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  • Vera Sharav est née en 1937 en Roumanie.
    En 1941, avec 145 000 Juifs roumains et hongrois, dont sa famille, elle a été déportée en Transnistrie, le long de la frontière ukrainienne.
    Le 6 mars 2022, elle a présenté des preuves du programme eugénique lancé en 1915 aux États-Unis, entreprise commune de John D. Rockefeller, Andrew Carnegie, Alexandre Graham Bell et d'autres, dont l'objectif déclaré était de réduire la population des États-Unis de 10 %, soit 15 millions d'hommes et de femmes.
    Dans le livre "The Poisoned Needle : Suppressed Facts about Vaccination" (1957), le Dr Eleanor McBean, médecin qui, adolescente, a été témoin oculaire de l'épidémie de 1918, écrit que "seuls les vaccinés ont péri".

    Lien de l’étude de cette vaccination de 1918
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19868270/
    RAPPORT SUR LA VACCINATION ANTIMÉNINGITE ET OBSERVATIONS SUR LES AGGLUTININES DANS LE SANG DES PORTEURS CHRONIQUES DE MÉNINGOCOQUES
    Vera Sharav est née en 1937 en Roumanie. En 1941, avec 145 000 Juifs roumains et hongrois, dont sa famille, elle a été déportée en Transnistrie, le long de la frontière ukrainienne. Le 6 mars 2022, elle a présenté des preuves du programme eugénique lancé en 1915 aux États-Unis, entreprise commune de John D. Rockefeller, Andrew Carnegie, Alexandre Graham Bell et d'autres, dont l'objectif déclaré était de réduire la population des États-Unis de 10 %, soit 15 millions d'hommes et de femmes. Dans le livre "The Poisoned Needle : Suppressed Facts about Vaccination" (1957), le Dr Eleanor McBean, médecin qui, adolescente, a été témoin oculaire de l'épidémie de 1918, écrit que "seuls les vaccinés ont péri". Lien de l’étude de cette vaccination de 1918 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19868270/ RAPPORT SUR LA VACCINATION ANTIMÉNINGITE ET OBSERVATIONS SUR LES AGGLUTININES DANS LE SANG DES PORTEURS CHRONIQUES DE MÉNINGOCOQUES
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  • Sous la montagne de BUCEGI en Roumanie se trouve un secret bien gardé !!!
    Sous la montagne de BUCEGI en Roumanie se trouve un secret bien gardé !!!
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  • Le manoir de Popeci, Roumanie
    Ce manoir qui porte le nom de son propriétaire Popeci Constantin se situe en Roumanie. Considéré par les autochtones comme la plus belle maison du monde, il est l’œuvre de l’architecte roumain Berindey D. qui l’a conçu au début du 20e siècle. Ce dernier s’est inspiré des styles architecturaux français. Le manoir de Popeci a servi autrefois de centre de prévention contre la tuberculose. On y isolait les patients asymptomatiques.
    Le manoir de Popeci, Roumanie Ce manoir qui porte le nom de son propriétaire Popeci Constantin se situe en Roumanie. Considéré par les autochtones comme la plus belle maison du monde, il est l’œuvre de l’architecte roumain Berindey D. qui l’a conçu au début du 20e siècle. Ce dernier s’est inspiré des styles architecturaux français. Le manoir de Popeci a servi autrefois de centre de prévention contre la tuberculose. On y isolait les patients asymptomatiques.
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  • Le manoir de Popeci, Roumanie
    Ce manoir qui porte le nom de son propriétaire Popeci Constantin se situe en Roumanie. Considéré par les autochtones comme la plus belle maison du monde, il est l’œuvre de l’architecte roumain Berindey D. qui l’a conçu au début du 20e siècle. Ce dernier s’est inspiré des styles architecturaux français. Le manoir de Popeci a servi autrefois de centre de prévention contre la tuberculose. On y isolait les patients asymptomatiques. À présent, il a été rénové (grâce à des travaux estimés à près de 500 000 dollars) et accueille divers événements.
