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  • Après des #études #classiques complètes au #Conservatoire #Royal de #Bruxelles, Emmanuelle Somer se forme au #Berklee #College of #Music à #Boston et y obtient le #diplôme #Magna cum laude en 1996. Elle vit ensuite à #New_York , #Paris , #Tokyo et #Petrozavodsk , enregistre et tourne dans le #monde entier aux côtés de #musiciens #prestigieux. Elle ajoute en #autodidacte aux
    #hautbois, #clarinettes et #saxophones.
    En 2003, elle s’installe près de #Chambord en #France, où elle organise des #concerts et des master classes d' #improvisation pour #adultes et #adolescents. En 2009, elle participe à la #tournée #mondiale de Patricia_Kaas . Elle a enregistré 4 CD en #leader et participé à d'autres #enregistrements , notamment pour le label #Tzadik .
    https://www.youtube.com/watch?v=3AbxrZfMqG0&t
    Après des #études #classiques complètes au #Conservatoire #Royal de #Bruxelles, Emmanuelle Somer se forme au #Berklee #College of #Music à #Boston et y obtient le #diplôme #Magna cum laude en 1996. Elle vit ensuite à #New_York , #Paris , #Tokyo et #Petrozavodsk , enregistre et tourne dans le #monde entier aux côtés de #musiciens #prestigieux. Elle ajoute en #autodidacte aux #hautbois, #clarinettes et #saxophones. En 2003, elle s’installe près de #Chambord en #France, où elle organise des #concerts et des master classes d' #improvisation pour #adultes et #adolescents. En 2009, elle participe à la #tournée #mondiale de Patricia_Kaas . Elle a enregistré 4 CD en #leader et participé à d'autres #enregistrements , notamment pour le label #Tzadik . https://www.youtube.com/watch?v=3AbxrZfMqG0&t
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  • La coronafolie continue
    La Californie permettra aux adolescents de vacciner sans le consentement parental

    42 minutes
    Infiltration en ligne : Avec l’intention, la Californie permettra aux adolescents de vacciner sans le consentement parental

    Le sénateur Scott Wiener, de la Californie, a déposé jeudi un projet de loi au niveau des États qui permettrait aux enfants de 12 ans et plus de recevoir un vaccin approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) sans le consentement ou l’avis des parents, a déclaré Newsmax le 21 janvier.

    Le projet de loi se lit comme suit : « Les mineurs âgés de 12 ans ou plus peuvent accepter de recevoir la LAD. . .vaccin approuvé et se conformer aux recommandations du Comité consultatif sur l’immunisation des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) (Comité consultatif sur les pratiques d’imagerie) sans le consentement des parents ou des tuteurs du mineur.

    Dans un communiqué annonçant le projet de loi, Wiener a déclaré : "Le projet de loi donne à ces enfants" l’autonomie "pour recevoir des vaccins qui pourraient sauver leurs vies... indépendamment des croyances de leurs parents ou le calendrier de travail, qui est essentiel à leur santé physique et mentale."

    "Le virus chinois est un virus mortel pour ceux qui ne sont pas vaccinés," a déclaré Wiener. "Tant d’adolescents veulent se faire vacciner afin qu’ils puissent mener une vie plus normale - faire du sport ou des groupes, voyager, aller à la maison d’un ami." Les parents étaient accusés d’avoir empêché leurs enfants de se faire vacciner pour des raisons politiques ou temporelles. « Les adolescents non vaccinés rendent également les écoles dangereuses et menacent notre capacité de garder les écoles ouvertes. Dans des États comme l’Alabama et la Caroline du Sud, les adolescents peuvent se faire vacciner sans le consentement des parents. Les jeunes Californiens devraient également avoir le droit de se maintenir en santé et en sécurité. »

    La Loi permet non seulement aux jeunes de se vacciner contre le virus, mais aussi contre d’autres maladies comme la rougeole (vaccins).

