone en raison d’une aide à la défense sans précédent à l’Ukraine, soulignant en particulier que les munitions d’artillerie sont maintenant « inconfortablement faibles ». En outre, le déficit devrait se poursuivre pour le moment, car les nouveaux achats et la livraison ultérieure des armes par les fabricants prennent généralement plusieurs années. « Les États-Unis ont fourni à l’Ukraine 16 lance-roquettes américains, les soi-disant Himars, des milliers de fusils, de drones, de missiles et d’autres équipements au cours des six derniers mois. Une grande partie, y compris les munitions, provient directement des stocks américains, épuisant les fournitures destinées aux menaces inattendues, ont déclaré des responsables de la défense, selon le rapport. Au total, les États-Unis se sont jusqu’à présent engagés à fournir à l’Ukraine des armes d’une valeur d’environ 13 milliards de dollars après seulement six mois de conflit. Au milieu des inquiétudes concernant la diminution des approvisionnements de Washington, le département de la Défense choisit maintenant d’envoyer des obus de 105 mm à l’Ukraine au lieu des obus d’artillerie « intelligents » contrôlés de 155 mm. Début juillet, un haut responsable de la défense américaine a déclaré aux journalistes que l’armée ukrainienne tirait environ 3 000 obus de 155 mm par jour à l’époque : La révélation est intervenue au milieu d’interrogations sur la dernière tranche d’armes et de munitions livrées à l’Ukraine, y compris pour la première fois 1 000 obus guidés de 155 mm dotés de la technologie « intelligente ». Le responsable a expliqué que malgré le taux de consommation élevé, les forces armées ukrainiennes disposaient encore de « fournitures considérables » d’obus de 155 mm et que ceux-ci étaient loin d’être épuisés car d’autres obus étaient en route. Les États-Unis et leurs alliés de l’OTAN ont fourni à l’Ukraine des centaines de milliers d’obus de 155 mm. Mais même maintenant, le Pentagone semble de plus en plus insatisfait du montant de ces « dons ». Le rapport du Wall Street Journal révèle également que l’armée américaine a demandé au Congrès 500 millions de dollars supplémentaires par an pour moderniser ses propres usines de munitions. Le plus grand gagnant dans tout cela est les grands entrepreneurs et fabricants de la défense.
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  • Si le Pentagone ne peut pas confirmer les contes de Bucha, qui le peut ?
    C'était la plus importante des nouvelles d'hier.


    plus gros
    Le Pentagone ne peut pas confirmer de manière indépendante les atrocités commises à Bucha en Ukraine, selon un responsable

    WASHINGTON, 4 avril (Reuters) - L'armée américaine n'est pas en mesure de confirmer de manière indépendante les récits ukrainiens d'atrocités commises par les forces russes contre des civils dans la ville de Bucha, ...
    ...
    "Le Pentagone ne peut pas, de manière indépendante et à lui seul, le confirmer, mais nous ne sommes pas non plus en mesure de réfuter ces affirmations."
    Si le Pentagone, qui comprend la Defense Intelligence Agency et la National Security Agency, n'a pas pu confirmer ce que le gouvernement de Kiev a affirmé, qui d'autre pourrait le faire ?

    Certainement pas les sbires européens qui ont réagi à ces affirmations douteuses en retirant davantage de personnel des ambassades russes de leur pays.

    Les États-Unis poussent à nouveau les Européens à suicider leurs économies. Les États-Unis seraient bien sûr le seul pays à en tirer profit.

    C'est fini. L'Ukraine a perdu la guerre. Sa marine, ses forces aériennes et son industrie de la défense n'existent plus. L'armée de l'air russe effectue des centaines de bombardements par nuit, éliminant tout dépôt de carburant et de munitions qui reste en Ukraine.

