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  • Rapport Condon

    Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force.

    Travaux:

    Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ».

    Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre

    Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type.

    Le contexte:

    Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain.

    Les principaux résultats de l’équipe Condon

    Analyse de la photo de McMinnville:

    Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.»

    Une étude chahutée

    La réaction négative des partisans des ovnis:

    Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond.

    Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport.

    Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ».

    La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain:

    Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire.

    James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête.

    Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes.

    Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles.

    Source: Wikipedia
    Rapport Condon Le rapport Condon est le nom usuel du rapport du projet OVNI de l’université du Colorado. Ce projet a étudié les Objets Volants Non Identifiés de 1966 à 1968 sous la direction du physicien Edward Condon et a rendu son rapport en 1968. Il a été initié à la demande de l’US Air Force. Travaux: Après examen de plusieurs centaines de dossiers du Projet Blue Book et de certains groupes civils sur la recherche d’OVNI, le comité en a sélectionné 56 pour une analyse détaillée afin, d’une part, de déterminer si « l’analyse de nouvelles observations peut permettre d’augmenter les connaissances scientifiques utiles pour l’US air force » et, d’autre part, « de tirer des rapports sur les OVNI toute contribution pouvant être considérée comme un accroissement des connaissances scientifiques. ». Le rapport final, officiellement titré L’étude scientifique des Objets Volants Non Identifiés mais plus connu sous le nom de rapport Condon a été publié en 1968. Il a conclu « que l’étude des OVNI durant ces vingt et une dernières années n’a rien apporté à la connaissance scientifique [et] que d’autres études approfondies des OVNI ne peuvent probablement pas se justifier par l’espoir qu’elles pourraient faire progresser la science »et que certains scientifiques n’accepteraient pas sans sourciller la conclusion que l’étude des rapports OVNI n’est pas à même de faire avancer la science. En particulier le comité a conclu à des lacunes dans les domaines de l’optique atmosphérique, de la propagation d’ondes radio et d’électricité atmosphérique qui pourraient bénéficier des travaux effectués par le comité Condon. Ils concluent, d’autre part, que l’étude des 56 cas n’a pas apporté de preuves sur la réalité des ovnis ou sur l’hypothèse extraterrestre Le rapport a été relu par un panel de l’Académie des Sciences des États-Unis qui l’a validé, ainsi que ses conclusions et ses recommandations. Le rapport Condon reste donc encore aujourd’hui un document fondateur de l’approche sceptique du phénomène ovni. Il faut toutefois remarquer que l’Académie des Sciences ne s’était nullement intéressée aux ovnis et que sa consultation était une initiative de l’armée de l’air qui tenta ainsi de cacher les lacunes de ce travail. Les responsables de la censure de l’USAF craignaient en effet les conséquences d’un symposium devant réunir les scientifiques opposés à la thèse de Condon, symposium au cours duquel le travail de l’Université du Colorado aurait été vivement critiqué. En définitive, le rapport Condon n’a de valeur que pour ceux qui n’ont jamais analysé le travail effectué et la méthodologie mise en œuvre. Cette étude scientifique publique était la plus chère (500 000 dollars) consacrée à un sujet de ce type. Le contexte: Après les différentes commissions chargées de cette étude, l’U.S. Air Force fait savoir que rien ne permet de croire à l’existence d’une menace pour la sécurité des États-unis. Par menace, on entend d’hypothétiques vaisseaux extra-terrestres ou une arme secrète soviétique. Certains soupçonnèrent les officiels de cacher la vérité. Le président Truman démentit de telles hypothèses développées dans les médias. Pour certains, son intervention était la preuve d’une « conspiration du silence »; pour d’autres, elle ne fit qu’encourager