    Selon le CDC, 63,3% (210 millions) des Américains sont entièrement vaccinés. Près de 14 millions d’enfants âgés de 12 à 17 ans ont été entièrement vaccinés, ce qui représente 6,6 % de la population nationale. En Californie, 27,3 millions de personnes âgées de 5 ans et plus ont été entièrement vaccinées, dont 3,1 millions sont des adolescents âgés de 12 à 17 ans. Selon l’État, sur la population totale de 38,9 millions d’habitants, 3,3 millions ont reçu au moins une dose du vaccin.
    La coronafolie continue La Californie permettra aux adolescents de vacciner sans le consentement parental 42 minutes Infiltration en ligne : Avec l’intention, la Californie permettra aux adolescents de vacciner sans le consentement parental Le sénateur Scott Wiener, de la Californie, a déposé jeudi un projet de loi au niveau des États qui permettrait aux enfants de 12 ans et plus de recevoir un vaccin approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) sans le consentement ou l’avis des parents, a déclaré Newsmax le 21 janvier. Le projet de loi se lit comme suit : « Les mineurs âgés de 12 ans ou plus peuvent accepter de recevoir la LAD. . .vaccin approuvé et se conformer aux recommandations du Comité consultatif sur l’immunisation des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) (Comité consultatif sur les pratiques d’imagerie) sans le consentement des parents ou des tuteurs du mineur. Dans un communiqué annonçant le projet de loi, Wiener a déclaré : "Le projet de loi donne à ces enfants" l’autonomie "pour recevoir des vaccins qui pourraient sauver leurs vies... indépendamment des croyances de leurs parents ou le calendrier de travail, qui est essentiel à leur santé physique et mentale." "Le virus chinois est un virus mortel pour ceux qui ne sont pas vaccinés," a déclaré Wiener. "Tant d’adolescents veulent se faire vacciner afin qu’ils puissent mener une vie plus normale - faire du sport ou des groupes, voyager, aller à la maison d’un ami." Les parents étaient accusés d’avoir empêché leurs enfants de se faire vacciner pour des raisons politiques ou temporelles. « Les adolescents non vaccinés rendent également les écoles dangereuses et menacent notre capacité de garder les écoles ouvertes. Dans des États comme l’Alabama et la Caroline du Sud, les adolescents peuvent se faire vacciner sans le consentement des parents. Les jeunes Californiens devraient également avoir le droit de se maintenir en santé et en sécurité. » La Loi permet non seulement aux jeunes de se vacciner contre le virus, mais aussi contre d’autres maladies comme la rougeole (vaccins). Selon le CDC, 63,3% (210 millions) des Américains sont entièrement vaccinés. Près de 14 millions d’enfants âgés de 12 à 17 ans ont été entièrement vaccinés, ce qui représente 6,6 % de la population nationale. En Californie, 27,3 millions de personnes âgées de 5 ans et plus ont été entièrement vaccinées, dont 3,1 millions sont des adolescents âgés de 12 à 17 ans. Selon l’État, sur la population totale de 38,9 millions d’habitants, 3,3 millions ont reçu au moins une dose du vaccin.
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  • Nouvel article sur La Plume du Citoyen


    En arriver à cette situation, c’est grave
    par laplumeducitoyen

    Comment nous, citoyens français, pouvons tolérer que nos médecins de famille, ceux qui nous connaissent, nous soignent depuis de nombreuses années après, pour beaucoup d'entre eux, avoir pris soin de nos parents soient traités ainsi par des politiques ne disposant d'aucune compétence en matière médicale, s'arrogeant le droit de nous infliger des obligations dont pour bon nombre sont contraires aux lois et règlements qui régissent nos vies ?
    https://laplumeducitoyen.org/2021/12/30/violation-du-droit/
    https://laplumeducitoyen.org/2021/12/30/violation-du-droit-suite/

    "Lettre ouverte d'un médecin français « suspendu » aux Conseils de l’Ordre des Médecins"

    "Au Dr BOUET Patrick, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 4, rue Léon Jost, 75855 PARIS Cedex 17

    Dr DEVYS Pierre-Yves, Président du Conseil Régional Ile-de-France de l’Ordre des Médecins, 9, rue Borromée, 75015 PARIS

    Dr THERON Patrick, 4, rue Octave du Mesnil, 94000 CRETEIL

    Le 18/12/2021

    Messieurs et chers confrères : rendons-la médecine aux médecins

    Messieurs et chers confrères,

    Je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exhorter à réagir face à l’incurie gouvernementale. Cette mascarade de politique prétendument sanitaire que nous, français, vivons n’a que trop duré et je pense que le conseil national de l’Ordre des Médecins a toute sa place pour rappeler à l’Etat le rôle du médecin.