    Sans les réservoirs de carburant et les camions sont immobilisés. Sans munitions, l'artillerie se tait. Les unités ukrainiennes lourdes le long du Donbass sont désormais incapables de mener une guerre de manœuvre. Ils ne peuvent même pas fuir. Le réapprovisionnement et les réserves ne parviennent pas à les atteindre. Ils ont le choix d'abandonner ou d'être détruits sur place.

    Quiconque pousse encore plus d'armes en Ukraine ou dit à Kiev de prolonger la guerre met davantage de vies ukrainiennes en danger pour un gain potentiel nul.

    C'est criminel.
    Si le Pentagone ne peut pas confirmer les contes de Bucha, qui le peut ? C'était la plus importante des nouvelles d'hier. plus gros Le Pentagone ne peut pas confirmer de manière indépendante les atrocités commises à Bucha en Ukraine, selon un responsable WASHINGTON, 4 avril (Reuters) - L'armée américaine n'est pas en mesure de confirmer de manière indépendante les récits ukrainiens d'atrocités commises par les forces russes contre des civils dans la ville de Bucha, ... ... "Le Pentagone ne peut pas, de manière indépendante et à lui seul, le confirmer, mais nous ne sommes pas non plus en mesure de réfuter ces affirmations." Si le Pentagone, qui comprend la Defense Intelligence Agency et la National Security Agency, n'a pas pu confirmer ce que le gouvernement de Kiev a affirmé, qui d'autre pourrait le faire ? Certainement pas les sbires européens qui ont réagi à ces affirmations douteuses en retirant davantage de personnel des ambassades russes de leur pays. Les États-Unis poussent à nouveau les Européens à suicider leurs économies. Les États-Unis seraient bien sûr le seul pays à en tirer profit. C'est fini. L'Ukraine a perdu la guerre. Sa marine, ses forces aériennes et son industrie de la défense n'existent plus. L'armée de l'air russe effectue des centaines de bombardements par nuit, éliminant tout dépôt de carburant et de munitions qui reste en Ukraine. Sans les réservoirs de carburant et les camions sont immobilisés. Sans munitions, l'artillerie se tait. Les unités ukrainiennes lourdes le long du Donbass sont désormais incapables de mener une guerre de manœuvre. Ils ne peuvent même pas fuir. Le réapprovisionnement et les réserves ne parviennent pas à les atteindre. Ils ont le choix d'abandonner ou d'être détruits sur place. Quiconque pousse encore plus d'armes en Ukraine ou dit à Kiev de prolonger la guerre met davantage de vies ukrainiennes en danger pour un gain potentiel nul. C'est criminel.
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  • 500 Km avec 1 litre d’eau: un homme brésilien montre pourquoi nous n’avons pas besoin d’essence.
    Le motard Ricardo Azevedo, son créateur, a annoncé le mois dernier à Sao Paulo une moto capable de parcourir 500 kilomètres avec un litre d’eau.

    C’est ce qu’on appelle le «T Power H20» et sa conception comprend une combinaison d’eau et une batterie de voiture externe unique utilisée pour produire de l’électricité et déclencher le processus qui sépare l’hydrogène de la molécule d’eau. En conséquence, l’énergie nécessaire pour alimenter la motocyclette est créée.

    Il reste encore beaucoup de scepticisme à l’égard des machines fonctionnant à l’eau. Ceux qui sont sceptiques invoqueront souvent diverses raisons pour expliquer leur impossibilité, notamment la loi de la thermodynamique.

    Tandis que d’autres vont simplement le mettre dans le vieux «royaume du complot» sans raison véritable. Beaucoup de gens ont du mal à comprendre pourquoi, pourquoi Ruptly TV, une société mère de RT News, The Daily Mail , de sites Web tels que celui de la motorbike times et d’autres, publie cet article?
    Ce n’est pas la première fois que nous entendons parler d’un moteur à eau, c’est pourquoi nous le partageons ici. Il semble y en avoir beaucoup qui prétendent que cela est possible, et beaucoup qui prétendent que non.