le développement de thèses paranoïaques. Ce fut alors que les militaires se débarrassèrent du problème en le confiant à un organisme universitaire, ayant l’image de neutralité pour le public américain. Les principaux résultats de l’équipe Condon Analyse de la photo de McMinnville: Cette autorité scientifique a par exemple conclu, à propos de la photographie prise à McMinnville (11 mai 1950, Oregon), que « tous les facteurs étudiés, géométriques, psychologiques et physiques paraissent être cohérents avec l’assertion d’un objet volant extraordinaire, argenté, métallique, en forme de disque, de dizaines de mètres de diamètre, et évidemment artificiel, qui volait à portée de vue des deux témoins. On ne peut dire que les éléments excluent catégoriquement une fabrication, bien qu’il y ait des facteurs physiques tels que la précision de certaines mesures photométriques des négatifs d’origine qui arguent contre une fabrication.» Une étude chahutée La réaction négative des partisans des ovnis: Alors que quatre-vingt-dix-sept pour cent des observations avaient été expliquées par le projet blue book, les conclusions scientifiques identiques formulées par le rapport Condon ne plurent pas aux partisans de la thèse extraterrestre, lesquels, au lieu d’apporter des preuves scientifiques, recherchèrent la possibilité d’un biais et déclenchèrent la polémique axée sur la forme plutôt que le fond. Le psychologue David Saunders divulgue une note interne de l’administrateur de la commission, Robert Low, de 1966, précisant « Notre étude sera conduite exclusivement par des personnes qui n’y croient pas et qui, bien qu’elles ne pourront probablement pas prouver un résultat négatif, pourront fournir un ensemble impressionnant de preuves qu’il n’y a aucune réalité dans les observations. Le truc serait, je le pense, de présenter le projet de telle manière que pour le public, il apparaisse comme une étude tout à fait objective alors que, pour la communauté scientifique, il présenterait l’image d’un groupe de sceptiques faisant de leur mieux pour être objectifs mais avec un espoir pratiquement nul de trouver une soucoupe ». Cette note sortira dans la presse en avril 1968 et mènera à une polémique sur l’objectivité du rapport. Le magazine Look publie en mai 1968 un article virulent contre Condon et l’armée de l’air, et Frank Drake presse le président de l’Académie des sciences de condamner le futur rapport Condon, tandis que le député Edward Roush demande une enquête à la Chambre des représentants. L’Académie des sciences valide l’étude scientifique mais l’Institut américain de l’aéronautique et de l’astronautique (AIAA) estime que « la conclusion inverse aurait pu être déduite de son contenu, c’est-à-dire qu’un phénomène avec un ratio aussi élevé de cas inexpliqués (environ 15 %) devrait produire assez de curiosité scientifique pour continuer son étude ». À l’examen des courriers entre Robert Low et l’U.S.Air Force en vue de la signature du contrat les liant, apparaît le mot trick , mot signifiant aussi bien « astuce » que « fraude ou procédé malhonnête ». La négociation du contrat entre l’université du Colorado et le gouvernement américain: Craignant de se faire ridiculiser par la communauté scientifique (les histoires de soucoupes et de Martiens n’avaient pas bonne presse à l’époque) , Robert Low et Edward U.Condon négocièrent le contrat de manière à trouver une formulation assez habile pour que leur objectivité ne soit pas mise en doute et qu’ils ne soient pas la risée du monde universitaire. James Mac Donald reçut copie de ces documents, par l’intermédiaire de David Saunders et Levine, et fit une campagne de presse en interprétant le mot « trick » , l’astuce de formulation visant à éviter de ridiculiser des scientifiques, comme une fraude ou procédé malhonnête. Le précédent de la commission Warren, où l’on suspecte les commanditaires de l’assassinat de John Kennedy d’avoir voulu étouffer l’affaire, a laissé penser certains que d’autres commissions auraient pu avoir été truquées mais là pour des raisons moins évidentes. Les partisans des ovnis avancèrent l’idée, c’est la théorie du complot, que le gouvernement américain collaborait avec les extra-terrestres dans des bases secrètes afin de confectionner des engins nouveaux et des armes nouvelles. Source: Wikipedia
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  • Que voulez-vous dire vraiment quand vous parlez de « vivre avec le Covid »