    Je tiens tout d’abord à vous rappeler vos devoirs envers les médecins. Vous avez pour mission de « défendre l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française ». Vous êtes les « garant[s] de la relation médecin-patient ».

    Depuis la loi honteuse du 5 août 2021, vous acceptez que l’agence régionale de santé outrepasse ses fonctions et soumette les médecins libéraux. Pourquoi acceptez-vous que cette entité administrative boursouflée interdise aux médecins d’exercer ?

    L’Etat français s’est arrogé, en opposition complète avec le serment d’Hippocrate, la déclaration de Genève de 1948, l’article 36 du code de déontologie médicale, les articlesR4127-36 et L1122-1 du code de santé publique, l’article 16-1 du Code civil français, le code de Nuremberg de 1947, l’article 25 de la déclaration d’Helsinki de 1996, les articles 5 et 16 de la convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997, l’article L1111-4 de la loi Kouchner de 2002, l’arrêt Salvetti de 2002, l’article 3 de la directive européenne 2001/20/CE, le droitd’imposer lâchement un traitement expérimental à base d’ARN messager au peuple français.

    Un confrère du conseil m’a obligeamment indiqué en août dernier qu’il était de son devoir de me convaincre d’accepter cette « vaccination ». Je vous rappelle qu’en vertu des textes de lois cités et en tant que personne majeure, non soumise à tutelle ou curatelle, j’ai le droit de décider de mon intérêt à participer ou non à des essais de phase 3 dont la fin est prévue le 27 octobre 2022 pour le laboratoire Moderna et le 15 mai 2023 pour le laboratoire Pfizer. Si l’Etat français me refuse ce droit, pourquoi m’a-t-il donc donné des diplômes de docteur en médecine et de spécialiste en dermatologie et vénéréologie en 2016 et m’a donc par ce biais autorisé à prendre des décisions pour la santé de mes patients ? Serais-je devenue, sans que personne ne m’en ait informé, une mineure perpétuelle ?

    La situation est grave car le gouvernement actuel, qui n’a pas conscience des limites de son pouvoir, cherche à nous retirer, à nous, médecins, notre capacité de décider des traitements que nous administrons à nos patients. Il a également émis une liste limitative des contre-indications à l’injection d’ARN messager. Cela signifie-t-il que les médecins n’ont plus de légitimité à faire valoir leur art et leur expérience ?

    Un médecin a-t-il le droit d’injecter un traitement expérimental à une personne alors même qu’il a conscience que le consentement de cette personne a pu lui être extorqué par l’Etat ? Notre serment d’Hippocrate ne nous enjoint-il pas à ne pas exploiter « [notre] pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences » ? Qu’en est-il alors des corps ? Le médecin aurait maintenant le droit de forcer les corps ? Jamais vous ne me convaincrez de cette ineptie.

    Alors que les pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique ont laissé l’hubris présidentielle se déchaîner et l’ont même parfois encouragée, je pense que le médecin, conscient qu’il est des limites de son art, doit affirmer le principe de sacralité du corps humain.

    Sommes-nous encore des médecins si nous acceptons d’être les instruments de cet Etat ? N’avez-vous pas conscience que l’Etat veut faire des médecins des techniciens médicaux sans âme ?

    Avez-vous conscience que le gouvernement qui utilise actuellement l’autorité des médecins pour imposer des restrictions de tous ordres utilisera demain, dès que le vent tournera, les médecins comme boucs-émissaires ?

    Je pense que nous risquons de perdre définitivement la confiance des Français.

    Nous avons collectivement montré notre refus de traiter dans les meilleurs délais les personnes atteintes de la maladie à SARS-CoV-2.

    Nous avons abandonné les patients non atteints de la maladie à SARS-CoV-2.