    Le manoir de Popeci, Roumanie Ce manoir qui porte le nom de son propriétaire Popeci Constantin se situe en Roumanie. Considéré par les autochtones comme la plus belle maison du monde, il est l’œuvre de l’architecte roumain Berindey D. qui l’a conçu au début du 20e siècle. Ce dernier s’est inspiré des styles architecturaux français. Le manoir de Popeci a servi autrefois de centre de prévention contre la tuberculose. On y isolait les patients asymptomatiques. À présent, il a été rénové (grâce à des travaux estimés à près de 500 000 dollars) et accueille divers événements.
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  • COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits
    Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe »
    Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination.
    Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle.
    « La France n’a pas produit de vaccin »
    Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement.
    Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment »
    Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos.
    À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur.
    « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions »
    Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte.
    « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire »
    En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
    COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits ARTICLE. En déplacement à Fouras (Charente-Maritime), Emmanuel Macron s’est livré à une attaque en règle contre « l’extrême droite ». Évoquant la crise sanitaire, il s’est livré à une diatribe courte, mais remplie de fantasmes et de réecritures des faits. Macron, en marche vers la post-vérité ? COVID et extrême droite : quand Emmanuel Macron réécrit les faits Fébrilité ? Agacement ? Manipulation volontaire des faits ? Mais quelle mouche a bien pu piquer le président de la République, hier en déplacement à Fouras en Charente-Maritime ? Dans une séquence d’une vingtaine de secondes, diffusée sur la plateforme Twitter par le compte Macron 2022, on voit (et entend) le président, interpellé par un passant, répondre à son interlocuteur avec véhémence. Si l’extrême droite avait été au pouvoir à sa place, la France aurait-elle subi les dix plaies d’Égypte ? À l’entendre, ce serait presque le cas. Un décryptage s’impose. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous n’auriez pas eu de vaccin parce qu’on serait sorti de l’Europe » Première affirmation et première contre-vérité. À date du 29 mars 2022, la Suisse avait vacciné (deux doses) 70 % de sa population. La Norvège, 74,9 %. Pourtant, ces deux nations ne font pas partie de l’UE et présentent un taux de vaccination largement supérieur à celui de la Roumanie (40 %), pourtant membre de l’UE depuis 2007. Quant à la Croatie et à la Slovénie, les taux de vaccination ne sont que de respectivement 55,3 % et 58,1 %. Comme quoi, n’en déplaise à Macron, appartenir à l’Europe n’est pas gage d’un bon taux de vaccination. Et ce n’est pas tout. Le Royaume-Uni a quitté l’Europe en janvier 2021, comme envisageait de le faire également le FN de 2017. Si l’on en croit Emmanuel Macron, le pays aurait dû entrer dans une ère sombre, sans accès aux produits stratégiques. Non seulement il n’en a rien été, mais en plus, libéré des contraintes administratives et des lenteurs bruxelloises, le pays de Boris Johnson a connu la campagne de vaccination la plus rapide du continent européen en 2021. Fin mars de cette année, au moins 45 % des Britanniques avaient reçu une dose. En France à la même époque ? Environ trois fois moins, autour de 13 %. Emmanuel Macron oublie une chose pourtant assez simple : être en dehors de l’Union européenne n’empêche nullement de commercer avec elle. « La France n’a pas produit de vaccin » Une affirmation discutable et dont on ne voit pas bien d’ailleurs en quoi elle joue en la faveur du candidat Macron. Ni l’institut Pasteur ni Sanofi n’ont réussi à créer un vaccin contre le Covid. Le pays de Pasteur a payé – chèrement – le prix de son manque d’investissement dans la recherche. Une note du Conseil d’analyse économique datant de janvier 2021 expliquait qu’entre 2011 et 2018 en France, les crédits publics en recherche et développement dans le domaine de la santé avaient baissé de 3,5 à 2,5 