    Pourquoi les médias passent à la vitesse supérieure sur l'hystérie Covid ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou est-ce une partie importante du processus d'éclairage au gaz ?

    Ces derniers jours, voire semaines, l'attitude des médias vis-à-vis de la « pandémie » de Covid a considérablement changé.

    Il y a eu de nombreux exemples de ce que l'on pourrait qualifier de « dissidence » si les médias n'étaient pas aussi étroitement contrôlés. Cependant, étant donné qu'ils sont étroitement contrôlés, nous devons parler d'un changement évident dans le message.

    Dr. Steve James, spécialiste en anesthésie, qui a confronté le ministre britannique de la Santé Sajid Javid à la faiblesse du fondement scientifique de la vaccination obligatoire. Incidemment, cela a été diffusé sur "Sky News":
    Il y a quelques jours, le Dr. Rochelle Walensky, directrice du CDC, s'est rendue à Good Morning America pour discuter de la vague "omicron", et a finalement souligné que la plupart des "décès d'omicron" ont de multiples comorbidités.

    Dans une autre interview avec Fox News , le Dr. Walenksy que le CDC publiera des données sur le nombre de personnes décédées de Covid et combien sont décédées de Covid.

    Cela soulève un certain nombre de questions importantes.

    Pourquoi le directeur du CDC se mêle-t-il (apparemment) de ces arguments des sceptiques du Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu'ils n'existaient pas ?
    Pourquoi Sky News diffuse-t-il un clip vidéo d'un médecin défiant le ministre de la Santé et le tweete-t-il ensuite ?
    Pourquoi le "Guardian" fait-il la une des journaux comme "Mettre fin aux coups de masse et vivre avec Covid, dit l'ex-chef du groupe de travail sur les vaccins " Traducteur] et cite le personnel médical qui dit qu'il faut « traiter le Covid comme la grippe » ?
    Pourquoi de nouvelles études sont-elles promues affirmant que les lymphocytes T du rhume « peuvent vous protéger du Covid » ?
    Le message et la décélération du récit ne peuvent être ignorés. Il y a un nouveau fil conducteur dans l'histoire : "Vivre avec le Covid".

    C'est un slogan populaire dans la presse occidentale depuis plus d'un mois.

    Le 1er décembre, "Forbes" titrait :

    Pourquoi l'endémie Covid-19 sera un motif de célébration

    L'article affirme, entre autres, que "le Covid-19 endémique [n'est] pas pire que la grippe saisonnière". Cette affirmation a été répétée ad nauseam dans divers médias.

    Nous avons mentionné l'article du Guardian du 8 janvier, mais il existe également un article antérieur du 5 décembre intitulé « De la pandémie à l'endémie : comment revenir à la normale » .

    "CNBC" a publié trois articles presque identiques sur le sujet en deux semaines :

    "La pandémie de Covid pourrait se terminer l'année prochaine, selon les experts - à quoi cela pourrait ressembler et comment les États-Unis pourraient y parvenir" - 9 décembre
    "La pandémie pourrait se terminer en 2022 - c'est à quoi pourrait bientôt ressembler la vie 'normale', selon les experts médicaux" - 15 décembre
    "Omicron pourrait se frayer un chemin à travers les États-Unis - et peut-être accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert" - 22 décembre
    Le jour de l'an, un article a été publié sur "Vox" avec le titre :

    Malgré Omicron, le Covid-19 deviendra endémique. C'est comme ça que ça marche.

    Bloomberg rapporte qu'Omicron signale « la fin de la phase aiguë de la pandémie » .

    Hier encore, le « New York Post » titrait : « COVID deviendra endémique cette année, prédit l'ancien chef du groupe de travail Biden », et « USA Today » a demandé : « La pandémie est en train de changer. Omicron apportera-t-il une 'nouvelle normalité' pour COVID-19 ? "

    Et "Channel 4" a déclaré aujourd'hui que "Covid en 2022" signifie "apprendre à vivre avec le virus".

    Le message n'est pas seulement basé sur les médias non plus. Selon certaines informations, « Vivre avec Covid » sera la stratégie du gouvernement britannique pour 2022 et une publication officielle sur le sujet est attendue « dans les prochaines semaines ».

    Le terme « vivre avec le virus » sera donc inclus dans le vocabulaire du Covid aux côtés des termes « aplatir la courbe » et « la nouvelle normalité ». Mais qu'est-ce que cela veut vraiment dire?

    Qu'entendez-vous vraiment par « vivre avec le Covid » ?

    Tout d'abord, il ne faut pas commettre l'erreur de faire confiance à un gouvernement, aux médias ou à un "expert" simplement parce qu'ils commencent à dire 20 % de la vérité.

    Ce sont des menteurs, ils ont un agenda, c'est toujours le cas - vous devez toujours en être conscient, même si - ou surtout si - ils vous disent tout d'un coup ce que vous voulez entendre.

    Ils n'ont pas vu la lumière, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne deviennent finalement pas raisonnables et ils ne changent pas de camp.