    Nous nous sommes réfugiés derrière nos écrans, avec la téléconsultation, alors même qu’une nouvelle maladie inconnue était à définir.

    Nous avons montré notre incapacité à nous opposer au viol du consentement des Français.

    Nous avons montré notre incapacité à évaluer correctement les bénéfices et les risques de l’injection d’ARN messager.

    Nous avons montré notre mépris du principe de précaution, notamment pour les enfants, les adolescents et les femmes enceintes alors même que l’histoire de notre discipline regorge d’exemples sordides incitant à la prudence.

    Nous avons montré notre incapacité à rapporter efficacement les effets indésirables de l’injection d’ARN messager aux services de pharmacovigilance.

    Nous avons montré notre incapacité à défendre les infirmières, les aides-soignantes et tous les autres soignants.

    Quel exemple donnons-nous aux jeunes étudiants en médecine ?

    Que ferons-nous demain quand l’étendue des complications de l’injection d’ARN messager sur les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, les personnes âgées et surtout les femmes enceintes sera révélée ? Que dirons-nous durant les procès qui s’annoncent pour les décennies à venir ? Pensez-vous réellement que les hommes politiques nous protégerons ?

    Enfin, je pense qu’il est temps pour le conseil de l’Ordre des médecins d’exiger du gouvernement le respect qui nous est dû et de retirer du code de la santé publique la loi n°2021-1040 du 5 août 2021 dont l’article L3136-1 menace d’emprisonnement les médecins et soignants qui exercent sans avoir au préalable participé aux études de phase 3 des laboratoires Pfizer et Moderna.

    Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie d’agréer, Messieurs et chers confrères, l’expression de ma considération distinguée.

    Docteur Zineb Deheb"