    Une société japonaise appelée Genepax a apparemment dévoilé sa voiture à eau en 2008 à Osaka, au Japon, mais comme toujours avec ce sujet, des critiques sévères et des jugement de «canulars» ont suivi.

    Il y a peu de temps auparavant, il existait un engouement pour une voiture alimentée à l’eau de mer. Vous pouvez lire cette histoire ici. Cela a également fait l’objet de vives critiques, mais ce n’est pas le cas, c’est le fait que la marine américaine a converti avec succès l’eau de mer en carburant. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici.

    Stanley Allen Meyer est un autre individu qui a inventé une voiture à eau (il y a de nombreuses années) et il a reçu très peu d’attention lorsqu’il a été question de rendre les informations accessibles aux masses. Aujourd’hui, c’est une histoire assez connue en raison de la prise de conscience de masse qui s’est créée autour d’elle.

    L’invention de Stan a été reprise très brièvement par une chaîne de nouvelles locale dans l’Ohio. Vous pouvez voir son brevet ici, qui décrit également l’ensemble du processus.

    Vous pouvez voir la collection complète de ses documents ici (NDT : le site a été mis hors ligne…). Son histoire a fait les gros titres et le Pentagone a envoyé un colonel pour la vérifier. Peu de temps après, il a été retrouvé mort! Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici (voir article en français ICI).

    Encore une fois, ce sujet ne manque pas de controverse, alors n’hésitez pas à partager vos réflexions ci-dessous. Nous aimerions avoir de vos nouvelles. Que vous pensiez que ce soit vrai ou qu’il s’agisse d’un canular, nous n’avons absolument pas besoin de pétrole pour faire fonctionner nos machines.
    500 Km avec 1 litre d’eau: un homme brésilien montre pourquoi nous n’avons pas besoin d’essence. Le motard Ricardo Azevedo, son créateur, a annoncé le mois dernier à Sao Paulo une moto capable de parcourir 500 kilomètres avec un litre d’eau. C’est ce qu’on appelle le «T Power H20» et sa conception comprend une combinaison d’eau et une batterie de voiture externe unique utilisée pour produire de l’électricité et déclencher le processus qui sépare l’hydrogène de la molécule d’eau. En conséquence, l’énergie nécessaire pour alimenter la motocyclette est créée. Il reste encore beaucoup de scepticisme à l’égard des machines fonctionnant à l’eau. Ceux qui sont sceptiques invoqueront souvent diverses raisons pour expliquer leur impossibilité, notamment la loi de la thermodynamique. Tandis que d’autres vont simplement le mettre dans le vieux «royaume du complot» sans raison véritable. Beaucoup de gens ont du mal à comprendre pourquoi, pourquoi Ruptly TV, une société mère de RT News, The Daily Mail , de sites Web tels que celui de la motorbike times et d’autres, publie cet article? Ce n’est pas la première fois que nous entendons parler d’un moteur à eau, c’est pourquoi nous le partageons ici. Il semble y en avoir beaucoup qui prétendent que cela est possible, et beaucoup qui prétendent que non. Une société japonaise appelée Genepax a apparemment dévoilé sa voiture à eau en 2008 à Osaka, au Japon, mais comme toujours avec ce sujet, des critiques sévères et des jugement de «canulars» ont suivi. Il y a peu de temps auparavant, il existait un engouement pour une voiture alimentée à l’eau de mer. Vous pouvez lire cette histoire ici. Cela a également fait l’objet de vives critiques, mais ce n’est pas le cas, c’est le fait que la marine américaine a converti avec succès l’eau de mer en carburant. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici. Stanley Allen Meyer est un autre individu qui a inventé une voiture à eau (il y a de nombreuses années) et il a reçu très peu d’attention lorsqu’il a été question de rendre les informations accessibles aux masses. Aujourd’hui, c’est une histoire assez connue en raison de la prise de conscience de masse qui s’est créée autour d’elle. L’invention de Stan a été reprise très brièvement par une chaîne de nouvelles locale dans l’Ohio. Vous pouvez voir son brevet ici, qui décrit également l’ensemble du processus. Vous pouvez voir la collection complète de ses documents ici (NDT : le site a été mis hors ligne…). Son histoire a fait les gros titres et le Pentagone a envoyé un colonel pour la vérifier. Peu de temps après, il a été retrouvé mort! Vous pouvez en savoir plus sur cette histoire ici (voir article en français ICI). Encore une fois, ce sujet ne manque pas de controverse, alors n’hésitez pas à partager vos réflexions ci-dessous. Nous aimerions avoir de vos nouvelles. Que vous pensiez que ce soit vrai ou qu’il s’agisse d’un canular, nous n’avons absolument pas besoin de pétrole pour faire fonctionner nos machines.
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  • Projet Sign