    Il n'y a pas de conversions à Damas. Il n'y a pas de vague de mauvaise conscience qui traverse l'élite.

    Vous avez un ordre du jour. Vous avez toujours un agenda.

    Vous devez également vous débarrasser de toute notion de « retour à la normale » de votre tête. Cela n'arrivera pas.

    Comment savons nous? Parce qu'ils l'ont dit.

    La moitié des articles qui traitent du sujet « Vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne vont pas vraiment changer. Prenez celui-ci paru dans le Guardian hier :

    « Vivre avec Covid » ne signifie pas nécessairement que toutes les mesures de protection sont jetées par-dessus bord

    Il précise que Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de masse chez les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et devraient éventuellement être interrompus - mais cela ne signifie pas un demi-tour avec des masques ou des vaccins et ouvre la porte à une nouvelle "variante" dans le avenir pour initier d'autres verrouillages :

    « Vivre avec le Covid » ne signifie pas nécessairement annuler toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent les effets des maladies respiratoires en hiver, c'est positif, même si le NHS n'est plus en danger immédiat de congestion. Nous devons également continuer à surveiller la menace de nouvelles variantes qui pourraient encore causer des revers majeurs. Rien ne garantit qu'une autre variante n'apparaîtra pas à l'avenir, plus infectieuse et virulente que l'Omicron. Les scientifiques affirment que le soutien à l'effort mondial de vaccination sera essentiel pour aider à sécuriser le chemin vers la normale.

    Les masques, le travail à domicile et la distanciation sociale dans des environnements très fréquentés pourraient tous rester « tangibles » selon l'un des articles « CNBC » mentionnés ci-dessus. Et "les rappels Covid pourraient être comme des vaccinations annuelles contre la grippe".

    En attendant , des « experts » préviennent qu'il faut se préparer à des « poussées » tous les trois ou quatre mois, même si le Covid est endémique.

    Il semble que "vivre avec le virus" signifie maintenir le statu quo, assouplir certaines restrictions, mais ouvrir la voie à de nouvelles vagues de peur de la pornographie si le besoin s'en fait sentir.

    Mais pourquoi? Pourquoi fais-tu ça maintenant ?

    Il se pourrait qu'il y ait des divisions et des factions, des ruptures dans les couloirs du pouvoir. Peut-être que certains membres du grand club veulent arrêter la pandémie là où c'est parce qu'ils craignent que tout nouveau progrès sur la voie de la "Big Reset" ne mette en danger leur propre position ou leur richesse.

    Peut-être.

    Ce que je pense est plus probable, c'est qu'ils sentent qu'ils se sont déjà trop penchés par la fenêtre et qu'une nouvelle expansion pourrait déchirer toute leur histoire en morceaux.

    Pour utiliser une métaphore frappante, pensez au programme de la Grande Réinitialisation comme à une armée d'invasion marchant à travers ville après ville, remportant bataille après bataille, brûlant tout dans le processus.

    À un moment donné, il arrive un moment où il faut s'arrêter. Vos lignes de ravitaillement sont serrées, vos hommes sont fatigués et en infériorité numérique, et les citoyens occupés résistent de plus en plus. Si vous continuez maintenant, toute votre campagne pourrait échouer.

    Dans une telle situation, retirez-vous dans une position défendable et sécurisez-la. Vous ne rendez pas la terre que vous avez conquise, du moins pas beaucoup, mais vous arrêtez d'aller plus loin.

    Les gens dont vous avez envahi les terres seront heureux que la guerre soit terminée, ils seront fatigués de se battre, ils seront soulagés d'avoir un répit avant de réaliser combien de leurs terres vous leur avez volées. Peut-être même disent-ils : « Qu'ils le gardent tant qu'ils cessent de nous attaquer ».

    C'est ainsi que la conquête a fonctionné depuis l'époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d'attaques suivi de fortifications.

    Si nous passons de « pandémie » à « endémie », nous ne récupérerons pas nos droits, les dossiers de vaccination, la surveillance et la culture de la paranoïa et de la peur resteront, mais les gens seront tellement soulagés que la campagne de peur et de propagande s'arrêtera, que ils arrêtent de riposter.

    Vous ne riposterez pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement cela : normal.

    Ils donneront probablement même le feu vert à tout ce que Bill Gates veut faire pour s'assurer que "Covid est la dernière pandémie" .