    Source : https://lesakerfrancophone.fr/lettre-ouverte-dun-medecin-francais-suspendu-aux-conseils-de-lordre-des-medecins
    laplumeducitoyen | 3 janvier 2022 à 8 h 22 min | Catégories : Non classé | URL : https://wp.me/pc48wG-yq
    Nouvel article sur La Plume du Citoyen En arriver à cette situation, c’est grave par laplumeducitoyen Comment nous, citoyens français, pouvons tolérer que nos médecins de famille, ceux qui nous connaissent, nous soignent depuis de nombreuses années après, pour beaucoup d'entre eux, avoir pris soin de nos parents soient traités ainsi par des politiques ne disposant d'aucune compétence en matière médicale, s'arrogeant le droit de nous infliger des obligations dont pour bon nombre sont contraires aux lois et règlements qui régissent nos vies ? https://laplumeducitoyen.org/2021/12/30/violation-du-droit/ https://laplumeducitoyen.org/2021/12/30/violation-du-droit-suite/ "Lettre ouverte d'un médecin français « suspendu » aux Conseils de l’Ordre des Médecins" "Au Dr BOUET Patrick, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 4, rue Léon Jost, 75855 PARIS Cedex 17 Dr DEVYS Pierre-Yves, Président du Conseil Régional Ile-de-France de l’Ordre des Médecins, 9, rue Borromée, 75015 PARIS Dr THERON Patrick, 4, rue Octave du Mesnil, 94000 CRETEIL Le 18/12/2021 Messieurs et chers confrères : rendons-la médecine aux médecins Messieurs et chers confrères, Je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exhorter à réagir face à l’incurie gouvernementale. Cette mascarade de politique prétendument sanitaire que nous, français, vivons n’a que trop duré et je pense que le conseil national de l’Ordre des Médecins a toute sa place pour rappeler à l’Etat le rôle du médecin. Je tiens tout d’abord à vous rappeler vos devoirs envers les médecins. Vous avez pour mission de « défendre l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française ». Vous êtes les « garant[s] de la relation médecin-patient ». Depuis la loi honteuse du 5 août 2021, vous acceptez que l’agence régionale de santé outrepasse ses fonctions et soumette les médecins libéraux. Pourquoi acceptez-vous que cette entité administrative boursouflée interdise aux médecins d’exercer ? L’Etat français s’est arrogé, en opposition complète avec le serment d’Hippocrate, la déclaration de Genève de 1948, l’article 36 du code de déontologie médicale, les articlesR4127-36 et L1122-1 du code de santé publique, l’article 16-1 du Code civil français, le code de Nuremberg de 1947, l’article 25 de la déclaration d’Helsinki de 1996, les articles 5 et 16 de la convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997, l’article L1111-4 de la loi Kouchner de 2002, l’arrêt Salvetti de 2002, l’article 3 de la directive européenne 2001/20/CE, le droitd’imposer lâchement un traitement expérimental à base d’ARN messager au peuple français. Un confrère du conseil m’a obligeamment indiqué en août dernier qu’il était de son devoir de me convaincre d’accepter cette « vaccination ». Je vous rappelle qu’en vertu des textes de lois cités et en tant que personne majeure, non soumise à tutelle ou curatelle, j’ai le droit de décider de mon intérêt à participer ou non à des essais de phase 3 dont la fin est prévue le 27 octobre 2022 pour le laboratoire Moderna et le 15 mai 2023 pour le laboratoire Pfizer. Si l’Etat français me refuse ce droit, pourquoi m’a-t-il donc donné des diplômes de docteur en médecine et de spécialiste en dermatologie et vénéréologie en 2016 et m’a donc par ce biais autorisé à prendre des décisions pour la santé de mes patients ? Serais-je devenue, sans que personne ne m’en ait informé, une mineure perpétuelle ? La situation est grave car le gouvernement actuel, qui n’a pas conscience des limites de son pouvoir, cherche à nous retirer, à nous, médecins, notre capacité de décider des traitements que nous administrons à nos patients. Il a également émis une liste limitative des contre-indications à l’injection d’ARN messager. Cela signifie-t-il que les médecins n’ont plus de légitimité à faire valoir leur art et leur expérience ? Un médecin a-t-il le droit d’injecter un traitement expérimental à une personne alors même qu’il a conscience que le consentement de cette personne a pu lui être extorqué par l’Etat ? Notre serment d’Hippocrate ne nous enjoint-il pas à ne pas exploiter « [notre] pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences » ? Qu’en est-il alors des corps ? Le médecin aurait maintenant le droit de forcer les corps ? Jamais vous ne me convaincrez de cette ineptie. Alors que les pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique ont laissé l’hubris présidentielle se déchaîner et l’ont même parfois encouragée, je pense que le médecin, conscient qu’il est des limites de son art, doit affirmer le principe de sacralité du corps humain. Sommes-nous encore des médecins si nous acceptons d’être les instruments de cet Etat ? N’avez-vous pas conscience que l’Etat veut faire des médecins des techniciens médicaux sans âme ? Avez-vous conscience que le gouvernement qui utilise actuellement l’autorité des médecins pour imposer des restrictions de tous ordres utilisera demain, dès que le vent tournera, les médecins comme boucs-émissaires ? Je pense que nous risquons de perdre définitivement la confiance des Français. Nous avons collectivement montré notre refus de traiter dans les meilleurs délais les personnes atteintes de la maladie à SARS-CoV-2. Nous avons abandonné les patients non atteints de la maladie à SARS-CoV-2. Nous nous sommes réfugiés derrière nos écrans, avec la téléconsultation, alors même qu’une nouvelle maladie inconnue était à définir. Nous avons montré notre incapacité à nous opposer au viol du consentement des Français. Nous avons montré notre incapacité à évaluer correctement les bénéfices et les risques de l’injection d’ARN messager. Nous avons montré notre mépris du principe de précaution, notamment pour les enfants, les adolescents et les femmes enceintes alors même que l’histoire de notre discipline regorge d’exemples sordides incitant à la prudence. Nous avons montré notre incapacité à rapporter efficacement les effets indésirables de l’injection d’ARN messager aux services de pharmacovigilance. Nous avons montré notre incapacité à défendre les infirmières, les aides-soignantes et tous les autres soignants. Quel exemple donnons-nous aux jeunes étudiants en médecine ? Que ferons-nous demain quand l’étendue des complications de l’injection d’ARN messager sur les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, les personnes âgées et surtout les femmes enceintes sera révélée ? Que dirons-nous durant les procès qui s’annoncent pour les décennies à venir ? Pensez-vous réellement que les hommes politiques nous protégerons ? Enfin, je pense qu’il est temps pour le conseil de l’Ordre des médecins d’exiger du gouvernement le respect qui nous est dû et de retirer du code de la santé publique la loi n°2021-1040 du 5 août 2021 dont l’article L3136-1 menace d’emprisonnement les médecins et soignants qui exercent sans avoir au préalable participé aux études de phase 3 des laboratoires Pfizer et Moderna. Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie d’agréer, Messieurs et chers confrères, l’expression de ma considération distinguée. Docteur Zineb Deheb" Source : https://lesakerfrancophone.fr/lettre-ouverte-dun-medecin-francais-suspendu-aux-conseils-de-lordre-des-medecins laplumeducitoyen | 3 janvier 2022 à 8 h 22 min | Catégories : Non classé | URL : https://wp.me/pc48wG-yq
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    Violation du droit
    La politique menée depuis mars 2020 enfreint nombre de principes et règles en droit international, européen et français. Le gouvernement, sous la houlette du président de la République, s’en …
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  • Les experts japonais mettent en garde : les vaccins présentent un risque de décès 7 fois plus élevé pour les jeunes que la COVID.