    Le Projet Sign (signe en français) a été la première étude scientifique officielle de l’US Air Force sur les OVNI. Le projet a été créé en décembre 1947 et dissous le 16 décembre 1948, remplacé par le projet Grudge.

    Contexte:

    Le projet Sign fut créé sous l’impulsion du général Nathan F. Twining, à la suite d’une vague d’OVNI (appelées « soucoupes volantes » à l’époque) en 1947 aux États-Unis. Les deux cas les plus célèbres sont l’observation de Kenneth Arnold en juin et l’incident de Roswell en juillet. Le projet avait été précédé, en 1946, par une enquête du général James H. Doolittle durant l’affaire des « fusées fantômes », et par une étude du général Schulgen durant l’été 1947, qui envisageait la possibilité d’engins militaires soviétiques.

    Projet Sign:

    La proposition de Twining fut approuvée par le gouvernement le 30 décembre 1947 et le projet Sign débuta le 22 janvier 1948, sur la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio. Il était placé sous le commandement du capitaine Robert R. Sneider. Bien que le projet ait été classifié « d’accès restreint », son existence était connue du grand public, souvent sous le nom de « Projet Soucoupe ». Le projet engagea aussi des consultants scientifiques, comme l’astronome américain J. Allen Hynek, chargé de distinguer les cas de méprises avec des étoiles ou des météorites.

    La première entreprise du projet Sign fut l’étude de l’incident de Mantell. Le 7 janvier 1948, le pilote de l’Air Force Thomas Mantell avait repéré un OVNI dans le ciel du Kentucky et s’était lancé à sa poursuite — chose confirmée par ses coéquipiers qui avaient dû rentrer à leur base avant le drame. On retrouva les débris de son avion éparpillés sur des kilomètres, indiquant qu’il avait été détruit à haute altitude. Les enquêteurs de Sign arrivèrent à la conclusion que Mantell avait confondu la planète Vénus — en plein après-midi — et qu’il avait été victime d’un manque d’oxygène. L’explication de l’explosion en plein vol par le contact avec un ballon-sonde ne fut pas l’œuvre de Sign mais arriva plus tard.

    Le 27 avril 1949, le projet Sign présenta un memorandum à la presse qui affirmait que les soucoupes volantes ne constituent pas une menace et ne viennent pas d’autres planètes.

    Composition:

    – Capitaine Robert R. Sneider, officier commandant
    – Alfred Loedding et Albert B. Deyarmond, ingénieurs aéronautiques
    – Lawrence Truettner, expert en nucléaire et balistique

    Le rapport Estimate of the Situation:

    Au fil du temps, une partie du personnel de Sign changea d’attitude et devint moins sceptique. L’idée que certains de ces OVNI pouvaient être d’origine extraterrestre fut envisagée par les experts du projet. Ce fut la rédaction d’un rapport secret resté fameux, nommé Estimate of the Situation. Ce rapport expliquait qu’au vu des performances aériennes de certains des OVNI et de l’impossibilité de les faire correspondre à des phénomènes naturels, l’explication la plus probable et rationnelle était donc qu’une partie des OVNI avaient une origine extraterrestre.