    Et puis, un jour, quand les gens seront à nouveau gentils et dociles, une nouvelle variante reviendra, ou nous aurons besoin d'un « verrou climatique » et l'envie de contrôler chaque aspect de notre vie recommencera pour de bon.

    Le mieux que nous puissions faire est de ne pas tomber dans ce piège.

    La presse, les politiques et les grandes sociétés pharmaceutiques n'ont pas tous vu la vérité, ils utilisent juste des petits morceaux de vérité qu'ils ont ignorés pendant deux ans pour renforcer leur position.

    Mais cela n'en fait pas une mauvaise chose.

    Le simple fait qu'ils sentent qu'ils doivent le faire montre qu'une résistance se forme et qu'ils essaient de nous endormir dans la relaxation.

    Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre.

    SOURCE : CE QU'ILS ENTENDENT VRAIMENT PAR « VIVRE AVEC LE COVID »
    TRADUCTION : AXEL
    Que voulez-vous dire vraiment quand vous parlez de « vivre avec le Covid » Pourquoi les médias passent à la vitesse supérieure sur l'hystérie Covid ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou est-ce une partie importante du processus d'éclairage au gaz ? Ces derniers jours, voire semaines, l'attitude des médias vis-à-vis de la « pandémie » de Covid a considérablement changé. Il y a eu de nombreux exemples de ce que l'on pourrait qualifier de « dissidence » si les médias n'étaient pas aussi étroitement contrôlés. Cependant, étant donné qu'ils sont étroitement contrôlés, nous devons parler d'un changement évident dans le message. Dr. Steve James, spécialiste en anesthésie, qui a confronté le ministre britannique de la Santé Sajid Javid à la faiblesse du fondement scientifique de la vaccination obligatoire. Incidemment, cela a été diffusé sur "Sky News": Il y a quelques jours, le Dr. Rochelle Walensky, directrice du CDC, s'est rendue à Good Morning America pour discuter de la vague "omicron", et a finalement souligné que la plupart des "décès d'omicron" ont de multiples comorbidités. Dans une autre interview avec Fox News , le Dr. Walenksy que le CDC publiera des données sur le nombre de personnes décédées de Covid et combien sont décédées de Covid. Cela soulève un certain nombre de questions importantes. Pourquoi le directeur du CDC se mêle-t-il (apparemment) de ces arguments des sceptiques du Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu'ils n'existaient pas ? Pourquoi Sky News diffuse-t-il un clip vidéo d'un médecin défiant le ministre de la Santé et le tweete-t-il ensuite ? Pourquoi le "Guardian" fait-il la une des journaux comme "Mettre fin aux coups de masse et vivre avec Covid, dit l'ex-chef du groupe de travail sur les vaccins " Traducteur] et cite le personnel médical qui dit qu'il faut « traiter le Covid comme la grippe » ? Pourquoi de nouvelles études sont-elles promues affirmant que les lymphocytes T du rhume « peuvent vous protéger du Covid » ? Le message et la décélération du récit ne peuvent être ignorés. Il y a un nouveau fil conducteur dans l'histoire : "Vivre avec le Covid". C'est un slogan populaire dans la presse occidentale depuis plus d'un mois. Le 1er décembre, "Forbes" titrait : Pourquoi l'endémie Covid-19 sera un motif de célébration L'article affirme, entre autres, que "le Covid-19 endémique [n'est] pas pire que la grippe saisonnière". Cette affirmation a été répétée ad nauseam dans divers médias. Nous avons mentionné l'article du Guardian du 8 janvier, mais il existe également un article antérieur du 5 décembre intitulé « De la pandémie à l'endémie : comment revenir à la normale » . "CNBC" a publié trois articles presque identiques sur le sujet en deux semaines : "La pandémie de Covid pourrait se terminer l'année prochaine, selon les experts - à quoi cela pourrait ressembler et comment les États-Unis pourraient y parvenir" - 9 décembre "La pandémie pourrait se terminer en 2022 - c'est à quoi pourrait bientôt ressembler la vie 'normale', selon les experts médicaux" - 15 décembre "Omicron pourrait se frayer un chemin à travers les États-Unis - et peut-être accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert" - 22 décembre Le jour de l'an, un article a été publié sur "Vox" avec le titre : Malgré Omicron, le Covid-19 deviendra endémique. C'est comme ça que ça marche. Bloomberg rapporte qu'Omicron signale « la fin de la phase aiguë de la pandémie » . Hier encore, le « New York Post » titrait : « COVID deviendra endémique cette année, prédit l'ancien chef du groupe de travail Biden », et « USA Today » a demandé : « La pandémie est en train de changer. Omicron apportera-t-il une 'nouvelle normalité' pour COVID-19 ? " Et "Channel 4" a déclaré aujourd'hui que "Covid en 2022" signifie "apprendre à vivre avec le virus". Le message n'est pas seulement basé sur les médias non plus. Selon certaines informations, « Vivre avec Covid » sera la stratégie du gouvernement britannique pour 2022 et une publication officielle sur le sujet est attendue « dans les prochaines semaines ». Le terme « vivre avec le virus » sera donc inclus dans le vocabulaire du Covid aux côtés des termes « aplatir la courbe » et « la nouvelle normalité ». Mais qu'est-ce que cela veut vraiment dire? Qu'entendez-vous vraiment par « vivre avec le Covid » ? Tout d'abord, il ne faut pas commettre l'erreur de faire confiance à un gouvernement, aux médias ou à un "expert" simplement parce qu'ils commencent à dire 20 % de la vérité. Ce sont des menteurs, ils ont un agenda, c'est toujours le cas - vous devez toujours en être conscient, même si - ou surtout si - ils vous disent tout d'un coup ce que vous