    Si des enfants, des adolescents et des personnes âgées de 20 ans sont infectés, l’infection est également naturellement bénigne ou asymptomatique, selon la revue de médecine japonaise Med Check. Il est ridicule d’envisager la vaccination des écoliers.

    Un bulletin médical japonais avertit que les vaccins CONTRE LA COVID présentent au moins sept fois plus de risques de décès pour les personnes de 20 ans que le virus lui-même.

    Le dernier numéro de Med Check, un bulletin bimestriel publié par l’Institut japonais de pharmacovigilance (NOPJIP), membre de l’International Society of Drug Bulletins (ISDB), indique que le risque de décès par vaccination peut être jusqu’à 40 fois plus élevé pour les jeunes.
    Les experts japonais mettent en garde : les vaccins présentent un risque de décès 7 fois plus élevé pour les jeunes que la COVID. Si des enfants, des adolescents et des personnes âgées de 20 ans sont infectés, l’infection est également naturellement bénigne ou asymptomatique, selon la revue de médecine japonaise Med Check. Il est ridicule d’envisager la vaccination des écoliers. Un bulletin médical japonais avertit que les vaccins CONTRE LA COVID présentent au moins sept fois plus de risques de décès pour les personnes de 20 ans que le virus lui-même. Le dernier numéro de Med Check, un bulletin bimestriel publié par l’Institut japonais de pharmacovigilance (NOPJIP), membre de l’International Society of Drug Bulletins (ISDB), indique que le risque de décès par vaccination peut être jusqu’à 40 fois plus élevé pour les jeunes.
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  • Étude allemande : pas un seul enfant en bonne santé entre 5 et 18 ans ne meurt de COVID

    Néanmoins, le pays souhaite promouvoir la vaccination des enfants.

    Une étude menée par des chercheurs en Allemagne a révélé qu'aucun enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n'est décédé du COVID-19 au cours des 15 premiers mois de la pandémie.

    "Dans l'ensemble, l'exposition associée au SRAS-CoV-2 à une maladie grave ou à la mort chez les enfants et les adolescents est faible" , rapportent les scientifiques .

    "Cela semble être particulièrement vrai pour les enfants de 5 à 11 ans sans comorbidités."

    Bien que COVID n'ait causé aucun décès chez les enfants en bonne santé âgés de 5 à 18 ans, seuls six enfants et adolescents ayant déjà souffert de maladies sont décédés dans ce groupe d'âge.

    La fréquence à laquelle un enfant a dû être hospitalisé pour COVID était également de 1 sur 50 000.

    Entre mars 2020 et mai 2021, un total de huit nourrissons et tout-petits sont décédés, dont cinq avec des maladies antérieures, de sorte qu'un total de 14 Allemands de moins de 18 ans sont décédés du COVID au cours de cette période de 15 mois.