    Ce rapport fut cependant rejeté et détruit. Le Pentagone publia le rapport officiel du Projet Sign, intitulé aussi Estimate of the situation, le 10 décembre 1948, concluant que les OVNI étaient soit non réels, soit issus d’une technologie inconnue en provenance d’Union soviétique. C’est alors qu’en décembre 1948, le Projet Sign fut dissous et remplacé par le Projet Grudge, composé de scientifiques ne croyant pas à l’hypothèse extraterrestre.

    Source: Wikipédia
    Projet Sign Le Projet Sign (signe en français) a été la première étude scientifique officielle de l’US Air Force sur les OVNI. Le projet a été créé en décembre 1947 et dissous le 16 décembre 1948, remplacé par le projet Grudge. Contexte: Le projet Sign fut créé sous l’impulsion du général Nathan F. Twining, à la suite d’une vague d’OVNI (appelées « soucoupes volantes » à l’époque) en 1947 aux États-Unis. Les deux cas les plus célèbres sont l’observation de Kenneth Arnold en juin et l’incident de Roswell en juillet. Le projet avait été précédé, en 1946, par une enquête du général James H. Doolittle durant l’affaire des « fusées fantômes », et par une étude du général Schulgen durant l’été 1947, qui envisageait la possibilité d’engins militaires soviétiques. Projet Sign: La proposition de Twining fut approuvée par le gouvernement le 30 décembre 1947 et le projet Sign débuta le 22 janvier 1948, sur la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio. Il était placé sous le commandement du capitaine Robert R. Sneider. Bien que le projet ait été classifié « d’accès restreint », son existence était connue du grand public, souvent sous le nom de « Projet Soucoupe ». Le projet engagea aussi des consultants scientifiques, comme l’astronome américain J. Allen Hynek, chargé de distinguer les cas de méprises avec des étoiles ou des météorites. La première entreprise du projet Sign fut l’étude de l’incident de Mantell. Le 7 janvier 1948, le pilote de l’Air Force Thomas Mantell avait repéré un OVNI dans le ciel du Kentucky et s’était lancé à sa poursuite — chose confirmée par ses coéquipiers qui avaient dû rentrer à leur base avant le drame. On retrouva les débris de son avion éparpillés sur des kilomètres, indiquant qu’il avait été détruit à haute altitude. Les enquêteurs de Sign arrivèrent à la conclusion que Mantell avait confondu la planète Vénus — en plein après-midi — et qu’il avait été victime d’un manque d’oxygène. L’explication de l’explosion en plein vol par le contact avec un ballon-sonde ne fut pas l’œuvre de Sign mais arriva plus tard. Le 27 avril 1949, le projet Sign présenta un memorandum à la presse qui affirmait que les soucoupes volantes ne constituent pas une menace et ne viennent pas d’autres planètes. Composition: – Capitaine Robert R. Sneider, officier commandant – Alfred Loedding et Albert B. Deyarmond, ingénieurs aéronautiques – Lawrence Truettner, expert en nucléaire et balistique Le rapport Estimate of the Situation: Au fil du temps, une partie du personnel de Sign changea d’attitude et devint moins sceptique. L’idée que certains de ces OVNI pouvaient être d’origine extraterrestre fut envisagée par les experts du projet. Ce fut la rédaction d’un rapport secret resté fameux, nommé Estimate of the Situation. Ce rapport expliquait qu’au vu des performances aériennes de certains des OVNI et de l’impossibilité de les faire correspondre à des phénomènes naturels, l’explication la plus probable et rationnelle était donc qu’une partie des OVNI avaient une origine extraterrestre. Ce rapport fut cependant rejeté et détruit. Le Pentagone publia le rapport officiel du Projet Sign, intitulé aussi Estimate of the situation, le 10 décembre 1948, concluant que les OVNI étaient soit non réels, soit issus d’une technologie inconnue en provenance d’Union soviétique. C’est alors qu’en décembre 1948, le Projet Sign fut dissous et remplacé par le Projet Grudge, composé de scientifiques ne croyant pas à l’hypothèse extraterrestre. Source: Wikipédia
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  • Projet Blue Book
    Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969.