voulez entendre. Ils n'ont pas vu la lumière, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne deviennent finalement pas raisonnables et ils ne changent pas de camp. Il n'y a pas de conversions à Damas. Il n'y a pas de vague de mauvaise conscience qui traverse l'élite. Vous avez un ordre du jour. Vous avez toujours un agenda. Vous devez également vous débarrasser de toute notion de « retour à la normale » de votre tête. Cela n'arrivera pas. Comment savons nous? Parce qu'ils l'ont dit. La moitié des articles qui traitent du sujet « Vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne vont pas vraiment changer. Prenez celui-ci paru dans le Guardian hier : « Vivre avec Covid » ne signifie pas nécessairement que toutes les mesures de protection sont jetées par-dessus bord Il précise que Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de masse chez les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et devraient éventuellement être interrompus - mais cela ne signifie pas un demi-tour avec des masques ou des vaccins et ouvre la porte à une nouvelle "variante" dans le avenir pour initier d'autres verrouillages : « Vivre avec le Covid » ne signifie pas nécessairement annuler toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent les effets des maladies respiratoires en hiver, c'est positif, même si le NHS n'est plus en danger immédiat de congestion. Nous devons également continuer à surveiller la menace de nouvelles variantes qui pourraient encore causer des revers majeurs. Rien ne garantit qu'une autre variante n'apparaîtra pas à l'avenir, plus infectieuse et virulente que l'Omicron. Les scientifiques affirment que le soutien à l'effort mondial de vaccination sera essentiel pour aider à sécuriser le chemin vers la normale. Les masques, le travail à domicile et la distanciation sociale dans des environnements très fréquentés pourraient tous rester « tangibles » selon l'un des articles « CNBC » mentionnés ci-dessus. Et "les rappels Covid pourraient être comme des vaccinations annuelles contre la grippe". En attendant , des « experts » préviennent qu'il faut se préparer à des « poussées » tous les trois ou quatre mois, même si le Covid est endémique. Il semble que "vivre avec le virus" signifie maintenir le statu quo, assouplir certaines restrictions, mais ouvrir la voie à de nouvelles vagues de peur de la pornographie si le besoin s'en fait sentir. Mais pourquoi? Pourquoi fais-tu ça maintenant ? Il se pourrait qu'il y ait des divisions et des factions, des ruptures dans les couloirs du pouvoir. Peut-être que certains membres du grand club veulent arrêter la pandémie là où c'est parce qu'ils craignent que tout nouveau progrès sur la voie de la "Big Reset" ne mette en danger leur propre position ou leur richesse. Peut-être. Ce que je pense est plus probable, c'est qu'ils sentent qu'ils se sont déjà trop penchés par la fenêtre et qu'une nouvelle expansion pourrait déchirer toute leur histoire en morceaux. Pour utiliser une métaphore frappante, pensez au programme de la Grande Réinitialisation comme à une armée d'invasion marchant à travers ville après ville, remportant bataille après bataille, brûlant tout dans le processus. À un moment donné, il arrive un moment où il faut s'arrêter. Vos lignes de ravitaillement sont serrées, vos hommes sont fatigués et en infériorité numérique, et les citoyens occupés résistent de plus en plus. Si vous continuez maintenant, toute votre campagne pourrait échouer. Dans une telle situation, retirez-vous dans une position défendable et sécurisez-la. Vous ne rendez pas la terre que vous avez conquise, du moins pas beaucoup, mais vous arrêtez d'aller plus loin. Les gens dont vous avez envahi les terres seront heureux que la guerre soit terminée, ils seront fatigués de se battre, ils seront soulagés d'avoir un répit avant de réaliser combien de leurs terres vous leur avez volées. Peut-être même disent-ils : « Qu'ils le gardent tant qu'ils cessent de nous attaquer ». C'est ainsi que la conquête a fonctionné depuis l'époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d'attaques suivi de fortifications. Si nous passons de « pandémie » à « endémie », nous ne récupérerons pas nos droits, les dossiers de vaccination, la surveillance et la culture de la paranoïa et de la peur resteront, mais les gens seront tellement soulagés que la campagne de peur et de propagande s'arrêtera, que ils arrêtent de riposter. Vous ne riposterez pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement cela : normal. Ils donneront probablement même le feu vert à tout ce que Bill Gates veut faire pour s'assurer que "Covid est la dernière pandémie" . Et puis, un jour, quand les gens seront à nouveau gentils et dociles, une nouvelle variante reviendra, ou nous aurons besoin d'un « verrou climatique » et l'envie de contrôler chaque aspect de notre vie recommencera pour de bon. Le mieux que nous puissions faire est de ne pas tomber dans ce piège. La presse, les politiques et les grandes sociétés pharmaceutiques n'ont pas tous vu la vérité, ils utilisent juste des petits morceaux de vérité qu'ils ont ignorés pendant deux ans pour renforcer leur position. Mais cela n'en fait pas une mauvaise chose. Le simple fait qu'ils sentent qu'ils doivent le faire montre qu'une résistance se forme et qu'ils essaient de nous endormir dans la relaxation. Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre. SOURCE : CE QU'ILS ENTENDENT VRAIMENT PAR « VIVRE AVEC LE COVID » TRADUCTION : AXEL
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  • LES BIENFAITS DE LA POIRE