    Les chiffres sont comparables à ceux du Royaume-Uni, où seuls six enfants en bonne santé sur 12 millions sont morts du COVID-19.

    "Compte tenu des risques connus de myocardite d'origine vaccinale chez les jeunes hommes et du fait que Pfizer a testé ses vaccins à ARNm sur à peine 3 000 enfants âgés de 5 à 11 ans et observé la plupart d'entre eux quelques semaines seulement après la deuxième dose, le Les données allemandes soulèvent à nouveau la question de savoir comment les autorités sanitaires peuvent justifier d'encourager les enfants ou les adolescents à vacciner », écrit Alex Berenson.

    "Si vous vaccinez votre enfant ou adolescent en bonne santé avec le vaccin ARNm Covid, vous êtes fou", ajoute-t-il.

    Malgré les résultats de l'étude, l'Allemagne devrait proposer un vaccin aux enfants de moins de 12 ans au cours du premier trimestre 2022.

    Ceci est susceptible de devenir obligatoire car le pays a un plan draconien pour rendre la vaccination obligatoire pour les adultes à partir de février de l'année prochaine.

    SOURCE : HTTPS://CDN.SUMMIT.NEWS/2021/12/061221GERMANY1.JPG
    Étude allemande : pas un seul enfant en bonne santé entre 5 et 18 ans ne meurt de COVID Néanmoins, le pays souhaite promouvoir la vaccination des enfants. Une étude menée par des chercheurs en Allemagne a révélé qu'aucun enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n'est décédé du COVID-19 au cours des 15 premiers mois de la pandémie. "Dans l'ensemble, l'exposition associée au SRAS-CoV-2 à une maladie grave ou à la mort chez les enfants et les adolescents est faible" , rapportent les scientifiques . "Cela semble être particulièrement vrai pour les enfants de 5 à 11 ans sans comorbidités." Bien que COVID n'ait causé aucun décès chez les enfants en bonne santé âgés de 5 à 18 ans, seuls six enfants et adolescents ayant déjà souffert de maladies sont décédés dans ce groupe d'âge. La fréquence à laquelle un enfant a dû être hospitalisé pour COVID était également de 1 sur 50 000. Entre mars 2020 et mai 2021, un total de huit nourrissons et tout-petits sont décédés, dont cinq avec des maladies antérieures, de sorte qu'un total de 14 Allemands de moins de 18 ans sont décédés du COVID au cours de cette période de 15 mois. Les chiffres sont comparables à ceux du Royaume-Uni, où seuls six enfants en bonne santé sur 12 millions sont morts du COVID-19. "Compte tenu des risques connus de myocardite d'origine vaccinale chez les jeunes hommes et du fait que Pfizer a testé ses vaccins à ARNm sur à peine 3 000 enfants âgés de 5 à 11 ans et observé la plupart d'entre eux quelques semaines seulement après la deuxième dose, le Les données allemandes soulèvent à nouveau la question de savoir comment les autorités sanitaires peuvent justifier d'encourager les enfants ou les adolescents à vacciner », écrit Alex Berenson. "Si vous vaccinez votre enfant ou adolescent en bonne santé avec le vaccin ARNm Covid, vous êtes fou", ajoute-t-il. Malgré les résultats de l'étude, l'Allemagne devrait proposer un vaccin aux enfants de moins de 12 ans au cours du premier trimestre 2022. Ceci est susceptible de devenir obligatoire car le pays a un plan draconien pour rendre la vaccination obligatoire pour les adultes à partir de février de l'année prochaine. SOURCE : HTTPS://CDN.SUMMIT.NEWS/2021/12/061221GERMANY1.JPG
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  • Le sénateur Ed Markey à Mark Zuckerberg : "Votre période d'atteinte à la vie privée, de promotion de contenus toxiques et de prédation des enfants et des adolescents est terminée. Le Congrès va prendre des mesures". #NousSavons #NousSommesDesMillions
    Le sénateur Ed Markey à Mark Zuckerberg : "Votre période d'atteinte à la vie privée, de promotion de contenus toxiques et de prédation des enfants et des adolescents est terminée. Le Congrès va prendre des mesures". #NousSavons #NousSommesDesMillions
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