milliards d’euros. Emmanuel Macron porte donc une responsabilité notable dans ce délitement. Mais quand bien même : il y a eu un laboratoire français qui est resté en course pour produire un vaccin : Valneva. L’entreprise basée à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) a annoncé ce 31 mars être prête à distribuer son vaccin dès avril. La France aurait pu investir dans sa pépinière, mais ne l’a pas fait, pas plus que l’UE. Valneva a donc bénéficié d’un financement de 353 millions d’euros de la part… du Royaume-Uni. « Si l’extrême droite il y a cinq ans avait gagné, vous auriez peut-être eu de l’hydroxychloroquine, puisque c’était les convictions du moment » Avant de voir le consensus scientifique établir que l’hydroxychloroquine n’avait pas les effets escomptés dans la lutte contre la maladie, un doute a longtemps persisté sur les vertus thérapeutiques de ce médicament. L’hydroxychloroquine a longtemps été portée médiatiquement par le professeur Didier Raoult, alors Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, et de nombreuses personnalités publiques n’étaient alors pas insensibles à ses propos. À tel point que le 9 avril 2020, un certain Emmanuel Macron — pourtant pas « d’extrême droite » — a rendu visite au célèbre épidémiologiste. Un moyen de profiter d’un émoi médiatique à peu de frais. Le président s’y est vu présenter les résultats d’études montrant, selon Didier Raoult, l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Si cette visite ne valait pas approbation, elle a de fait légitimé le professeur Raoult à l’époque, lequel était également en disussion avec Olivier Véran, ministre de la Santé. À la même époque, Marine Le Pen expliquait être en faveur de l’administration de la chloroquine pour des symptômes « peu graves ». Si depuis, Didier Raoult est devenu persona non grata aux yeux du gouvernement, qui a bien vite retourné sa veste, force est de constater que « les convictions du moment » étaient plutôt partagées et qu’elles n’engageaient en rien le futur. « Si l’extrême droite il y a cinq ans, avait gagné, vous auriez été vacciné en décembre. Et ‘’dévacciné’’ en janvier. Parce que c’était les convictions » Sur ce point, il est difficile de contre-analyser les propos du président tant ils n’ont que peu de sens. Si des propos pro « dé-vaccination » ont bien existé dans le débat public, ce fut tout à fait à la marge, dans le camp des complotistes les plus durs, qui ne sont en rien représentatifs de ce qu’Emmanuel Macron se plaît à qualifier d’ « extrême droite ». Il y a bien eu quelques vidéos, virales, d’influenceurs, mais aucune n’a été récupérée politiquement ni par Marine Le Pen, ni par Éric Zemmour. Aucun des deux candidats n’a ainsi repris à son compte cette vidéo de l’influenceur Mickaël Vendetta, jadis inventeur du concept de la « bogossitude », qui préconisait l’utilisation d’un aspivenin en cas de vaccination contrainte. « C’est ça la réalité, faut (sic) aussi le dire » En terminant sa réponse de la sorte, Emmanuel Macron insulte bien évidemment des millions d’électeurs – rappelons que ce n’est pas là son coup d’essai. Mais il insulte surtout la vérité. En « faisant du Donald Trump », agitant des affirmations infondées, aux dépens de tout bon sens, Emmanuel Macron fait basculer sa campagne électorale dans l’ère de la post-vérité. « Il est temps de se réveiller », clame le compte Twitter Macron2022 en complément de cette vidéo. Peut-être s’adressait-il non pas au lecteur, mais au président de la République ?
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  • https://resistance-mondiale.com/la-roumanie-le-pays-le-moins-vaccine-deurope-apres-la-bulgarie-a-sa-courbe-de-cas-et-deces-covid19-qui-descend-toute-seule?fbclid=IwAR0dCMGOBOexI2_0b7OPvkhb7Y-3E0GM91Ok-zr77f0GbkB7UirmLuBiNk0
    https://resistance-mondiale.com/la-roumanie-le-pays-le-moins-vaccine-deurope-apres-la-bulgarie-a-sa-courbe-de-cas-et-deces-covid19-qui-descend-toute-seule?fbclid=IwAR0dCMGOBOexI2_0b7OPvkhb7Y-3E0GM91Ok-zr77f0GbkB7UirmLuBiNk0
    RESISTANCE-MONDIALE.COM
    La Roumanie, le pays le moins vacciné d'Europe après la Bulgarie, a sa courbe de cas et décès Covid19 qui descend toute seule. - Résistance
    Les médias parlaient du refus du vaccin par sa population, seulement à 37% de doubles doses. Ne me dites pas que c'est grâce au vaccin.
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