    LA POIRE. Si les pommes sont légendaires, leurs parents
    proches, les poires, suscitent souvent l'indifférence.
    Nous savons qu'elles existent, tout simplement.
    Le problème est identique avec le pancréas. Nous savons
    qu'elle existe.

    Les poires ont également un effet surprenant sur la
    digestion. Elles agissent comme antispasmodiques,
    apaisent les parois de l'estomac et de l'appareil intestinal,
    nourrissent les bactéries bénéfiques, affament et tuent les
    bactéries improductives, les parasites et les champignons.
    LES BIENFAITS DE LA POIRE LA POIRE. Si les pommes sont légendaires, leurs parents proches, les poires, suscitent souvent l'indifférence. Nous savons qu'elles existent, tout simplement. Le problème est identique avec le pancréas. Nous savons qu'elle existe. Les poires ont également un effet surprenant sur la digestion. Elles agissent comme antispasmodiques, apaisent les parois de l'estomac et de l'appareil intestinal, nourrissent les bactéries bénéfiques, affament et tuent les bactéries improductives, les parasites et les champignons.
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  • Chers utilisateurs! (Message officiel du CEO Antares)

    Du 13 août au 12 octobre 2021, la plateforme Antares Trade fera l’objet d′une procédure de contrôle de conformité aux exigences du régulateur des marchés financiers. Durant ce contrôle, les activités de la plateforme Antares Trade et des contreparties qui collaborent avec elle seront suspendues. De plus, aucune transaction liée au rendement des investissements et à la réception de bonus d’affiliation ne sera effectuée dans l’ensemble des programmes de la plateforme Antares Trade. Les Antares Dollar (AND) disponibles sur les comptes des utilisateurs de la plateforme seront gelés le temps de la procédure de contrôle.

    Par conséquent, l’équipe dirigeante de la plateforme Antares Trade a pris la décision de créer une nouvelle plateforme, Alcor Trade, dont les fonctionnalités sont tout a fait semblables à celles de la plateforme Antares Trade, mais avec modèle juridique plus viable.