    Historique:

    Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens.

    C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au **** du projet Blue Book.

    Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955.

    Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970.

    Champs d’étude et objectifs:

    Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book :

    – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis.
    – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis.
    – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter.

    À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques.
    Faits et chiffres:

    – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique.
    – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955.
    – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins.
    – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins.

    Conclusions:

    Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle.

    Source: Wikipédia
    Projet Blue Book Le projet Blue Book est une commission mise en place par l’US Air Force, afin d’étudier et d’enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu’en 1969. Historique: Les premières observations d’ovnis qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l’armée américaine en alerte. Dès 1947, l’US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité ou non de ces phénomènes. Elle fut rebaptisée projet Grudge en 1949. En 1951, à la suite d’une importante vague de témoignages d’ovnis, l’armée décide de relancer le projet avec davantage de moyens. C’est le 12 avril 1952, que commença le « projet Blue Book », dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d’étude, une d’enquête, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. À la suite d’une recrudescence des témoignages d’ovnis au cours de l’année 1952, le gouvernement commença à s’intéresser au problème de plus près et décida d’enquêter. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dès 1955, The Report on Unidentified Flying Objects, livre relatant les cas les plus significatifs qu’il avait pu traiter au sein du projet Blue Book. Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Il décide de déclassifier et de rendre public le rapport spécial N°14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l’inexistence des ovnis, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955. Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, plusieurs scientifiques civils du projet (dont J. Allen Hynek) prirent publiquement parti pour la réalité du phénomène ovni (et donc contre la position officielle du projet Blue Book), ce qu’ils n’ont jamais réussi à prouver. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d’experts auprès du docteur Edward Condon, de l’Université du Colorado afin d’établir ou non la réalité du phénomène ovni. Le rapport Condon conclura que les ovnis n’existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissout en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970. Champs d’étude et objectifs: Lors de sa création officielle, le 12 avril 1952, l’US Air Force définit très clairement les trois objectifs du projet Blue Book : – Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis. – Déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des États-Unis. – Déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. À cela, vint s’ajouter un rôle de porte-parole gouvernemental sur le phénomène ovni qui, à de nombreuses reprises, obligea le projet Blue Book à délaisser l’objectivité scientifique pour répondre à des considérations plus politiques. Faits et chiffres: – Le projet Blue Book étudia 12 618 cas et retint 3 201 cas pour l’analyse statistique. – Le secrétaire de l’armée de l’air, Donald Quarles, annonce le chiffre de 3 % de cas inexpliqués lors de la conférence de presse du 25 octobre 1955. – Les archives du projet Blue Book comprennent 8 360 photos, 20 bobines de film (ce qui représente 6h30 de film) et 23 enregistrements audio d’interviews de témoins. – Conservées jusqu’en 1974 dans les archives de l’US Air Force, les archives du projet Blue Book sont stockées depuis 1976 aux archives nationales américaines après la censure de tous les noms de témoins. Conclusions: Dans son rapport annuel, le major Quantanilla, directeur du projet Blue Book déclare : « 30 seulement de tous les cas soumis à l’Air Force sont inexpliqués et 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 se rangent dans cette catégorie … Il n’existe aucune preuve que les O.V.N.I. encore « inexpliqués » représentent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ». Sur un panel de plus de onze mille affaires, quatre-vingt-dix-sept pour cent ont été élucidées et, de l’avis même de ceux qui ont travaillé au projet, rien n’indique que les quelques cas restants soient de nature différente, et que le statut « non-identifié » résulte d’un manque d’informations et non d’une catégorie nouvelle. Source: Wikipédia
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