    La plateforme Alcor Trade est une solution temporaire qui durera le temps de la procédure de contrôle de la plateforme Antares Trade. Cependant, en cas de prolongation de la période de vérification de plus de 60 jours ou si celle-ci découle sur une interdiction d’exercer les activités de la plateforme Antares Trade, alors les activités de la plateforme Alcor Trade pourront devenir entièrement autonomes et cette dernière sera dès lors considérée comme le successeur à part entière de l’écosystème Antares.

    La connexion à la plateforme Alcor Trade s′effectue en utilisant votre adresse email et votre mot de passe de la plateforme Antares Trade. En outre, en cliquant sur le bouton «connexion/inscription» sur le site de la plateforme Antares Trade, vous serez automatiquement redirigé vers le site de la plateforme Alcor Trade. Votre arbre de parrainage a été transféré dans son intégralité sur la plateforme Alcor Trade. Il s’agit d’une copie à l’identique de l’arbre de parrainage de la plateforme Antares Trade.

    Les informations concernant votre participation aux programmes de la plateforme Antares Trade, y compris les fonds gelés sur vos comptes sous forme d’Antares dollar (AND), ont été intégralement copiés et figurent dans votre espace personnel sur la plateforme Alcor Trade dans l’onglet «Programme Antares».

    Les dirigeants des plateformes Antares Trade et Alcor Trade prennent toutes les mesures nécessaires et coopèrent à la procédure de vérification de la plateforme Antares Trade. Ils mettent également tout en oeuvre pour assurer un fonctionnement optimal de la plateforme Alcor Trade.

    Merci de votre compréhension.

    Lien officiel vers le site: Alcor.trade
    Chers utilisateurs! (Message officiel du CEO Antares) Du 13 août au 12 octobre 2021, la plateforme Antares Trade fera l’objet d′une procédure de contrôle de conformité aux exigences du régulateur des marchés financiers. Durant ce contrôle, les activités de la plateforme Antares Trade et des contreparties qui collaborent avec elle seront suspendues. De plus, aucune transaction liée au rendement des investissements et à la réception de bonus d’affiliation ne sera effectuée dans l’ensemble des programmes de la plateforme Antares Trade. Les Antares Dollar (AND) disponibles sur les comptes des utilisateurs de la plateforme seront gelés le temps de la procédure de contrôle. Par conséquent, l’équipe dirigeante de la plateforme Antares Trade a pris la décision de créer une nouvelle plateforme, Alcor Trade, dont les fonctionnalités sont tout a fait semblables à celles de la plateforme Antares Trade, mais avec modèle juridique plus viable. La plateforme Alcor Trade est une solution temporaire qui durera le temps de la procédure de contrôle de la plateforme Antares Trade. Cependant, en cas de prolongation de la période de vérification de plus de 60 jours ou si celle-ci découle sur une interdiction d’exercer les activités de la plateforme Antares Trade, alors les activités de la plateforme Alcor Trade pourront devenir entièrement autonomes et cette dernière sera dès lors considérée comme le successeur à part entière de l’écosystème Antares. La connexion à la plateforme Alcor Trade s′effectue en utilisant votre adresse email et votre mot de passe de la plateforme Antares Trade. En outre, en cliquant sur le bouton «connexion/inscription» sur le site de la plateforme Antares Trade, vous serez automatiquement redirigé vers le site de la plateforme Alcor Trade. Votre arbre de parrainage a été transféré dans son intégralité sur la plateforme Alcor Trade. Il s’agit d’une copie à l’identique de l’arbre de parrainage de la plateforme Antares Trade. Les informations concernant votre participation aux programmes de la plateforme Antares Trade, y compris les fonds gelés sur vos comptes sous forme d’Antares dollar (AND), ont été intégralement copiés et figurent dans votre espace personnel sur la plateforme Alcor Trade dans l’onglet «Programme Antares». Les dirigeants des plateformes Antares Trade et Alcor Trade prennent toutes les mesures nécessaires et coopèrent à la procédure de vérification de la plateforme Antares Trade. Ils mettent également tout en oeuvre pour assurer un fonctionnement optimal de la plateforme Alcor Trade. Merci de votre compréhension. Lien officiel vers le site: Alcor.trade
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